Le baume Henry pour les cors aux pieds

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Voici la pharmacie de Pouancé (49), à 2 époques différentes :

Pouancé, la pharmacie au temps de Drouard, passionné de photographie
Pouancé, la pharmacie au temps de Drouard, passionné de photographie : il vend des produits photographiques (voir au dessus de la porte)

Ce papier est à en-tête de Drouard, et il y est indiqué: pharmacien, mais aussi éditeur de cartes postales de tous pays ! Ceci serait impensable de nos jours.

Lorsque Mr Cocaud a acheté la pharmacie de Mr Drouard, il y avait dans le grenier une multitude de plaques photographiques, flacons, récipents etc…, le tout pour la photo. Trouvant que tout ceci n’avait rien à faire dans une pharmacie, il a tout donné à son plus proche voisin, Rosicky qui était photographe et qui lui a su en tirer partie. (souvenirs transmis par les descendants Cocaud, ainsi que les 2 papiers à lettre qui illustrent cet article)
Pour en savoir plus sur Drouard et la carte postale, consultez le livre de Richard Adam: « Le Pouancéen à travers l’objectif », en pages 9 et 10, beaucoup de renseignements sur Drouard.

Pouancé, la pharmacie au temps de Cocaud et son baume Henry
Pouancé, la pharmacie au temps de Cocaud et son baume Henry (voyez sa vitrine)

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et voici, transmise par Galissonnière (voir le commentaire d’hier), la facture du Baume Henry, datant des années 30. Selon les descendants de Mr Cocaus, c’était une pommade pour les engelures et les gerçures aux pieds.
La metaspirine est pour les cors aux pieds et les verrues. De nos jours, on trouve encore la pommade Cochon en phamacie, qui est semblable.


Odile Halbert – Reproduction interdite sur autre endroit d’Internet seule une citation ou un lien sont autorisés.

5 réponses sur “Le baume Henry pour les cors aux pieds

  1. Le baume Henri pour les pieds m’aurait été d’un grand secours lors de notre tentaive sur le chemin de Compostelle … Car, parmi mes problèmes, j’ai eu des ampoules, de quoi illuminer une ville entière !
    Et un peu de Quintonine, pour l’énergie ! sans oublier la Jouvence de l’Abbé Soury et la Boldoflorine, la bonne tisane pour le foie …

  2. Ce dont j’ai le souvenir,( sans les avoir utilisées moi même ) ce sont ces affreuses ventouses, qui avaient pour but  » d’attirer avec violence, les humeurs du dedans au dehors « 

  3. je n’ai souvenir que de la cuiller d’huile de foie de morue, chaque matin, l’hiver. C’était tellement puissant que parfois, maman devait nous pincer le nez pour nous obliger à l’avaler. Cette substance est revenue à la mode, mais cette fois gentiement enrobée de gélatine, bref, rien à voir avec ma jeunesse !

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