hymne au plaisir

Chercher est un plaisir !

• Le plaisir augmente lorsque la difficultés augmente.
• Plus une chose est difficile à obtenir plus sa quête est halletante et jouissive, jusqu’au moment suprême de la possession.
• J’ai été gâtée. Mon plaisir a été à la hauteur des difficultés surmontées.
  Certes, je n’ai pas eu à courir les continents et mon petit coin d’Anjou, teinté d’un peu de Bretagne et de Normandie, peut paraître à certains, d’une facilité déconcertante.
  Pourtant, ils m’ont réservé toutes les entourloupes possibles.
• J’en avais publiées quelques unes dans ma Chronique de la Non-Mémoire dans la revue du C.G.O. Certains lecteurs m’ont depuis témoigné de leur intérêt, et elles seront réintégrées à cet hymne au plaisir.
• Le plaisir est un sentiment de l'ame qui nous rend heureux du-moins pendant tout le temps que nous le goûtons
  les occupations soit sérieuses soit frivoles, qui exercent sa pénétration sans le fatiguer, sont accompagnées d'un sentiment agréable. A voir un joueur d'échecs concentré en lui-même, & insensible à tout ce qui frappe ses yeux & ses oreilles, ne le croiroit-on pas intimement occupé du soin de sa fortune ou du salut de l'état ? Ce recueillement si profond a pour objet le plaisir d'exercer l'esprit par la position d'une piece d'ivoire. C'est de ce doux exercice de l'esprit que naît l'agrément des pensées fines, qui de même que la bergere de Virgile, se cachent autant qu'il le faut pour qu'on ait le plaisir de les trouver. Il y a eu des hommes à qui on a donné le nom de philosophes, & qui ont cru que l'exercice de l'esprit n'étoit agréable que par la réputation qu'on se flattoit d'en recueillir. Mais tous les jours ne se livre-t-on pas à la lecture & à la réflexion, sans aucune vue sur l'avenir, & sans autre dessein que de remplir le moment présent ? Si on se trouvoit condamné à une solitude perpétuelle, on n'en auroit que plus de goût pour des lectures que la vanité ne pourroit point mettre à profit.

  la majorité indifférente

En France, la majorité est indifférente à la généalogie, voir hostile, si ce n’est violemment opposée. Pas toujours silencieuse : elle considère souvent les généalogistes comme des doux dingues voir des malades mentaux, qui  s’occupent plus des morts que des vivants, du passé et que de l’avenir.  

  arbres

tous les goûts sont dans la nature

Du séquoïa au bonsaï, du gingko à l'érable, la nature offre toutes les espèces et formes d'arbres.
Les arbres généalogiques manuscrits offrent une multitudede de variétés et toutes les personnalisations. Preuve que la sensiblité des individus a besoin de s'exprimer différemment.
Lorsque les individus sont nombreux, l'arbre est si grand, qu'il est tout simplement illisible. Certains ont les moyens de les exhiber dans de grands palais des congrès,quitté à faire payer les visiteurs, ce qui est scandaleux, car on peut faire lisible et gratuit.

• L'informatique, plus pauvre que la nature, offre des arbres généalogiques laids quand ils ne sont pas tout simplement imbuvables. Difficile de faire lisible sur plus de 3 générations, à croire que l'arbre informatique fut inventée aux USA, pays trop jeune pour avoir des racines sur plusieurs siècles.
• Ces arbres informatiques ont surtout pour but de forcer l'utilisateur à acheter un logiciel, à dépersonnaliser les données, en aspirant celle des autres.

• On peut faire d'autres arbres, beaux, interactifs, gratuits et lisibles sans achat de logiciel dans le monde entier. Mes descendances sont imprimées à travers le monde entier, me valent des témoignages extraordinaires sur leur beauté et leur reproduction massive, surtout imprimée ! Tel les bonsaïs, ils savent prendre peu de place !
• Au départ j'ai utilisé cette méthode parce que ma vue ne me permet pas de lire les arbres avec cases et lignes de liens. Je suis hypermétrope + astygmate + presbite, d'où une correction qui interdit de voire une ligne, qu'elle soit horizontale ou verticale.

• Si vous trouvez des arbres qui ressemblent aux miens, c'est que certains informaticiens m'ont pris l'idée.
• D'autres, ont tout simplement jugé bon de mettre purement et simplement sur leur site mes fichiers... Ce à quoi, il y a deux manières de réagir, soit se réjouir de voir qu'on fait si bien qu'on est même reproduit, soit de pleurer sur le manque de respect des droits d'auteur en France, et ailleurs... Ou va Internet ! quel monde irrespectueux laissera t il ?