Nous rencontrons parfois des actes assez incroyables, et mon premier étonnement date d’une trentaine d’années, concernant mes JALLOT, car j’avais un mariage JALLOT x JALLOT et les parents de chacun étaient JALLOT x JALLOT, ici la veuve Guillet tient vraiement à Pierre Guillet.
Voici au Loroux-Bottereau :
| x | 1691.06.12 | GUILLET Pierre « h. h. Pierre Guillet veuf d’h. f. Marguerite Guitton, avec h. f. Françoise Gaudin veuve de h. h. Pierre Guillet, avec dispense d’affinité au 3ème degré, présents Jean Guillet Plantier, Gabriel et Pierre Guillet Renouère et Perrine Regnier et René Gaudin – vue 30 » |
et bonne journée confinement à tous mes lecteurs
Bonjour Odile,
Il est vrai que nos généalogies bégayent parfois.
De mon côté, j’ai dans mon arbre :
x 03/11/1783 Chambellay
René MARY fils de René et de Marie ROUSSEAU
avec
Marie ROUSSEAU fille de René et de Marie VIGNAIS.
C’est ainsi qu’il y a quelques années, j’avais zappé ce couple et pris les grands parents pour les parents de Renée MARY née en 1790 à la Jaille-Yvon. C’est l’âge avancé des parents qui m’avait alertée !
Bonne journée.
Marie-Laure
Bonjour Marie-Laure
J’aime beaucoup votre terme « bégayer ».
Pour moi, j’ai eu rapidement autrefois une grande piste brouillée, car au mariage d’un ancêtre, le nom de la mère était totalement impossible, et c’est là que j’ai appris par l’expérience, qu’il fallait passer le peigne fin et tout reconstituer de la paroisse en question. En fait, il s’est alors avéré que la mère était décédé « en couches » et que l’enfant avait été élevé par sa grand mère, et c’est la grand mère que le prêtre a pris pour la mère le jour du mariage. Je pense que ces mélanges n’étaient pas rares lorsqu’un décès, lointain, était même oublié. Celui qui avait réellement élevé venait en confusion.
Bonne journée à vous
Odile