Jean Gault, cordonnier, procureur de Michel Bossoreille : Angers 1592

Dans mes études des GAULT, car il y en a tellement que j’avais fait plusieurs documents, selon qu’ils soient du Craonnais et Chatelais, ou de Pouancé et environs, il y a plusieurs cordonniers, ce qui pourrait faire penser qu’il existe un lien entre ces cordonniers, car comme on le sait le père apprenait au fils. Mais à ce jour je n’ai pas beaucoup de liens entre les cordonniers.
Donc, ici, c’est Jean Gault, celui qui s’est installé à Angers. Il n’est pas le propriétaire de la maison à louer seulement procureur du propriétaire. Or, ce propriétaire porte un nom BOSSOREILLE dont les descendants pensent que c’est une famille des mieux socialement.
Jean Gault, outre le fait de très bien signer, sait donc gérer au nom d’autres personnes. C’est dire qu’un cordonnier n’est pas un tout petit artisan.

Mais l’acte est très surprenant, car le bail fait moins d’un an : et il faut ici se souvenir que même nos rois déménageaient très souvent !!!

Encore plus surprenant, le locataire va devoir faire les réparations !!!! Je suis aussi étonnée que vous !!!

Cet acte est aux Archives Départementales de la Mayenne, AD53-424J39 Voici sa retranscription (voir ci-contre propriété intellectuelle)

Le 21 septembre 1592 avant midy en la cour du roy notre syre à Angers par davant nous François Revers notaire d’icelle personnellement establys Jehan Gault Me cordonnier demeurant Angers au nom et comme se faisant fort de Michel Bossoreille curateur de Perrine Bossoreille et promettant de faire ratiffier ces présentes si mestier est d’une part, et Mathurin Martineau et Sainte Martineau sa fille demeurant en la paroisse de Saint Michel de la Palludz d’autre part, soubzmetant etc et mesmes ledit Martineau et sa fille chacun d’eulx seul et pour le tout sans division etc confessent avoir fait entre eulx le marché de louaige tel que s’ensuit, scavoir est ledit Gault avoir audit nom baillé et baille auxdits Martineau et sa fille qui ont prins de luy audit tiltre et non autrement du jourd’huy jusques à la saint Jehan Baptiste prochaine scavoir est une maison et jardin estant et joignant icelle, le tout sis ès faulxbourgs de Bressigné appartenant audit Pierre Bossoreille, comme ladite maison et jardin se poursuivent et comportent sans rien en retenir ne résrever, en laquelle demeuroit cy-devant Jacques Poisnault, pour en jouir par lesdits preneurs pendant ledit temps comme bons pères de famille sans rien desmolir, à la charge desdits preneurs de tenir et entretenir ladite maison en bonne et suffisante réparation nécessaire comme le tout luy (f°2) sera baillé par ledit bailleur audit nom dedans ung mois prochainement venant pour faire lesquelles réparations lesdits preneurs seront tenuz bailler et advancer audit bailleur audit nom les deniers qu’il conviendra pour faire faire lesdites réparations, lesquels deniers leur seront desduits par ledit bailleur audit nom sur les deniers de la présente ferme, et est fait ce présent marché outre les charges susdites pour en paier par lesdits preneurs audit bailleur audit nom à raison de 25 livres pour ung an entier et au prorata payable par lesdits preneurs audit bailleur à la fin dudit temps, tout ce que dessus a esté stipulé et accepté par lesdites parties respectivement et à ce tenir etc dommages etc obligent lesdites parties respectivement mesmes lesdits preneurs chacun d’eux seul et pour le tout sans division etc renonçant etc est par especial au bénéfice de division etc et encore ladite preneuresse au droit velleien à l’espitre divi Adriani à l’autenticque si qua mulier et à tous autres droits faits et introduits en faveur des femmes que nous lui avons donné à entendre estre tels que femme ne peult intervenir interceder ne s’obliger pour autrui mesmes pour son mary sinon qu’elle ait expressement renoncé auxdits droits etc (f°3) foy jugement condemnation etc fait à notre tabler présents Julien Martineau frère dudit preneur Loys Allain et Fleury Richou praticiens demeurants audit Angers temoins, lesdites parties et Julien Martineau ont dit ne signer »

Assiette d’une rente d’un septier de blé seigle sur une moitié de maison, La Pommeraie 1520

lors de contrats de vente de biens immobiliers, ou de rentes obligataires, il est toujours prévu une clause d’hypothèque générale sur tous les biens du vendeur mais avec puissance d’en faire assiette sur un bien particulier, et je dois dire que je n’ai pas encore vu d’acte qui fasse assiette sur un bien particulier, suite à une vente, et si ces actes existent, sans doute sont-ils le plus souvent chez un notaire local et ne nous sont pas parvenus, car à Angers, il semble qu’il en existe peu chez les notaires d’Angers.

Le nom Bossoreille m’est familier, car lorsque j’étais petite ma grand mère maternelle fréquentait encore une amie de ce nom qui avait probablement été une amie de pension au tout début du 30ème siècle chez les Ursulines de Chavagnes, la grande pension des demoiselles de l’époque.

Et je me souviens également avoir été à La Pommeraie avec ma famille lorsque j’étais petite, en cette maison qui suit en carte postale, où mon père avait une grand tante par alliance qui y était résidente, car la maison faisait alors maison pour 3ème âge.

collection particulière, reproduction interdite
collection particulière, reproduction interdite

J’ai trouvé cet acte aux Archives Départementales du Maine-et-Loire, série 5E121 – Voici sa retranscription (voir ci-contre propriété intellectuelle) :

Le 22 mars 1519 (Pâques était le 8 avril 1520, donc avant Pâques, et le 22 mars 1520 n.s.) Sachent tous présents et avenir comme ainsi soit que dès le 4 may 1517 (Huot notaire Angers) René Pinault paroissien de La Pommeraye près Montejehan eust fait vendition et transport à Phelippe Bossoreille fille de Jehan Bossoreille dudit lieu de la Pommeraie, du nombre d’un septier de blé seigle de rente mesure de Montejehan bon blé sec pur nouvel et marchand par hypothèque universel sur tous et chacuns ses biens et choses meubles et choses héritaulx présents et avenir o puissance d’en faire assiette paiables par chacun an au lendemain de la feste de Notre Dame mi-août ainsi qu’il peult plus amplement apparoir par les lettres de vendition et contrat de ladite rente sur ce faites et passées et pour assignation et assiette dudit septier de blé seigle de rente ledit vendeur s’est rendu par devers Loys Lemoulnier marchand paignetier demourant à Angers à présent mary de ladite Phelippe Bossoreille et luy ayt prié et requis que son plaisir fust prendre en assiette pour le septier de blé seigle de rente la moitié par indivis d’une maison jardins appartenances et dépendances sis au bourg de la Pommeraye plus à plein confrontés et déclarés cy après ce que ledit Lemoulnier et sadite femme ont voulu et consenti moyennant ce que ledit Pinault a promis et par ces présentes promet bailler la copie des lettres qu’il a touchant et concernant la moitié de ladite maison et jardrins à luy appartenant et à ses propres cousts et despens pour servir et valoir audit Lemoulnier et sadite femme en temps et lieu ce que de raison
pour ce est-il que en notre cour à Angers etc personnellement establiz lesdites parties soubzmectant etc confessent les choses cy dessus estre vrayes mesmes ledit Pinault avoir fait vendition et transport à ladite Phelippe Boussoreille dudit septier de blé seigle de rente sur tous et chacuns ses biens meubles et choses héritaulx o pouvoir d’en faire assiette et pour assignation et assiette dudit septier de blé seigle de renet à ladite mesure de Montejehan il a affecté et obligé affecte et oblige et fait assiette dudit septier seigle de rente sur la moitié par indivis d’une maison jardrins et appartenancse sise audit bourg de la Pommeraye joignant icelle maison et jardrins d’un cousté à la maison de Guillaume Guillebault et d’autre cousté à la maison du four à ban abouctant d’un bout à la grant rue par laquelle l’on va de St Florent à Chalonnes et d’autre bout à l’aire de Jacques Gaultier ou fyé de Montejehan et tenue icelle moitié d’icelle maison jardrins et appartenances à 13 deniers tournois de cens rente ou debvoirs paiables par chacun an au jour de la My-Caresme pous tous debvoirs et charges quelconques,
laquelle moitié de maison jardrins et appartenances ledit Lemoulnier et sadite femme suffisamment de luy quant à ce autorisée, ont accepté et acceptent pour et en assiette dudit septier de blé seigle de rente et en ont deschargé et deschargent tous et chacuns les héritages dudit Pinault de ses hoirs et aians cause auparavant affectés et obligés à icelle rente et au cas que lesdites choses ne seroient suffisantes pour ledit septier de blé seigle de rente ledit contrat de vendition et création dudit septier de blé seigle de rente demeure néanmoins en sa force et vertu
et a promis ledit Pinault faire obliger Jehanne sa femme au contenu de ces présentes et icelles luy faire avoir agréables et en rendre et bailler à ses despens lettres vallables de ratiffication dedans la feste de la Penthecouste prochainement venant audit Lemoulnier et sadite femme ou l’un d’eulx à la peine de 10 livres tz de peine commise et appliquée en cas de deffault audit Lemoulnier et sadite femme ces présentes néanmoins demourans en leur force et vertu
auxquelles choses dessus dites tenir et accomplir d’une part et d’autre etc et laditemoitié de maison jardrins et appartenances ainsi baillés en assiette comme dit est garantir etc aux dommages etc obligent lesdites parties l’une vers l’autre renonçant etc et par especial ladite Phelippe au droit velleyen elle sur ce de nous suffisamment acertene etc foy jugement et condemnation
présents à ce Fleury Langlays …

    je ne suis pas parvenue à déchiffre le métier de Fleury Langlays que vous pouvez tenter de déchiffrer. Je lis ENLUMINEUX mais je n’ose pas l’écrire car j’ai plus que des doutes.
    Pour vous aider, j’ai surgraisser ma retranscription de ce passage, et vous avez ce métier à droite avant-dernière ligne, juste au dessus du mot tesmongs.
    Et bien sûr, cette vue est la propriété des Archives Départementales du Maine-et-Loire, et vous pouvez cliquez l’image pour l’agrandir.

Charles Huot clerc demourants à Angers tesmoings
fait à Angers en la rue de st Jehan Baptiste les jour et an susdits
c’est la maison du notaire Huot, qui ne fait signer personne, comme c’est le plus souvent dans ses actes

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Les Tessard de Combrée héritiers de François Rolland de la Rollandière, Melle, 1630

Melle est située près de Niort, en Poitou, et il y a environ 200 km depuis Angers, c’est dire depuis Combrée !

Françoise Tessard, veuve de Philippe Chevalier, est héritière pour un tiers de François Rolland de la Rollandière, qui vivait à Melle, et est décédé avant 1630, manifestement sans hoirs, laissant seulement une veuve.
Un autre tiers va à d’autres Tessard, dont René père et fils
et le dernier tiers à Gamalier Bossoreille.
Donc, Françoise Tessard est l’unique héritière d’un Tessard, dont le frère est père de René Tessard et des autres Tessard cités dans cet acte. Il faudrait connaître la généalogie Bossoreille pour voir comment il remonte au même degré que Françoise Tessard, mais cela peut être par les côtés maternels.

Tous ceux qui demeurent à Combrée ont nommé 2 procureurs pour faire les voyages à Melle, les accords avec Bossoreille tant à Melle qu’à Angers, et enfin pour aller toucher la somme à Angers. L’une de ces procurations figure attachée à l’acte, mais elle était peu lisible et j’ai fait de mon mieux. Elle suit ci-dessous.

Bien entendu il y a eu des frais, beaucoup de frais, et pour tout dire, autrefois il fallait que l’héritage soit important pour couvrir les frais. Ici, les héritiers ont pu vendre à Melle leurs droits successifs pour 1 049 livres, mais il ne reste que 750 livres net, et encore, on verra à la fin que les 2 procureurs de Combrée, qui sont Mathurin Chevalier, fils de Françoise Tessard, et René Tessard fils de René, ont aussi leurs frais de voyages à Melle et à Angers à se faire rembourser sur les 500 livres qu’ils remportent à Combrée dont 250 livres pour Françoise Tessard.

L’acte qui suit est extrait des Archives Départementales du Maine-et-Loire, série 5E5 – Voici la retranscription de l’acte et de la procuration attachée : Le 19 août 1630 après midy devant nous Guillaume Guillot notaire du roy à Angers furent présents en personne soubzmis et obligez Me Mathurin Chevalier notaire royal et René Tessard marchand tanneur demeurant au bourg et paroisse de Combrée pour et au nom et comme procureurs spéciaux quant à ce de Me René Tessard à présent prêtre père dudit René Tessard et de Françoise Tessard mère dudit Chevallier et autres leurs cohéritiers, héritiers de défunt François Rolland vivant sieur de la Rollandière demeurant en la ville de Melle pays de Poitou par procuration qu’ils ont apparu passée par Fauveau notaire dudit Combrée le 17 de ce mois la minute originale de laquelle en papier est demeurée avec ces présentes d’une part
et noble homme Gamalier Bossoreille Sr du Fresne demeurant Angers paroisse de la Trinité d’autre part
lesquels ont accordé ce qui s’ensuit en exécution de la convention cy devant faite entre eux pour le recouvrement de droits successifs appartenant auxdits héritiers en la succession dudit défunt Rolland portant entre autre chose que sur les droits successifs qui appartiendroient auxdits héritiers ledit sieur du Fresne en auroit fait les diligences et poursuites auront et prendront en premier les despens frais et mises tant ordinaires que extraordinaires qu’il y pourroit faire avec au surplus
c’est à savoir que sur la somme de 1 049 livres à quoi monte et revient le prix des venditions et cessions faites des droits successifs savoir les actes qui en ont esté passés par Gilles notaire royal audit Melle les 11 septembre et premier juillet dernier présentement apparu et recogneu par les parties demeurés et demeure desduit et rabattu la somme de 299 livres à quoi les parties ont composé et accordé pour tous les despens frais et mises vacations ordinaires et extraordinaires faits par ledit Bossoreille à la poursuite et recouvrement et esligement desdits droits successifs savoir les estatz et mémoires qu’il en a représentez encores qu’ilz montassent beaucoup d’avantage partant ne restoit plus dudit prix dudit contrat que 750 livres en quoy ledit Bossoreille estoit fondé pour ung tiers suivant lesdites procurations montant ledit tiers 250 livres et restoit pour lesdits héritiers que les deux tiers montant 500 livres, lesquels 500 livres ledit sieur du Fresne a payées et baillées contant présentement au veu de nous auxdits Chevalier et Tessard qui les ont receues en or et monnoie bonne et du poids suivant l’édit, et l’en ont quitté et quitte tous autres et présent acquit vers et contre tous ratiffiant par le moyen lesdits derniers accords du premier juillet pour estre de pareil effet et vertu tous ensemblement en personne y avoir assisté et demeure audit Sr du Fresne les deniers restant à payer du prix d’accords pour les débiteurs en faire poursuite et disposer ainsy que bon lui semblera

sauf auxdits Chevalier et Tessard à ce faire payer et rembourser par leurs cohéritiers des frais et mises et voyages par eulx faits tant audit Melle en cette ville que ailleurs pour raison de ladite succession mesme du voyage fait audit Melle et frais de l’enquête fait audit Combrée pour la recognaissance et éclaircissement des droits desdits cohéritiers et pour raison de quoi leur auroit esté taxé pour ledit voyage audit Melle 60 livres pour ledit voyage et 25 livres pour ladite enquête, le tout fait à condition expresse que lesdits héritiers ou aulcun d’eulx pour lesquels lesdits Chevalier et Tessard ont esté nommé agréent ces présentes, elles tiendront seulement pour le regard de ladite Françoise Tessard qui est une tierce partie au total et pour les autres qui voudront et demeureront nulles et sans effet pour celuy ou ceux qui ne les auront agréées, sans desdommagement par lesdits Chevalier et Tessard audit Sr du Fresne en cette ville maison de nous notaire et l’un restituant lesdits deniers cy-dessus receus à proportion de la part en quoy lesdits refusants y seroient fondés dedans d’huy en 7 jours, auquel cas de refus demeure réservé audit Sr du Fresne ses droitz et taxes desdits despens et frais et vaccations ordinaires et extraordinaires pour s’en faire payer …
passé en notre tablier présent Me Jean Pouriatz sieur de la Hanochaie,

Et voici la procuration attachée à l’acte précédent. Elle est assez illisible et j’ai fait ce que j’ai pu, mais j’ai encore des doutes, notamment hélas sur le prénom du Tessard père.
Aujourd’hui 17 août 1630 avant midy, devant nous Loys Fauveau notaire de la court de Combrée ont esté présents chacuns de Me René Tessard prêtre, Mathurine Tessard femme séparée de biens d’avec Jean Raoul son mary, et encore autorisée dudit Raoul quant à ce, tant pour eux que leur cohéritiers de René ? (lecture douteuse) Tessard et honorable femme Françoise Tessard veufve feu Me Phelippe Chevalier et encore Renée Commandeux cherdistier ?, Jean Bocé mari de Marguerite Commandeux, Maurice Commendeux, René Lardeux tant pour luy que sa femme, lesdits Commandeux héritiers par représentation de Commandeux et Marie Tessard
tous les dessusdits héritiers de défunt François Rolland vivant sieur de la Rollandière tous demeurant en la paroisse de Combrée
lesquels duement soubzmis establiz et obligez sous ladite court tant enleur noms que esdits noms et un chacun d’iceulx seul et pour le tout sans division confessent avoir ce jourd’huy nommé et constitué Me Mathurin Chevallier Sr des Sauts ??? (désolée je ne parviens pas à identifier le lieu) fils de ladite Françoise Tessard
et René Tessard le jeune tanneur fils dudit René Tessard leur procureur général et spécial pour recepvoir pour eux et au nom desdits constituants les sommes de deniers qui leur sont dues de la succession dudit défunt Rolland suivant la transaction et escript fait par lesdits procureurs susdits avec les héritiers de la veuve dudit défunt Rolland, en de laquelle somme en donner acquit et acquitter en leur nom lesdits héritiers de ladite veuve ou autre ayant charge desdits deniers, lesquels lesdits constituants ont par ces présentes pour agréable (effacé, illisible) auroit accordé avec Jehan Boysnault mari de Marie Dep… (effacé) si accord y a, sinon protester se pourvoir, …
fait et passé au bourg de Combrée maison de nous notaire en présence de Me René Corault prêtre de Combrée, Me Jean Pithon aussi prêtre et Pierre Paiteul Sr de Melinaye demeurant audit Combrée, et ont tous lesdits constituants dit ne savoir signer
Gloze particulièrement de Gamaniel Boussoreille escuyer Sr du Fresne, audit Sr du Fresne au main

Je suppose que Bossoreille a pour prénom réel Galmier, qui vient du latin Baldomerus, sous-diacre à Lyon au 7e siècle et honoré le 27 février, mais le notaire a bien écrit une curiosité !

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