Je trouve en 1688 le terme CASSEUR au Loroux-Bottereau. Si je connais bien de nos jours la signification, elle était manifestement très différente en 1688. Mais à part des pierres, que pouvait-on casser ? et quelles pierres y avait-t-il donc au Loroux-Bottereau. Certes, il fallait beaucoup de pierres à Nantes, entre autres pour paver les rues, de pavés que j’ai bien connus, et que, de vous à moi je ne regrette pas.
Alors, je demande à tous s’ils ont une idée de ce métier de casseur.
° | 1688.09.29 | BRETAUD Perrine « fille de Louis Bretaud et Perrine Bouyer, parrain h. homme Louis Giraud marchand casseur, marraine Julienne Pouivet femme de Claude Rondineau – vue 51 » |