Pierre Papin cumulait les erreurs dans son état civil

Sur mon site vous avez tous les pièges des recherches de filiation, que j’appelle généafolie.
Parmi mes nombreuses pages, vous avez une page consacrée aux erreurs dans l’état civil. Je me souviens de mes débuts, car j’ai très tôt rencontré une erreur monumentale, lorsque j’ai remonté ma grand mère paternelle née ALLARD en Anjou. A cette époque des recherches, on ne connaissait pas encore la numérisation sur Internet et même pas les microfilms qui ont précédé la numérisation, on était directement sur le registre papier en salle de lecture des Archives, dont j’allais à Angers souvent. Je me souviens avoir passé des jours et des jours à tout dépouiller le registre pour comprendre et ce n’est qu’après des jours de recherche exhaustive que j’ai pu comprendre que le nom de la mère sur un mariage était en fait le nom de la grand-mère, et que la vraie mère était décédée en couches et le bébé élevé par sa grand-mère, et lors du mariage le nom de la vraie mère était même oublié, car avant tout notre état-civil actuel, il n’existait le plus souvent que la connaissance orale car le prêtre ne vérifiait pas toujours bien dans le registre la filiation des futurs époux, et se contentait parfois des dires, donc la vraie maman était oubliée de la famille. C’est avec cette expérience fastidieuse que j’ai appris à me méfier des sources parfois, et ce jour je viens vous conter les erreurs dans l’état civil de mon ancêtre Pierre Papin.
Pierre Papin était loin d’être l’aîné d’une fratrie de laboureurs, et on le maria à une veuve, bien plus âgée que lui, qui avait eu déjà 4 enfants. Ce cas de mariage n’était pas si rare autrefois.
Mais non seulement il a fait ce mariage arrangé par devoir pour une veuve, mais les actes concernant Pierre Papin comportent des erreurs :
• A son baptême sa mère est nommée BOUQUER au lieu de Boutin
• A son mariage son père est prénommée JEAN au lieu de Jacques
Je viens de passer 15 jours à raison de plusieurs heures par jour, les yeux sur les registres de Vieillevigne et de Saint-André-Treize-Voix (avec un x avant la Révolution et avec es par erreur depuis) et j’ai tout reconstitué en notant tout ce que disaient les actes par rapport aux liens lors des parrainages et des présences dans les actes.

Pierre Papin est né à Viellevigne « le 19 juillet 1671 baptisé Pierre fils de Jacques Papin et de Jacquette Bouquet demeurant au village des Noues parrain Jean Salaud marraine Marie Belliard »

Mariage « Saint-André-Treize-Voix le 21 janvier 1696 Pierre Papin mineur fils de feu Jean et Jacquette Boutain, et Marie Ganachau veuve de Denis Boussonnière de cette paroisse, présents Jean Papin et Mathurin Querion, décrété par la cour de Vieillevigne le 4 du présent mois, et ladite Ganachau assistée de Pierre Ganachau et Pierre Marbeuf »
Les registres de Vieillevigne sont très illisibles et il faut du courage pour s’y éterniser, mais je ne regrette pas mon temps passé, car j’ai tout reconstitué et je suis sure. C’était cependant facilité parce que les Papin y sont rares, voire exclusives et que Jacquette Boutin, la vraie mère de Pierre Papin a eu beaucoup d’enfants.
Et maintenant, j’ajoute que Marie Ganachau avait 9 ans de plus que lui mais que sur les 4 enfants qu’elle a déjà eu de Denis Boussonnière, seule une fille semble avoir survécu, car j’ai trouvé les inhumations des autres. Enfin, Pierre Papin ne fut pas si malheureux car ses parents eurent la bonne idée de le mettre apprenti charpentier, et grâce à son métier il échoue à Mauves avec son épouse où manifestement on avait besoin de charpentiers.
Mon ascendance à Jacques Papin x ca 1656 Jacquette Boutin
Le tout dans les marches de Bretagne : Clisson et environs – Vieillevigne et Saint-André-Treize-Voix

11-Jacques Papin °ca 1624 †Vieillevigne 1684 x ca 1656 Jacquette Boutin °ca 1623 †1683
10-Pierre Papin x /1701 Marie Ganacheau
9-Pierre Papin x Carquefou 23 mai 1726 Jeanne Boissinot
8-Michel Papin x La Chapelle-Basse-Mer 1759 Françoise Simoneau
7-Françoise Papin 2x La Chapelle-Basse-Mer (clandestin) 12 François Rousselot juillet 1796
6-Augustine-Elisabeth Papin x Clisson 16 avril 1825 René-Victor Rousselot
5-Augustine Rousselot x Clisson 12 octobre 1851 Charles Audineau
4-Charles Audineau x Segré (49) 22 novembre 1881 Aimée Guillot
3-Aimée Audineau x Nantes 1908 Edouard Guillouard
2-mes parents
1-moi
et vous avez mon immense étude sur mon fichier familles PAPIN car j’ai 2 ascendances PAPIN différentes dans la région.

 

Jeanne Crespin épouse Lepage est la soeur de mon Pierre Crespin, enfants de Barbe Bodin

Ce qui suit est la preuve de filiation de Jeanne Crespin épouse de Louis Lepage, suite à mes immenses recherches dans les chartriers et les notaires. Jeanne CRESPIN est pour moi une collatérale, mais elle a de nombreux descendants, comme son frère Pierre dont je descends et qui a de très nombreux descendants.


Bourg-L’evêque (49) « Le 27 décembre 1684 a esté enterré dans l’églize de Bourg Levesque le corps de deffuncte Jeanne Crespin par nous curé soubzsigné » Les très nombreux généanautes qui parlent de Jeanne Crespin ont eu la flegme de chercher son décès, et même si aucune filiation ne figure sur cet acte de décès, je peux affirmer que c’est elle car :

  • Elle est l’unique porteuse de ce nom à Bourg l’Evêque
  • On sait par ailleurs que Jeanne Crespin épouse de Louis Lepage est décédée entre 1669 et 1700
  • Le curé de Bourg-l’Evêque inhumait tout le monde au cimetière sauf les rares notables aisés, et c’est le cas de Jeanne Crespin. Son acte de décès est donc parlant malgré l’absence de filiation puisque l’inhumation dans l’église est le signe de sa notabilité.

Je vous ai mis sur mon blog ces temps-ci des actes du chartrier de Saint Julien l’Ardent en Chatelais série H64 concernant les aveux de mon ancêtre Pierre Crespin, que j’avais autrefois très longuement étudié et publié.  Lors de ces recherches que j’avais faites sur ma famille CRESPIN, j’avais relevé la présence d’une soeur de mon Pierre Crespin, prénommée Jeanne, et j’avais trouvé sur les registres paroissiaux 2 mariages la concernant, sans toutefois tout comprendre car dans le premier elle épouse René Garnier et dans le second elle épouse Louis Lepage se disant veuve de René Maslin. Ces 2 actes, que je vous remets ci-dessous concernent absolument la soeur de mon Pierre Crespin.

« Châtelais le 3 juillet 1659 René fils de honneste homme René Garnier et honneste femme Marie Lemesle de la paroisse du Bourg l’Evesque d’une part, et Jeanne fille de deffunt honneste Sébastien Crespin et honneste femme Barbe Bodin de cette paroisse d’autre part … en présence du sieur Garnier père dudit marié, et Bodin mère de la mariée et vénérable et discret messire François Bodin prêtre prieur curé de Borc en Poitou [Borcq sous Airvault (Deux-Sèvres], et honneste homme Charles Poustier sieur de la Martinière et Pierre Crespin » J’ai beaucoup étudié ces BODIN qui sont miens et ce Pierre Crespin est mon ancêtre, frère de Jeanne. Mais il était impossible ensuite de lier cette Jeanne Crespin, soeur de mon Pierre Crespin, au mariage suivant car elle y est dite veuve de René Maslin et non de René Garnier.

« Bourg-L’Evêque le 6 août 1675 Louis Lepaige fils de deffunt Nicolas Lepaige et de Louise Simon ses père et mère paroissien de Pommerieux, et Jeanne Crespin veuve de deffunt René Maslin de cette paroisse, en présence de François Garnier et René Robinault  »

C’est le chartrier de Saint-Julien-l’Ardent qui donne la preuve formelle que cette Jeanne Crespin épouse de Louis Lepage est bien la fille de Barbe Bodin, et soeur de mon Pierre Crespin, car dans un chartrier on déclare non seulement ses biens immobiliers mais d’où ils proviennent, c’est à dire achat ou succession, et dans le cas de succession, le nom des parents est même parfois clairement écrit, comme c’est ici le cas, et Jeanne Crespin épouse de Louis Lepage est bien la fille de Barbe Bodin dont elle a hérité :

AD53-H64 chartrier de Saint-Julien-l’Ardent en Châtelais [eh oui ! il est classé en Mayenne alors que Châtelais est en Maine-et-Loire] « Avril 1682 aveu LEPAGE Louis (f°11) mary de Jeanne Crespin détempteur d’un lieu au village de la Gaullerie en la paroisse de Chatelais, a comparu le deffendeur en sa personne, lequel audit nom s’est advoué subject en nuepce de la seigneurie de céans pour et à cause de son lieu de la Gaullerie en cette paroisse, à ladite Crespin eschu de la succession de deffuncte Barbe Bodin sa mère, lequel il offre bailer par déclaration avec confrontation suisant l’ordonnance et confessé qu’il est deub chascun an au terme d’Angevine à la recepte de cette seigneurie 12 deniers de cens ou debvoir coutumier et féodal, qu’il offre servir et continuer à l’advenir, dont l’avons jugé et de ce qu’il a déclaré que ladite Crespin sa femme a vendu partie dudit lieu à Pierre Crespin son frère, depuis les partages faits entre eux, à ce moyen nous l’avons condamné fournir par déclaration des choses qu’il tient en la seigneurie de céans dans le 29 mai prochain jour de la remise de la prochaine assise qui se tiendront adit lieu, ou il emporte justification à peine de deffault y employer lesdits 12 deniers de cens ou debvoir, les servir et continuer en payer 29 années d’arrérages … »  signe

 

 

Non, l’IA intelligence artificielle ne remplacera jamais les recherches, car trop d’erreurs dans les bases en ligne

Ce jour au congrès généalogique du Finistère, il va être question de l’IA et voici mon point de vue.
L’intelligence artificielle ne remplacera pas les recherches car les bases actuelles de données son bourrées d’erreur et lacunes.
Ces derniers temps j’en découvre presque quotidiennement, et chaque fois je suis choquée, car la majorité des généanautes ne font que copier, donc n’utilise que les données comme le fera l’IA et copient allègrement les erreurs.
Mes données, fruits de longues recherches, et non mélangées aux autres, sont pompées, volées et le plus souvent je ne suis pas citée du tout ou bien le nom qui est cité est celui de mon voleur de données. Mais les données fiables comme la mienne sont mélangées aux erreurs.
Beaucoup d’homonymes sont tout bonnement confondus, sans preuves… uniquement parce que le nom est le même… etc…
La dernière erreur vue ces jours-ci concerne même un relevé qui donne MASSET alors qu’il s’agit bien de MASSEOT, famille que j’ai étudié, et dont j’ai relevé les tables, qui cette fois n’ont pas été copiées comme l’on été les autres… et je vous assure qu’on voit bien la lettre O dans ce baptême.
Il y a quelques mois j’ai constaté avec chagrin cette fois une immense erreur, qui est tout bonnement horrible, et fait frémir. Je voulais voir si mes petits neveux et nièces étaient en ligne. Ils n’y étaient pas. Mais, HORREUR, seul celui qui est adopté était descendant et bien présent dans Geneanet, alors qu’il a connaissance de ses père et mère biologiques. On voit que ce n’est pas lui qui est à l’origine de cette horreur, mais un généanaute faisant n’importe quelle descendance sans preuves. Ses parents adoptifs, que j’ai tant aimés, sont décédés depuis plusieurs années.
Pour que l’intelligence artificielle fasse de la généalogie, il faudrait un Gerard de Villeneuve à la tête de Roglo, et travailler comme il a travaillé et il faudrait détruire Geneanet qui ne connaît même pas le terme PREUVE

La saga des FERRAND de Chalinargues (Neussargues-en-Pinatelle, 15 Cantal) à Vannes

Nombreux sont les descendants de ce FERRAND venu à Vannes vers 1830, dont mon beau-frère Gilles auquel j’offre en cadeau d’anniversaire pour ses 90 ans la généalogie ou saga des FERRAND de Chalinargues à Vannes.

Je viens de passer 2 mois dans les registres d’Auvergne, que je n’avais jamais étudiés, et j’y ai découvert beaucoup de différences dans les modes de vie avec l’Anjou que je connaissais.

Mais j’ai fait 3 découvertes importantes concernant les Ferrand de Vannes :

  1. Etienne Ferrand, l’auvergnat qui a migré à Vannes, avait perdu sa mère à 3 ans, son père à 10 ans. Il avait frères et sœurs dont je ne sais ce qu’ils sont devenus. Je suppose que c’est sa famille maternelle les Mauret qui l’ont pris en charge et l’ont expédié lors du départ pour la Bretagne avec un groupe. Cette histoire est très touchante et ce d’autant plus qu’on connaît la réussite de ce petit Etienne et de ses descendants. Mais je n’ai pas encore trouvé si une tante ou un oncle avaient fait avec lui la migration… Mais je rappelle qu’autrefois on plaçait les enfants de 10 ans domestiques et on a pu le placer comme domestique d’un partant pour Vannes, et ensuite tous les domestiques ne finissaient pas mal, certains s’en tiraient fort bien comme je l’ai montré dans mon étude des FAUCILLON et celle des MOUNIER.
  2. En 1893 décède à Vannes Jean Louis Fagault, dont j’ignorais l’existence, or, il s’agit d’un cousin germain de René Fagault le fondateur de la lignée de la Turballe-Belmont, et il avait migré avec lui à Piriac, et était avec lui employé de commerce de la toute nouvelle usine de conserves de sardines à la Turballe. Je ne lui ai pas trouvé de descendants, ce qui ne signifie pas qu’il n’en a pas eu… Mais j’ai ainsi compris les liens entre Vannes, les Ferrand, et la Turballe-Guérande des Fagault.
  3. La mère d’Etienne Ferrand, née Mauret avait une grand-mère mariée à 12 ans : x Chalinargues (15) 30 novembre 1702 « mariage Geraud Mauret 24 ans et Pierrette Ganilh 12 ans, tous de Chalinargues, de la qualité de laboureurs au dessous de 100 livres de revenu, présents Jean Mauret (s) et Antoine Meiniel (s) Vidal Aliot et Antoine Delorme » Elle s’appelait Pierrette GANILH et 25 ans après son mariage elle faisait encore des enfants… J’ai publié autrefois sur mon blog 2 articles sur le mariage à 12 ans parfaitement autorisé par le droit canonique d’antant pour les filles. Ne soyons donc pas étonnés de nos jours des autres populations qui le pratiquent encore puisque nous l’avons pratiqué.

Le Cantal

Les Ferrand de Vannes en furent, comme beaucoup d’autres Auvergnats. Je viens de me plonger 2 mois dans les registres d’Auvergne à leur découverte, et ce fut pour moi, habituée à l’Anjou et la Bretagne, une immense découverte.

Pas de maisons isolées mais des villages importants

Les lieux-dits ne sont pas des fermes isolées, mais de véritables villages, ainsi celui de Mons le Ferrand en Chalinargues, dont sont issus les Ferrand, et la Peschaude est également un lieu-dit en forme de village comme celui de Mons etc…

 

 

Une grande solidarité, dont l’écriture

J’ai eu le sentiment que grâce à cet habitat regroupé ils apprenaient plus de choses ensemble, ainsi l’écriture, car plusieurs Ferrand signent au 18ème siècle alors qu’il n’y a pas d’école.

Un attachement de plusieurs siècles au village

Originaire de Chalinargues, dans le Cantal, près de Moissac, arrondissement de Saint-Flour, canton de Murat. Chalinargues (code postal 15170) compte aujourd’hui 440 habitants

Chalinargues est au sud du Cantal à 700 km de Vannes, tout près de Murat et Moissac.

Aujourd’hui Chalinargues relève de la commune de Neussargues-en-Pinatelle.

La carte de Cassini donne MONSDEFRAND soit Mons de Ferrand, tel que le village s’appelait alors en Chalinargues.

De nos jours il existe toujours des FERRAND à Mons qui fabriquent et affinent du Salers, Cantal AOP et beurre fermier. https://www.hautesterrestourisme.fr/fr/fiche/degustation/ferme-de-ferrand-neussargues-en-pinatelle_TFO4839734/

 

Méthodologie

Mes travaux de généalogie sont 100 % mes recherches uniquement fondées sur des preuves telles qu’état civil et actes notariés, sans prendre en compte les anciennes publications et autres mauvaises sources, et je n’importe jamais aucun fichier des autres prétendus généalogistes.
Chimiste, exercée à une science exacte, j’ai été horrifiée lorsque les logiciels de généalogie sont apparus devant toutes les innombrables erreurs et copies, et j’ai alors publié sur mon site l’analyse de ce phénomène de FALK NEWS démultiplié par l’informatique, et j’avais intitulé mon analyse des sources d’erreur sous le nom de GENEAFOLIE. Hélas, depuis cette publication, je constate que le phénomène a tellement empiré que toutes les bases de données généalogiques sont pourries, même celles qui se prétendent meilleures.
C’est la raison pour laquelle je refuse depuis toujours d’utiliser un logiciel car non seulement il mélange les travaux, mais il ne prévoit rien pour les recherches telles que les miennes.
Au cours de mes 2 mois de recherches sur les FERRAND, j’ai pu voir sur ces bases des horreurs, en très grand nombre.
Mais j’ai aussi pu constater que la généalogie était bien loin d’être une passion pour tous, car malgré tant d’années et tant de cercles subventionnés, j’ai observé peu de travaux sur Chalinargues, et tous erronés.

 

 

Signatures des LAILLER de Noyant-la-Gravoyère (49)

Certaines bases de données évoque l’orthographe différente et douteuse des LAILLER de Noyant-la-Gravoyère. Je vous mets demain un acte notarié avec les signatures des 3 frères en 1622 qui atteste l’orthographe LAILLER.
Ce jour, je vous mets les signatures dans le registre paroissial. Hélas, les prêtres ne faisaient pas signer avant 1600, et par ailleurs, vous savez bien qu’ils faisaient signer les parrains et marraines, pas le père, même si rarement ce dernier se manifestait tout de même, mais rarement.
Il s’ensuit que pour trouver ces signatures il faut donc trouver les actes dans lesquels ils parrainnent. Voici les LAILLER de Noyant-la-Gravoyère de 1604 à 1615, avec l’un d’eux qui a du mal avec l’orthographe, sans doute avait il besoin de lunettes ?


Jacques LAILLER 1604

Renée LAILLER octobre 1604

Anthoine 1606

Anthoine 1607  qui manifestement ne sait pas trop son orthographe car ci-dessus c’était différent

Jehan LAILLER 1609

Guy LAILLER 1615

La généalogie ne passionne pas tout le monde : la preuve, Philippe Chatrier est oublié, enfin pas du tennis, seulement de la généalogie

Philippe Chatrier est né le 2 février 1928 à Créteil et mort le 23 juin 2000 à Dinard.
Joueur de tennis puis journaliste et dirigeant sportif, il a donné son nom à un des cours de tennis à Roland Garros, que je regarde à la télé chaque jour longuement de 28 mai au 11 juin. Et j’en conclus qu’il faut oublier la généalogie.
Au fait, celle de Roland Garros est sur Roglo.