Qui était Charles Moride, aliàs d’Albrey, artiste à Paris 1892

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J’ai beaucoup étudié les MORIDE mais je ne peux identifier celui qui fut Charles Moride artiste dramatique à Paris en 1892. On sait, d’après les 2 coupures de journaux du temps, qu’il demeurait 124 boulevard Rochechouart, et que son père était concierge rue de Grenelle. Voici les 2 coupures de journaux trouvées dans GALLICA :

LE MEURTRE DE MONTMARTRE[1]

L’arrestation de Maria Guillet. — Une fable. — Le récit exact du crime. — Charles Moride.
Nous avons annoncé hier que, malgré les affirmations de Charles Moride, la victime du drame de la rue des Martyrs, la femme qui l’accompagnait a été arrêtée. Voici à la suite de quelles circonstances cotte arrestation a été opérée.
Les agents de la sûreté s’étaient rendus sur les indications de M. Garnot, commissaire de police, chez Rossignol, le débit de vin situé au-dessus du Divan-Japonais et devant lequel, aux dires de la victime elle-même, s’était déroulé le drame que nous avons raconté. Ils découvrirent que, contrairement aux assertions de la victime et de Maria Guillet, la tentative do meurtre avait eu lieu non sur le trottoir, rue des Martyrs, mais dans l’établissement môme de Rossignol.
Voici, du reste, ce que déclarèrent le patron et le garçon de cet établissement :
« Moride, que nous connaissions plutôt sous son nom de théâtre, Charles Dalbrey, est entré chez nous vers deux heures du matin, en compagnie de la fille Maria Guillet, et d’un individu qu’on croit être le souteneur de cette dernière, un nommé Vivier ou Duvivier. Tous trois s’installèrent à la même table et Moride commanda une bouteille. Il remplit les verres, mais quand Maria Guillet voulut porter le sien à ses lèvres, l’artiste l’en empêcha,
« — Ça m’est bien égal, dit la fille, je boirai tout de même.
« Ce disant, elle saisit la bouteille et porta le goulot à sa bouche. Moride lui arracha violemment la bouteille. Maria Guillet se fâcha.
« – C’est pour te f… de nous, dit-elle, que tu nous invites et que tu nous empêches de boire. Eh bien ! tiens, voilà pour toi !
« Maria Guillet sortit un couteau de sa poche et, d’un coup droit, plongea la lame dans la poitrine de Moride. »
Le garçon do l’établissemont ajouta qu’il avait aperçu très distinctement le geste de la fille, mais il crut qu’elle avait simplement donné un coup de poing.
Immédiatement après cette scène, les trois buveurs se levèrent et Maria Guillet sortit rapidement avec Vivier ou Duvivier. Mais a peine Moride était-il debout qu’il tomba comme une masse. Sa figure porta sur une table et il saigna du nez avec abondance.
Le patron et le garçon le relevèrent, l’assirent sur une chaise, lui lavèrent la figure et lui firent prendre un cordial.
Pendant que le garçon lui lavait la face, Moride dit :
— Si je n’avais que ça, un saignement de nez, ce serait rien. Mais j’ai reçu un coup de couteau dans la poitrine.
Il appliqua la main sur sa blessure et tant bien que mal, avec l’aide du garçon, il put regagner son domicile, à l’angle de la rue des Martyrs et du boulevard Rochechouart.
Il était couché depuis quelques minutes lorsque Maria Guillet vint le rejoindre. Une violento discussion éclata entre eux. C’est alors que le concierge monta pour mettre le holà et que Moride lui récita la fable qu’il a répétée aux agents et au commissaire de police.
Maria Guillet, qui n’était pas retournée à l’hôtel do la rue Puget, comme elle l’avait promis, a été arrêtée à six heures du soir sur le boulevard Rochechouart. Elle a fait des aveux complets et a rejeté sur l’ivresse l’acte qu’elle avait commis. Elle a été écrouée au Dépôt.
Hier, assez tard dans la soirée, Moride se trouvait dans l’état comateux.
Sa mort n’est plus qu’une question d’heures.

 

 

UNE MAÎTRESSE IRASCIBLE[2]

La rue des Martyrs a été, la nuit dernière, le théâtre d’un crime.
Un jeune artiste dramatique, M. Charles Moride, qui était connu au théâtre Montmartre sous le pseudonyme de d’Albrey, âgé de vingt-huit ans, a été frappé mortellement d’un coup de couteau par sa maîtresse.
Voici les renseignements que nous avons pa recueillir sur cette affaire :
Il y a un an environ, M. Moride avait eu pour maîtresse une fille Marie Guillet, âgée de vingt-deux ans. Il y a quelques mois, cette tille s’étant brouillée avec l’artiste, se rendit à Versailles et entra comme pensionnaire dans une maison mal famée de cette ville.
Avant-hier soir, M. Moride se disposait à rentrer à son domicile, 124 boulevard Rocbechouart, quand il fit la rencontre de Marie Guillet.
L’artiste l’emmena chez lui et tous deux passèrent ensemble la journée du lendemain.
Ils se quittèrent à six heures du soir. M. Moride alla dîner chez son père, concierge, rue de Grenelle, tandis que Marie Guillet prenait son repas dans un petit restaurant nouvellement installé place Pigalle à l’augle de la rue Duperré. Ils se retrouvèrent le soir à neuf heures et parcoururent ensemble un grand nombre de brasseries et débits de vins de Montmartre. Vers deux heures du matin, tous deux étaient légèrement pris de boisson.
Voulant achever gaiement leur nuit, ils entrèrent dans le débit de M. Rossignol, 75, rue des Martyrs, et se firent servir un litre de vin. Marie Guillet s’apprêtait à vider son verre, quand son amant le lui arracha des mains.
Je te défends de boire, lui cria-t-il.
Sa maîtresse, croyant à une plaisanterie, se mit à rire, puis, saisissant le litre de vin, voulut boire à même la bouteille.
Mais l’artiste la lui enleva également.
Furieuse. Marie Guillet saisit alors son couteau et en frappa son amant au sein droit. L’arme pénétra profondément dans le corps et perfora le poumon.
Charles Moride poussa un cri, puis s’affaissa sur le plancher, rendant des flots de sang par la bouche et par le nez.
Marie Guillet avait pris la fuite.
Le marchand de vins, M. Rossignol, croyant que Moride n’avait reçu qu’un coup sans gravité, offrit un verre de vulnéraire à son client. Ce dernier l’absorba, puis demanda à être reconduit chez lui.
On le transporta à son domicile et quelques minutes après Marie Guillet venait le retrouver. Une discussion assez violente s’éleva alors entre eux et comme tous deux troublaient le repos des locataires de la maison, le concierge monta dans le logement de M. Moride pour mettre fin à cette scène.
A ce moment, Moride dont les forces étaient épuisées, se tordait en proie à d’atroces souffrances.
On m’a assassiné, dit-il à son concierge allez chercher un médecin.
Quelques instants après, un docteur arrivait au chevet du blessé et constatait que la blessure était mortelle. Il ordonna aussitôt le transport de Moride à l’Hôpital Lariboisière.
Garnot, commissaire de police du quartier, prévenu aussitôt, se rendit immédiatement au chevet de l’artiste et lui demanda dans quelles circonstances il avait été frappé.
Moride, qui ne voulait pas accuser sa maîtresse, raconta alors qu-il avait été assailli par un inconnu, dans la rue des Martyrs, pendant qu’il attendait sa maîtresse qu’il avait envoyée acheter de la charcuterie.
Après avoir fait cette déclaration, le blessé perdit connaissance et sa mit à râler.
Les médecins ont perdu tout espoir de le sauver. Il est à craindre que le malheureux ne puisse passer la nuit.
Les explications fournies par Moride ayant semblé louches à M. Garnot, ce magistrat procéda à l’arrestation de Marie Guillet et l’accusa formellement d’être l’auteur du crime. Cette fille nia d’abord avec persistance, puis elle se décida enfin à faire des aveux complets.
J’étais ivre, a-t-elle allégué pour sa défense.
Elle a été envoyée au Dépôt.

 [1] La Petite presse : journal quotidien… (Paris) 1892-10-09

[2] Le Petit Parisien : journal quotidien du soir, 7 octobre 1892

Elle se noye en portant secours : baignade tragique à Ménéac, 1881

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Nous subissons, actuellement surtout, tant de mauvaises nouvelles, alors qu’il existe aussi ce que Mareck Halter appelle « La Force du Bien », le plus souvent passez sous silence.

Poursuivant mes recherches sur Ménéac et Merdrignac, j’ai relevé toute la presse numérisée, noté les croyances, les vestiges du patrimoine, les faits divers. Parmi ces faits divers, un exemple de la force du bien. Cela fait chaud au coeur de lire tels faits divers, alors  je vais oublier tous les autres, si négatifs :

L’abbé Beuve-Méry[1], recteur de Menéac (diocèse de Vannes), nous adresse cet émouvant récit du dévouement d’une religieuse, qui s’est noyée en essayant de sauver une de ses élèves :

« Monsieur le rédacteur, En ces jours de calomnies et de persécutions, n’est-il pas urgent de montrer, aux ennemis comme aux amis, le religieux tel qu’il est, héroïque partout et toujours? Jeudi dernier, 7 juillet, une dizaine de jeunes filles et d’enfants conduites par deux religieuses se baignaient, vers onze heures du matin, à un kilomètre du bourg de Ménéac, dans un étang dont les eaux ont englouti bien des victimes. Toutes les précautions semblaient avoir été prises; déjà les baigneuses reprenaient leurs vêtements ; une seule, l’organisatrice de la partie, Célestine L…, jeune fille de seize ans, prolongeait obstinément son bain malgré les avertissements de sa maîtresse. Tout en folâtrant, elle dépasse la limite fixée par la maternelle prudence de la sœur, perd pied et disparaît. Sans hésiter, sans quitter ses lourds vêtements (elle ne s’était pas baignée), la plus âgée des religieuses se précipite à son secours, la saisit, mais hélas la roche, coupée à pic en cet endroit, se dérobe sous ses pieds, entraînée par celle qu’elle voulait sauver; elle disparait à son tour. Au bout de quelques secondes toutes deux reviennent à la surface; d’un coup d’œil l’héroïque fille a jugé la situation : sa jeune compagne est déjà tout près de l’endroit fatal, les élèves se précipitent au secours de leur mère ; oublieuse d’elle-même, déjà à demi suffoquée, d’un geste que n’oublieront jamais les témoins de cette scène déchirante, elle ordonne à sa sœur, à ses enfants de s’éloigner, lutte encore quelques instants et disparaît pour ne plus reparaître. Suprême abnégation, qui seule nous a épargné d’autres deuils. Attirés par les cris, quelques faucheurs arrivent, l’alarme est donnée au bourg, dont la population entière accoure sur le lieu du sinistre ; les plus courageux efforts restent sans résultat; enfin, après une heure d’infructueuses recherches on ramène deux cadavres. Samedi dernier, MM. les curés de Merdrignac et de la Trinité-Porrhoët, assistés d’un nombreux clergé et de tout ce que le pays compte de plus honorable, condui saient à leur dernière demeure les dépouilles mortelles de cette mère et de cette fille dont l’une avait aimé l’autre jusqu’à donner sa vie pour elle. Sœur Marie-Angèle (Ursule-Marie Toussainte Gastel, née au Theil, diocèse de Rennes) n’avait que trente ans. Entrée à dix sept ans dans la congrégation des sœurs de l’Immaculée conception de Saint-Méen, elle fut, il y a huit ans, désignée pour coopérer à la fondation d’une école libre que ces dames ouvraient alors dans l’importante paroisse de Menéac. Dieu seul connaît tout le bien qu’elle y a fait. Parfaitement douée sous tous les rapports, elle se dépensait entièrement pour ses élèves ; sa mort a été le digne couronnement de sa vie. Pouvons-nous là plaindre? Elle est morte pour ainsi dire en quittant la sainte table, elle est morte dans l’accomplissement héroïque de la mission que lui avait confiée son divin époux. Beati qui in Domino moriuntur. Agréez, monsieur le rédacteur, l’hommage de mes respectueux sentiments en N.-S. Beuve-Méry, recteur de Menéac, —-, -»

Joseph-Marie Beuve-Méry[2], recteur de Menéac, mort Ploërmel le 13 mai, né à Lorient le 6 mai 1837, il avait été ordonné prêtre le 25 mai 1831, il fut transféré à Arzal le 1er mai 1863, à Glenac, le 1er janvier 1867, à Ploërmel le 28 février 1838, puis devint recteur de Saint-Brieux du Mauron le 1er octobre 1877, et de Ménéac le 16 novembre 1880.

[1] L’Univers, 16 juillet 1881, p

[2] Revue historique de l’Ouest, 1892, n°1, p 145

 

 

 

Etude des familles ESMERIL (EMERY) de Merdrignac (22)

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Je poursuis la mise à jour de mes travaux de 2006 sur Ménéac et Merdrignac, et je viens de mettre en ligne celle de  mes familles  ESMERIL aliàs EMERY de nos jours. Tout ceci toujours dans l’ascendance de mon breton Jacques Mounier, venu à Nantes en 1842. Voici ma ligne directe résumée :

Le tout en Bretagne (Côtes d’Armor) avant 1900, puis Nantes

11-André Esmeril x Merdrignac 17 novembre 1639 Guillemette Gaultier

10-Perrine Esmeril x2 Merdrignac 30 juin 1670 Mathurin Amiaux

9-Claude Amiaux x1 Merdrignac 12 février 1714 Marie Geffray

8-François Amiaux x Merdrignac 24 juin 1739 Roberde Moreul

7-Pierre-Jean Amiaux x Ménéac 13 février 1783 Perrine Urvoy

6-Perrine Amiaux x Ménéac (56) 20 février 1805 Jacques Mounier

5-Jacques Mounier x Saint-Sébastien-Sur-Loire (44) 29 avril 1851 Victorine Fortin

4-Marie Monier x Nantes 28 septembre 1875 Edouard Halbert

3-Madeleine Allard x Nantes 23 septembre 1907 Edouard Halbert

2-mes parents

1-moi

J’ai fait beaucoup de retranscriptions des registres de Ménéac (56) et Merdrignac (22) que je vous ai mis ici en ligne ;

Merdrignac : baptêmes 1609-1619 notes rapides alpha indexées vues

Merdrignac : baptêmes 1619-1629 notes rapides alpha indexées vues

Merdrignac : baptêmes 1629-1639 notes rapides alpha indexées vues

Merdrignac : baptêmes 1639-1649 notes rapides alpha indexées vues

Ménéac 1566-1579 : baptèmes, retranscription exhaustive. Parrainages filiatifs, lacunes importantes et beaucoup de blancs

Ménéac 1580-1599 : baptêmes, retranscription exhaustive. Parrainages non filiatifs, lacunes importantes.

Ménéac 1600-1625 : baptêmes, retranscription exhaustive. Parrainages non filiatifs, lacunes importantes.

 

mes familles de Ménéac (56) : Dabareul 1600-1720 et Merdrignac | Guillotin 1629-1677 | Lemercier 1556-1750 et Merdrignac | Meance 1578-1730 | Moreul 1600-1740 | Pinel 1629-1670 | Urvoy 1650-1780

mes familles de Merdrignac (22) Amiaux 1610-1780 | Belot 1610-1650 | Chaix 1630-1740 | Cheramy 1621-1650 | Chereu 1611-1640 | Cousdé 1614-1720 | Davy 1610-1614 | Doméon 1621 | Esmeril 1630-1700 | Gaborel 1611-1720 | Gascoin 1620-1697 | Gaultier 1610-1640 | Geffray 1630-1700 | Gilles 1621-1720 | Gorge 1609-1700 | Guyomart 1621-1650 | Hervart 1640-1680 | Jallet 1609-1680 | Labor 1620-1650 | Mabihan 1620-1700 | Michel 1622-1650 | Mousnier 1634-1823 | Ollivot 1630-1700 | Renault  1600-1650 | Surleve  1610-1670 | Trameleu 1635-1680 | Vétil 1629-1700

 

 

Le destin des enfants illégitimes à Merdrignac au 17ème siècle, et leur assassinat.

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Le registre ancien de Merdrignac comporte chaque année plusieurs naissances illégitimes, mais aussi de décès de ces petits, sans que je puisse dire si ces petits mouraient plus que les autres enfants, cependant, je relève des assassinats clairement annoncés comme tel. En voici 2 à titre d’exemple :« Estienne Hingant fils illégitime defunt Antoine Hingant fut frappé de divers coups d’espée ou autre glaive en la teste au pied et autres parties de son coprs le soir du 24 février 1646 sont il mourut le mesme soir au village de la Rallais et a esté inhumé au cimetière de Merdrignac le 27 dudit mois »

A Merdrignac, tout le monde est inhumé dans l’église, même lors des nombreuses épidémies d’automne comptant chaque fois des centaines de victimes. Les très rares inhumations au cimetière reflètent ici un refut d’inhumer près de Dieu, dans l’église, et peuvent être perçues comme un rejet terrible.

‘Un petit mendiant dit est bastard de Guillaume Ruello enterré au cimetière le 11 mars 1648″

Lui aussi n’a pas eu droit à l’inhumation comme tout le monde à Merdrignac, c’est à dire dans l’église.

 

Merci à mes parents – je lis le latin et les baptêmes de Merdrignac

Grâce à mes parents j’ai appris le latin en 1948, car ce n’est pas moi qui ai pris cette décision et elle fut bonne, sans que j’ai pu le savoir à l’époque. Or, je m’aperçois sur Internet que tous les généalogistes n’ont pas eu la chance d’apprendre le latin, et y font beaucoup d’erreurs.

Je vous confirme que le travail que j’ai fait autrefois sur MERDRIGNAC est valide car je lis le latin parfaitement, et je me permets ici de m’étonner des lectures qui circulent sur internet. Ainsi, pour mon ancêtre Vincente Davy :

« Le jour vingt cinquième du mois de mars année mille six cent dix huit a été baptisé Vincente Davy fille d’Olivier et Hélène Lohier sa femme fut parrain André Liborel marraine Vincente Lebongre, baptisée par François Jouault prêtre, interligne sa femme »

et je viens de mettre en ligne mes DAVY mon quadriaïeul Jacques Mounier, mon breton, a 2 branches DAVY a Merdrignac. L’une des branches, celle d’Olivier Davy mari d’Hélène Lohier est qualifiée « honnorables gens ».

 

J’ai fait beaucoup de retranscriptions des registres de Ménéac (56) et Merdrignac (22) que je vous ai mis ici en ligne ;

Merdrignac : baptêmes 1609-1619 notes rapides alpha indexées vues

Merdrignac : baptêmes 1619-1629 notes rapides alpha indexées vues

Merdrignac : baptêmes 1629-1639 notes rapides alpha indexées vues

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Ménéac 1566-1579 : baptèmes, retranscription exhaustive. Parrainages filiatifs, lacunes importantes et beaucoup de blancs

Ménéac 1580-1599 : baptêmes, retranscription exhaustive. Parrainages non filiatifs, lacunes importantes.

Ménéac 1600-1625 : baptêmes, retranscription exhaustive. Parrainages non filiatifs, lacunes importantes.

 

mes familles de Ménéac (56) : Dabareul 1600-1720 et Merdrignac | Guillotin 1629-1677 | Lemercier 1556-1750 et Merdrignac | Meance 1578-1730 | Moreul 1600-1740 | Pinel 1629-1670 | Urvoy 1650-1780

mes familles de Merdrignac (22) Amiaux 1610-1780 | Belot 1610-1650 | Chaix 1630-1740 | Cheramy 1621-1650 | Chereu 1611-1640 | Cousdé 1614-1720 | Davy 1610-1614 | Doméon 1621 | Esmeril 1630-1700 | Gaborel 1611-1720 | Gascoin 1620-1697 | Gaultier 1610-1640 | Geffray 1630-1700 | Gilles 1621-1720 | Gorge 1609-1700 | Guyomart 1621-1650 | Hervart 1640-1680 | Jallet 1609-1680 | Labor 1620-1650 | Mabihan 1620-1700 | Michel 1622-1650 | Mousnier 1634-1823 | Ollivot 1630-1700 | Renault  1600-1650 | Surleve  1610-1670 | Trameleu 1635-1680 | Vétil 1629-1700

 

 

 

Encore un ascenceur social qui descend dans mes ancêtres : histoire des familles DAVY Merdrignac (22)

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En cette période caniculaire qui s’ajoute à la pandémie, j’espère que vous allez bien. Mon appartement, tout en haut de la tour, protège les autres de la chaleur, et malgré mes efforts d’aération tôt le matin, il est encore à 29° ce matin.

Je poursuis la mise à jour de mes travaux de 2006 sur Ménéac et Merdrignac et je viens de mettre en ligne mes DAVY mon quadriaïeul Jacques Mounier, mon breton, a 2 branches DAVY a Merdrignac. L’une des branches, celle d’Olivier Davy mari d’Hélène Lohier est qualifiée « honnorables gens ». J’avais déjà rencontré dans l’ascendance de mon Jacques Mounier une branche noble, avec l’alliance de la Motte, et je savais, pour avoir lu les travaux de Michel Nassiet « Noblesse et Pauvreté », que dans la vie on s’appauvrit parfois, donc je suis pas surprise de découvrir une autre branche d’ancêtres qui se sont manifestement appauvris de 1610 à 1840. Comme quoi, encore une fois, lors de mes innombrables recherches, je rencontre des statuts socials descendants.

Eh oui, un ascenceur cela monte mais cela descend aussi, et l’ascenceur social lui aussi sait très bien descendre. Voici comment je descends socialement à Merdrignac :

 

 

mon ascendance à Olivier Davy x2 /1610 Hélène Lohier

Le tout en Bretagne (Côtes d’Armor) avant 1900, puis Nantes

12-Olivier Davy vit à Merdrignac (22) x2 /1610 Hélène Lohier

11-Vincente Davy x Merdrignac 3 janvier 1638 Julien Gaborel

10-Suzanne Gaborel  x Merdrignac 3 juin 1681 Thomas Mousnier

9-André Mousnié x Merdrignac 7 février 1726 Guillemette Chais

8-René Mousnier x Merdrignac 16 février 1751 Marie Pinsault

7-René Mousnier 1x Merdrignac (22) 15 février 1776 Jacquemine Mercier

6-Jacques Mounier x Ménéac (56) 20 février 1805 Perrine Amiaux

5-Jacques Mounier x Saint-Sébastien-Sur-Loire (44) 29 avril 1851 Victorine Fortin

4-Marie Monier x Nantes 28 septembre 1875 Edouard Halbert

3-Madeleine Allard x Nantes 23 septembre 1907 Edouard Halbert

2-mes parents

1-moi

 

 

J’ai fait beaucoup de retranscriptions des registres de Ménéac (56) et Merdrignac (22) que je vous ai mis ici en ligne ;

Merdrignac : baptêmes 1609-1619 notes rapides alpha indexées vues

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Merdrignac : baptêmes 1629-1639 notes rapides alpha indexées vues

Merdrignac : baptêmes 1639-1649 notes rapides alpha indexées vues

Ménéac 1566-1579 : baptèmes, retranscription exhaustive. Parrainages filiatifs, lacunes importantes et beaucoup de blancs

Ménéac 1580-1599 : baptêmes, retranscription exhaustive. Parrainages non filiatifs, lacunes importantes.

Ménéac 1600-1625 : baptêmes, retranscription exhaustive. Parrainages non filiatifs, lacunes importantes.

 

mes familles de Ménéac (56) : Dabareul 1600-1720 et Merdrignac | Guillotin 1629-1677 | Lemercier 1556-1750 et Merdrignac | Meance 1578-1730 | Moreul 1600-1740 | Pinel 1629-1670 | Urvoy 1650-1780

mes familles de Merdrignac (22) Amiaux 1610-1780 | Belot 1610-1650 | Chaix 1630-1740 | Cheramy 1621-1650 | Chereu 1611-1640 | Cousdé 1614-1720 | Davy 1610-1614 | Doméon 1621 | Esmeril 1630-1700 | Gaborel 1611-1720 | Gascoin 1620-1697 | Gaultier 1610-1640 | Geffray 1630-1700 | Gilles 1621-1720 | Gorge 1609-1700 | Guyomart 1621-1650 | Hervart 1640-1680 | Jallet 1609-1680 | Labor 1620-1650 | Mabihan 1620-1700 | Michel 1622-1650 | Mousnier 1634-1823 | Ollivot 1630-1700 | Renault  1600-1650 | Surleve  1610-1670 | Trameleu 1635-1680 | Vétil 1629-1700