Chronique de la famille de Cevillé 1638 f°149 de 162
Ces photos sont là pour protéger ce document rarissime. Cette chronique a été intégralement retranscrite, analysée (car tout n'est pas crédible), commentée et complétée. Reportez vous à :  Chronique des Ceville.HTML | histoire des Goucet de Cevillé.PDFhistoire des Cevillé.PDF
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et en cette considération [emploit] (papier mangé) Mathurin Cevillé mon frère qui n’était (papier mangé) auquel Ambroyse Lemasson ma grand-mère (papier mangé) offerte ledit François est habitué en l’église de la Trinité de Laval
Jean Mondière est aveugle de naissance, de son mouvement et contre le gré de ses frères, il s’est fait boulanger. Il est fort industrieux, même à couper et polir le bois. Il cueille les fruits des arbres tout aveugle qu’il est et ce qui est de plus étonnant la nuit il veut de la chandelle allumée à tout ce qu’il sait encore, que certainement il ne voit pas son travail, non plus durant le jour. Il s’est marié et vend du pain à Laval
Pierre Mondière fils et frère des susdits, a suivi le trafic en Espagne. Il y est marié, il y a bien 15 ou 16 ans. Il a fait aux Indes et en la Marguerite plusieurs et heureux voyages
Françoise Mondière est encore une fille. Elle a près de 45 ans et demeure avec sa mère à Laval comme dit est
Chronique de la famille de Cevillé 1638 f°149 de 162
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    chronique des Cevillé 

par Odile Halbert Travaux personnels relevant de la propriété intellectuelle