Un dossier de recherches n’est pas un roman, il doit indiquer résumés et sources de tous les documents

Logiciel de généalogie et Internet ne servent à rien dans une recherche, ils vous handicapent.

  • Suite à la question d’hier et aux milliers de questions que je reçois, voici mes conseils.
  • Il existe en généalogie des ancêtres qui demandent une grande recherche, soit parce que leur vie comporte des éléments à éclaircir, soit parce que l’époque est trop ancienne (c’est le cas de tous mes travaux sur les actes notariés anciens). Pour tous ces cas, faîtes un dossier de recherches en utilisant le bon vieux traitement de texte. Jettez à la fois le logiciel de généalogie et Internet. Ce dernier ne peut vous être utile que pour demander ou obtenir éventuellement plus rapidement un document primaire, c’est-à-dire une reproduction numérique ou une photocopie postale d’un document original.

    Ce dossier doit avoir un plan qui comporte au minimum :

      chaque document obtenu avec sa cote d’archives, et une analyse de son contenu expliquant clairement ce qu’il dit et ce qu’il ne dit pas. Suivi d’un sous paragraphe : hypothèses et voies de recherches possibles. Nous appellerons ce § Histoire de la recherche.

      au fur et à mesure que l’on a obtenu des documents d’archives, une reconstitution chronologique des faits, reprenant en les citant, les sources d’archives explicitées au paragraphe 1. Nous appellerons ce § histoire de la famille : tel jour untel a fait ci, tel jour une telle a fait cela… en ordre chrono. Bien entendu, vous n’y ajoutez aucune chose non vérifiée et uniquement les faits contenus dans les documents trouvés. Les élucubrations sont réservées au § des Hypothèses et pistes de recherches.une liste des sources faites, que les chercheurs appellent bibliographie. Ce paragraphe est la liste des cotes de ce qui est fait. Nous appellerons ce § Sources consultées si vous avez peur du terme bibliographie

      et à la suite une liste des sources à faire, compte tenu des voies de recherches qui se sont dégagées. On peut les faire suivre d’une note sur les moyens d’y accéder et les hypothèses qu’elles recouvrent. Nous appellerons ce paragraphe Pistes de recherches.

    Lorsque la recherche est importante, un paragraphe peut être un chapître, divisé en plusieurs sous-chapîtres…
    Si vous ne savez pas énoncer en abrégé les cotes d’archives indiquez chaque source clairement (dossier DASS du département untel), etc…

    Ce dossier, et seulement ce dossier, vous permettra d’avoir une idée claire de la situation, des hypothèses envisageables. Il vous permettra de transmettre cette recherche à des tiers ou à vos successeurs, de manière claire et définitive. Vous pouvez y inclure en iconographie les extraits des documents principaux, etc… puis mettez le tout en .pdf

      Et ensuite seulement posez vos questions en résumant ce dossier clairement (document fait et donne telle chose, pas fait, etc…)
      Songez non seulement à ceux à qui vous posez des questions, mais à ceux à qui vous transmettrez vos recherches. Je reçois des milliers de questions libellées on dit que, on raconte que, sans détails, sans preuves, sans sources, et sans me dire qui a fait la rechercher et où. Comment voulez vous que je perde mon temps à répondre ?

    Vous voici devenu un vrai chercheur, un PRO, félicitations !

    Odile Halbert – Reproduction interdite sur autre endroit d’Internet Merci d’en discuter sur ce blog et non aller en discuter dans mon dos sur un forum ou autre blog.

    Pupille de la nation

    Je reçois beaucoup de questions, souvent curieusement posées. En voici une, suivie de mon avis.

  • Voici la question :
  • Bonjour et bonne année ; j ‘ai trouvé votre contact en tapant  » erreurs état civil  » dans google . Je vois que vous en connaissez un rayon, alors je me permets de vous écrire pour vous demander votre point de vue sur la situation suivante : Ma grand mère qui était « pupille de la nation, donc qui avait été mise à l ‘assistance publique par sa mère, en 1907, a bien sur, cherché à retrouver celle-ci. Elle disposait, je ne sais comment de son lieu et de sa date de naissance . , Ivry sur seine . Ma mère a conservé la lettre de sa demande en 1934 à ladite mairie d’Ivry , ainsi que la réponse officielle de la mairie avec son tampon personne inconnue dans la commune.
    L ‘ affaire en était alors restée là. J ‘ai cependant, un peu avant Noël, renvoyé la même requête à la mairie d’Ivry, sans grande conviction, dois je dire, mais, vu que les demandes d ‘acte en ligne sont possibles sur cette mairie, celà ne me coutait pas grand chose … Et bien, quelle ne fut pas ma surprise quand la mairie d ‘Ivry m ‘a renvoyé, en 2008, l ‘acte de naissance tant recherché en bonne et due forme. Et avec une mention marginale, en prime, qui m’apprends que mon arrière grand mère s ‘est mariée en 1909 avec un certain L… (bonne famille sans doute en plus mairie du 18 éme arrondissement )
    J ‘avais , entretemps réussi à retrouver , grace à une dérogation , le dossier de ma grand mère au conseil général_ archives 06 ; 2 lettres de mon arrière grand mère laissaient sous entendre clairement qu ‘elle avait confié son enfant ( de père inconnu , bien sur ) à l ‘assistance publique , mais de manière provisoire , qu ‘elle comptait bien la récuperer. Elle n’a jamais récupéré ma grand mère ni cherché à la revoir.
    MA CONCLUSION : ( êtes vous de mon avis ? ) ; sans jeter la pierre à personne car je peux très bien me rendre compte de ce qu ‘était la vie à l ‘époque ; je pense qu ‘elle a tout à fait voulu cacher à son mari cette 1ere maternité de 1907 , mais surtout pris les précautions qu ‘il fallait , à savoir acheter le fonctionnaire de l ‘état civil . (pour moi , l ‘erreur pure est inconcevable , vu les faits sus exposés , vu que c ‘est simple de lire une liste , que les employés de l ‘état civil ont l ‘habitude de faire des recherches )
    Merci de votre réponse ; croyez vous que je peux avoir une explication auprès de la mairie d ‘Ivry ? ( je gage que les fonctionnaires vont s ‘ auto couvrir d ‘office ) avez vous déjà vu des cas semblables ? cordialement . M D

  • Et voici mon avis.
  • Votre recherche doit commencer par deux actes civils concernant votre grand-mère, indispensables, avant de foncer sur une date de naissance. Vous devez d’abord obtenir les actes d’état-civil du mariage de votre grand-mère et de son décès. Normalement, ces deux actes d’état-civil doivent comporter beaucoup de mentions qui seront seules fiables pour tenter ensuite de demander un extrait de naissance de cette personne.
    Même si vous trouvez cela choquant, vous devez vérifier ce qu’a dit votre grand-mère, c’est cela la vraie généalogie.
    Le statut de « pupille de la nation » n’existait pas en 1907, et votre discours est donc pour le moins confu. Consultez le site du ministère de la Défense, qui explique clairement ce statut, réservé d’abord dès 1917 aux orphelins de la première guerre mondiale. Vous comprendrez alors que vous avez semble-t-il confondu assistance publique et pupille de la nation, et par la suite votre raisonnement devient erroné.
    Une fois que vous aurez compris que le statut de « pupille de la nation » était réservé aux orphelins de guerre, vous devez IMPÉRATIVEMENT vérifier que votre grand-mère avait bien ce statut, et obtenir un document valable vous le confirmant, soit en retrouvant les papiers de famille, soit en vous adressant au ministère en question.
    Deux hypothèses se présentent ensuite : soit elle l’avait, donc sa mère avait été reconnue veuve de guerre en 1917, ce qui signifierait que l’homme qui l’avait épousé avait reconnu l’enfant né avant mariage et était décédé à la guerre, soit elle ne l’avait pas… Vous le saurez une fois votre vérification faite au ministère.
    Si elle était à l’Assistance Publique, contactez la DASS du département de naissance, et demandez le dossier.
    Procurez vous photocopie du mariage de votre grand-mère et étudiez les éventuels enfants de ce couple, si possible en vous aidant des recensements déposés aux Archives Départementales.
    Dans tous les cas, ne raisonnez pas en gambergeant trop vite et en accusant à tort… Vous devez appliquer à la recherche des méthodes plus précises et plus scientifiques que les accusations tous azimuts… et vous verrez surement que la situation sera au final bien plus claire que vous ne le gambergez actuellement.

    Bonne recherche, et merci lorsque vous aurez franchi les premières étapes que je vous ai vivement recommandées, de revenir vers moi…. même si vous êtes décu dans vos découvertes, car parfois en généalogie on s’est fait un film, et les vrais recherches détruisent le film… et il faut savoir l’accepter, c’est cela la vraie généalogie.
    Et j’ajoute, sans craindre de le dire et de le répéter, vous devez vous déplacer et tout vérifier vous-même, ne pas vous contenter des recherches des autres pour des sujets délicats. Même si vous travaillez vous avez 4 semaines de congés par an, et vous ne devez pas hésiter à les investir dans la recherche pour avoir un résultat.

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    Une fouace le jour et fête des Rois : dans le bail

      « Une fouace de la fleur d’un boisseau de froment. »

    En Anjou (et souvent ailleurs) les closiers et métayers (les paysans) ne possédaient pas leurs terres, mais la prenait à bail à moitié dit aussi bail à métayage dans cette province.
    Dans ce bail, la moitié des fruits de la terre, c’est-à-dire des produits issus de son exploitation, revenaient au propriétaire, qui recevait aux 4 grandes fêtes, à son domicile, beurre, poulets, etc… soigneusement définis au bail. Nous y reviendrons.

    Dans certains baux, sans doute ceux dont la terre était en partie cultivée en froment, ce qui était rare en Haut-Anjou, le propriétaire précisait :

      « Au jour et fête des Rois, une fouace de la fleur d’un boisseau de froment. »

    Le terme utilisé est toujours fouace, et non fouée comme le donne l’ouvrage paru en 1993 (Inventaire du patrimoine culinaire de la France, Région des Pays de Loire, Albin Michel, 1993).
    Ainsi, dans le bail fait en mars 1599 par Guyonne Bonvoisin Dt à Angers à Symphorien Doesnau et Jacquine Denis sa femme, de la métairie de la Salle à St Saturnin (49).

    Je le trouve même dès 1504 dans le bail du moulin à eau d’Armaillé. Ce qui fait 5 siècles (au moins) de fouace en Anjou !

    La recette ne contenait pas encore de sucre, alors trop récemment découvert pour être connu des paysans, mais seulement sans doute lait, beurre et œufs. En fait une sorte de galette améliorée, que le bail de 1504 définit « une fouace, un gâteau ». C’est une

    « sorte de pain fait de fleur de farine en forme de galette, et ordinairement cuit sous la cendre » (selon tous les dictionnaires anciens).
    Mais au fait, elle devait contenir un boisseau de froment. Or, le boisseau était une mesure de capacité des grains, qui variait d’une seigneurie à l’autre, parfois de 11,31 à 13,58 litres. Il faisait donc en moyenne environ 20 livres de blé-froment, soit 9,8 kg. Mais cette quantité, élevée, ne s’applique pas à la fleur de farine, mais au froment avant passage au moulin. La phrase en effet dit bien : de la fleur d’un boisseau de froment.

    Reste donc à trouver le rendement en fleur de farine d’un boisseau de froment pour avoir la taille de la fouace.

    Sachant qu’autrefois un moulin à vent avait un rendement de 30 à 45 % en farine, la fleur de farine ne peut dépasser 10 à 20 %, donc 1 à 2 kg.

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    Fleur de farine et pain blanc

    Demain, pour la fête des Rois en Anjou (et ailleurs) nous avons besoin de fleur de farine.

    La fleur de farine, tirée par le sas et bluteau, c’est aussi celle qui vole par les moulins, et se tient contre les parois, dite fole farine (Nicot, Thresor de la langue française, 1606) – c’est la plus pure, la plus fine farine que les Boulangers mettent en usage (Diderot, Encyclopédie)
    C’était la partie la plus noble de la mouture du blé, celle qui n’était pas le pain quotidien de nos ancêtres, aussi avaient-il le proverbe « Ne mange pas tout ton pain blanc le premier ».

    Née en 1938, je fais partie des petits Français qui ont découvert le pain blanc après la guerre. Nous étions de retour à Nantes après avoir fui les bombardements. Un jour, notre papa (je suis l’aînée d’une tribu), qui n’était pas fervent de prières quotidiennes, s’est levé de table, puis, solennellement, il nous a demandé d’en faire autant nous disant

      « mes enfants, nous allons mangé ce jour du pain blanc, remerçions Dieu »,

    et ce jour-là, effectivement j’ai découvert le pain blanc. C’est ainsi que j’ai dit l’unique Benedicite de mon existence ! c’est dire s’il est resté gravé en ma mémoire !

    Ce pain blanc n’avait rien à voir avec nos baguettes fantaisies actuelles, c’était une énorme miche, pesant 4 livres, que nous avons connu longtemps, longtemps encore.

    Puis, le pain blanc est devenu tellement notre pain quotidien qu’on a réinventé les fibres et autres pains fantaisies, chers de nos jours aux boulangers et nutrionnistes.

    Qui se souvient encore des privations de la guerre, des vertus d’un pain blanc quand on en manque, qui comprend le proverbe ?

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    Carte de Voeux de Bonne Année en 1905

    Voici la carte reçue par ma grand-mère en 1905 !


    Le trèfle à 4 feuilles semble annoncer de bonnes choses : Nous avons dû lui aussi l’oublier un peu, sans doute parce que le trèfle lui même est devenu invisible à la plupart d’entre nous ! Je n’y ai jamais cru mais j’ai souvent entendu parlé de cette croyance de porte-bonheur qu’on lui attribuait.
    La carte est en relief, ce que rend la vue du recto. Même le filet doré est en relief.
    Enfin, on est tellement heureux d’avoir découvert la carte postale que le terme figure en 16 langues, pas moins ! La première guerre mondiale n’était pas encore passée là.
    Je pars voir des petits-neveux (5 et 6 ans) et je vais leur faire voir ma montre squelette. C’est le joli nom donné par les horlogers aux montres dont on voit le mécanisme, et la mienne est squelette recto-verso, de sorte qu’on voit aussi la masselotte.
    Un bon conseil, veillez bien sur vos montres goussets Henri, celle de ma grand-mère a disparu il y a 11 ans lors d’une visite en règle de mon appartement !

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    Le rôle de taille de Faye d’Anjou en 1635

    vignerons des côteaux du Layon

    Le rôle de taille de 1635 de la paroisse de Faye sous Thouarcé est d’autant plus précieux que les registres paroissiaux ne commencent qu’en 1668 !

    Il y a une semaine nous fêtions l’arrivée de la confiserie, douceur pour Noël. Aujourd’hui je vous propose la douceur des vins d’Anjou pour le réveillon, douceur historiquement tellement ancienne !
    Je mets ce jour en ligne le dépouillement du rôle de taille de Faye sous Thouarcé en 1635.
    Le métier est très souvent donné. Voici en ordre alphabétique :

      Charbonnier (1), charpentier (5), closier (3), cordonnier (1), fagottier (3), faulconnier (1), fermier (2), filassier (4), forestier (1), laboureur (11) maçon (1), marchand (4), maréchal (3), mercier (1), métayer (10), meunier (10), noble (5), notaire (2), pauvre (10), prêtre (4), sabotier (4), sergent royal (2), serger (5), tailleur d’habits (5), tissier (8), tonnelier (7), veuve (56), vigneron (142), indéterminé (35).

    Au passage, soulignons un métier peu fréquent, le faulconnier. Les faucons étaient-ils utilisés pour la chasse dans les vignes ? je vous pose la question, d’autant qu’il y a 5 familles nobles ayant droit de chasse.
    Les métiers de la vigne dominent avec 142 vignerons et 7 tonneliers. Le taux d’imposition des vignerons atteste une grande disparité des revenus : ils paient en moyenne 7,6 livre avec un écart-type de 5,5 ; 9 d’entre eux sont dans la misère avec moins d’une livre. Cependant ces chiffres ne donnent pas les vignerons plus aisés que la moyenne de la paroisse, en effet, dans ce calcul ne sont inclus que les vignerons actifs, alors que de nombreuses veuves et pauvres sont manifestement des mères de vignerons.

    Ce rôle atteste deux phénomènes démographiques importants :
    Le premier point important concerne le nombre de feux, c’est à dire de contribuables. En 1635, la paroisse de Faye compte 346 feux. Sachant qu’on compte habituellement 5 personnes par feu, il y aurait 1 730 habitants. Ce chiffre paraît élevé, comparé aux chiffres connus par ailleurs « 260 feux en 1720. — 1 174 hab. en 1790. — 1 297 hab. en 1831. — 1 229 h. en 1841. — 1 275 hab. en 1851. — 1 220 hab. en 1861. » (C. Port, Dict Maine et Loire, 1876) Il semble que le nombre de contribuables, normalement égal au nombre de feux, doit être revu à la baisse. En effet, il y a un nombre élevé de personnes seules en particulier de veuves. Lorsque j’ai retranscris le document original, j’avais le sentiment parfois que des personnes seules habitaient manifestement le même toit, car il est impossible d’avoir eu tant de personnes seules et tant de toits. J’ai même pensé à un hospice pour personnes démunies ou autres… Mais je n’ai en fait aucune explication…
    Le second point important, voire même surprenant, est la diversité des noms de famille. Généralement, à cette date de 1635, les noms de famille dans une paroisse attestent l’enracinement local de certains patronymes. Or, le rôle de Faye en 1635 donne 205 noms (pour 346 feux) différents sans compter les orthographes variables d’un même nom, que j’ai bien sûr éliminées. Il s’agit donc d’une population plus brassée que dans les paroisses agricoles du nord de l’Anjou. La vigne devait donc attirer, bien que les revenus ne soient pas supérieurs à ceux des cultivateurs du nord de l’Anjou, malgré la qualité du vin de Faye.
    Partant, ce rôle ne sera d’aucune utilité aux généalogistes, compte tenu du fossé entre 1635, date du rôle, et 1668, date du premier registre paroissial, soir plus d’une génération ! Mais surtout, le brassage de population y est tel qu’il n’est pas possible de prédire la stabilité des familles !
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    Voir le rôle de taille de Faye-d’Anjou

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