Partage en forme de transaction Delafosse, Goussault, Boumier, Orthion, Cherré 1607

Cette transaction donne les liens filiatifs, toujours utiles lorsqu’il y a eu des remariages. En outre, comme tout partage, elle permet de dire combien d’enfants il y a du premier lit.

L’acte qui suit est extrait des Archives Départementales du Maine-et-Loire, série 5E5 – Voici la retranscription de l’acte : Le 16 mars 1607 après midy sur les procès meuz ou espérés mouvoir entre sire René Delafosse marchand mary de Margarite Boumyer demandeur d’une part
et honorable homme Me Jehan Goussault notaire royal audit Angers et Catherine Orthion sa femme auparavant veufve de feu Maurice Boumyer vivant père de ladite Margarite du mariage de luy et de défunte Thomasse Liberge sa première femme déffendeur d’autre part,
sur ce que ledit Delafosse auditnom demandoit que partage fust fait des propres demeurez du décès et succession dudit défunt Boumyer qui sont une pièce de terre contenant 12 boisselées ou environ sises en la paroisse de Cherré d’une petite maison jardin terre labourable et vigne sise au lieu de la Brosselaye paroisse de Contigné pour en avoir par ledit déffendeur ung tiers et icelle Orthion deux autres tiers comme héritiere usufruitière dudit Maurice et François les Boumiers décédez depuis leur père de l’autre tiers desdits deux tiers demeurés audit Delafosse audit nom si mieux n’aiment lesdits défendeurs et encores de composer avec luy des despens et intérests
à quoy lesdits défendeurs disoient qu’ils n’empeschoient lesdits partages ains demandoient que ledit demandeur fist lesdits partages suivant la coustume et estoient prests de procéder à la choisie du jour de ce convoqués
ont lesdites parties transigé et accordé comme s’ensuit pour ce est il que en la court du roy notre sire audit Angers personnellement establis ledit Delafosse marchand demeurant audit Parcé tant en son nom que comme se faisant fort de ladite Boumyer sa femme à laquelle il a promis faire ratifier ces présentes et en fournir lettres valables de ratiffication d’une part et ledit Mathurin Goussault notaire royal audit Angers et ladite Orthion sa femme de luy suffisament autorisée par devant nous quant à ce demeurant en la paroisse de Saint Pierre dudit Angers d’autre part soubzmettant lesdites parties respectivement confessent avoir transigé et accordé comme s’ensuit, c’est à savoir que pour tout le douaire et usufruit appartenant à ladite Orthion des choses cy dessus seulement est demeuré et demeure auxdits Goussualt et sadite femme ladite pièce de terre appelée le Molon sise en la paroisse de Cherré pour en jouïr par ladite Orthion par usufruit seulement suivant la coustume de ce pays et encores ledit Delafosse esdits noms a quité cedé et transporté et par ces présentes quite cèdde et transporte à ladite Orthion une boisselée de terre sise près ledit lieu de la Brosseraye paroisse de Contigné en ung cloteau de terre dont le reste appartient à icelle Orthion pour en jouïr par ladite Orthion de ladite boisselée de terre en pleine propriété et à perpétuité pour elle ses hoirs comme de ses propres héritages et le surplus des héritages situez audit lieu de la Brosseraye demeurent audit Delafosse esdits noms sans que ladite Orthion y puissent rien prétendre ne demander pour l’advenir et moyennant ces présentes demeurent lesdit Goussault et sa femme quites vers ledit Delafosse esdits noms des jouissances et fruits par eulx pris esdites choses en ferme par eux receues ensemble des requestes que ledit Delafosse leur eut peut ou pourroit demander …

Odile Halbert – Reproduction interdite sur autre endroit d’Internet Merci d’en discuter sur ce blog et non aller en discuter dans mon dos sur un forum ou autre blog. Tout commentaire ou copie partielle de cet article sur autre blog ou forum ou site va à l’encontre du projet européen

7 réponses sur “Partage en forme de transaction Delafosse, Goussault, Boumier, Orthion, Cherré 1607

  1. Bonjour Mme Halbert. J’aurais préféré vous écrire personnellement, je vais donc écrire ici l’essentiel. Tous d’abord un grand merci pour votre travail très important et aussi pour l’avoir mis à notre disposition. On y trouve non seulement le minerai mais le métal raffiné, les grimoires traduits … Nous n’avons plus qu’à lire et découvrir. Laissez causer les ignorants, les impolis, les jaloux, les mal éduqués. Nous sommes nombreux à apprécier la qualité de votre oeuvre.

    Je voulais juste vous remercier. Je suis un descendant entre autres des Orthion autour de Saint-Saturnin (où il y a eu aussi des Halbert). Notre famille a perdu son H au XIX°. Mon agp. avait construit sa maison sur l’ancienne église de La Bohalle je crois, au Vieux Bourg. Dans le jardin il y avait une colonne avec le buste de Jean Bohalle que mon grand oncle a donné à la Commune. Quand j’étais enfant je passais mes vacances chez ma grand-mère aux Bigottières, à 200 mètres du Vieux-Bourg, cette vieille maison, dont personne ne connaît l’origine (baillage?) unique en Anjou pour son style, qui avait abrité les personnage d’un roman de Mathide Allanic « Le devoir d’un fils », qui a logé aussi Marie-Madeleine, la maman de Gaby Morlay. (On y a aussi trouvé dans une cave des fers de forçats, sans pouvoir en connaître l’histoire).

    C’est donc dans cette ambiance particulière que j’ai été atteint par le virus de la passion pour ces bords de Loire, ses habitants, ses paysages, ses ciels, ses odeurs de vase, ses bruits de clapotis au bas des escaliers de la levée, ses pâtés au prunes et ses anguilles, Côteaux de l’Aubance et Savennières …

    Toujours en recherche de l’origine du nom « Orthion », je rencontre souvent ce nom dans mes lectures auprès des cousins et alliés de nos ancêtres, les Vétault, Daburon, Goubault, Avril, Poirier, Blanche, Fourmy, Brault, Lebreton, Camus, Beausoleil … mêlant les bourgeois, les marchands, les « annoblis », les pauvres paysans, les curés, les « seigneurs » de 4 hectares, et c’est l’occasion de me plonger dans l’Histoire toujours plus profond, mais en dilettante bien sûr tellement ce monde du passé est vaste et au risque de m’y perdre sans guide.

    Voilà donc une adresse de plus d’un admirateur, à mettre dans vos carnets ! Avec ma plus profonde considération.

    J-L / G-O

      Note d’Odile : je suis aussi amoureuse de la Loire, et vit sur ses bords, mais en haut d’une tour de béton dans un ensemble, et le clapotis ne m’atteint pas plus que le trafic du périph. dont nous sommes protégés par double vitrage. Pour en gouter le plaisir je peux cependant descendre me promener le long de la Loire.
      Le terme seigneur signifiait propriétaire foncier autrefois, et n’a aucun contenu d’orgueil.
      Le nom Orthion a même donné l’Ortionnerie à Montjean-sur-Loire. Nul doute que comme le nom Halbert, il a une origine germanique ORTH
      Mon H s’est maintenu sur plusieurs siècles, à l’exception d’un unique acte de sépulture sur le registre clandestin de catholicité pendant la guerre civile de la Vendée, au cours de laquelle mon ancêtre favorable aux bleus fut massacré par ces mêmes bleus qui ne faisaient pas de distinction. Le prêtre qui a noté ce massacre, parmi une multitude d’autres, n’était pas un natif, et écrivait phonétiquement les témoignages des survivants.
      Si vous avez d’autres questions, n’hésitez pas à venir les poser ici, je m’efforce toujours de répondre quand j’estime que l’intérêt est collectif, et quand je suis compétente, sinon, bien entendu je m’abstiens?

  2. Merci pour votre réponse. Une précision, sans vouloir engager de dialogue personnel ce qui n’est pas le sujet ici, je vous parlais des années 50-60, époque où la Loire « clapotait » encore aux oreilles de l’enfant que j’étais. Il fallait déjà tout de même faire très attention pour traverser la route de la levée qui était trop fréquentée. La vieille maison du XVII°était ébranlée plusieurs fois par jour par les gros « gamions ». C’était toujours l’été et nous allions nous laver au savon de Marseille dans un petit bras de Loire, en évitant les culs de grève si dangereux, la maison étant sur la levée même. Voilà pourquoi les souvenirs que j’évoquais brièvement sont plus « poétiques » et édulcorés que la perception qu’on peut en avoir aujourd’hui par dessus le périph. De plus, je vis à la Réunion depuis 20 ans, ce qui n’est pas fait pour me tenir connecté à la réalité Angevine ! Vous remarquerez que j’ai pu établir un début de généalogie à 10 000 km de distance. j’ai dû demander une seule fois de l’aide pour trouver l’acte de naissance de mon aaaa…gp Claude Avril, Maître de Postes, sinon tout le reste j’ai pu le découvrir grâce à l’Internet, et grâce à des gens comme vous qui travaillent dans les archives et nous offrent leurs travaux. Désormais on peut lire Célestin Port dans le texte à 10 000 km !

    Je savais bien que le « seigneur » était un Sieur, comme un tous les » Noble Homme, Noble Femme, Honnête Homme ou Honnête Femme » étaient des gens qui jouissaient souvent seulement d’une petite considération de plus que d’ autres qui n’en étaient pas moins nobles de coeur ni plus malhonnêtes. C’est pourquoi je l’avais mis entre guillemets. J’ai bien lu vos articles sur le sujet, mais j’en partageais déjà le fonds bien avant de les lire.

    J’ai d’ailleurs dans mon embryon de généalogie volontairement inclus quelques personnages célèbres pour démontrer à ces prétentieux à particules qui foisonnent sur le Net qu’ils pouvaient « cousiner » avec mon arrière grand-mère Adélaïde Beausoleil de la Daguenière, paysanne très pauvre (dont nous avons toujours la coiffe, … à retuyauter!). Comme me disait un jour une amie au patronyme affublé par l’hérédité d’une particule : j’ai la particule, peut-être, mais j’ai surtout la partie tête … J’ai remarqué comme vous, depuis longtemps la propension de certains généalogistes à trier et à recomposer l’Histoire. Sur la généalogie « Pierfit », il y a mon grand-père, ainsi je peux m’amuser à me trouver un lien avec Ramsès II, et çà me fait une belle jambe. Ma fille dont la grand-mère maternelle était petite fille d’esclave chez les Desbassayns (de Villèle, etc …)à Bourbon, se retrouve ainsi en cousinage avec Ombline Gonneaud de Montbrun, la « maîtresse » de ses ancêtres esclaves venus probablement de Mozambique ou de Madagascar. Seulement c’est au 2 000ème degré ! comme l’humour qu’il faut avoir sur tous ces sujets.

    Je retourne sur Célestin Port où j’ai recherché sur votre conseil L’ortionnerie de Montjean. Il évoque aussi Ortie, le » locus qui dicitur Urtica .. », mon gp parlait du grec Orthos, de la droiture d’un ancêtre supposé, il y a des Hortion ailleurs, aux ancêtres jardiniers probables … Le « ion » est aussi tout à fait mystérieux pour moi. Merci pour la piste germanique.

      Note d’Odile : Bonjour
      Je n’offre pas mes travaux, je les « publie ». Ils relèvent du droit d’auteur, ce qui signifie que nul n’a le droit d’en débattre et de les copier-coller ailleurs que sur mon blog. Merci de ne jamais en discuter ailleurs. Et, merci de les faire respecter par les autres en ce sens.
      En ce qui concerne Ramses, je m’étonne que le plaisantin qui avait fait paraître il y a environ 20 ans dans une revue une généalogie fantaisiste ait été pris au sérieux ? Merci de vous demander où sont les preuves, et que faute de preuves, cet édifice est une plaisanterie, rien de plus.
      Par ailleurs, je ne fréquente pas Geneanet et ne souhaite pas le fréquenter.
      Cordialement
  3. Claude Avril,maître de poste à la Roche à St Jean -de- Linières X à Emilie Bodet (10 enfants )
    Ces maîtres de poste font figure de véritables notables dans la paroisse;en 1774,le curé note avec reconnaissance sur son registre que M.Claude Avril,ancien maître de poste,a donné 24 livres pour certaines améliorations dans la décoration de l’église;en 1782,le curé de la paroisse voisine,aujourd’hui supprimée,du Petit- Paris,notera lui aussi la pose d’une croix en marbre sur la tombe du même Claude Avril et la présence de plusieurs prêtres de la région pour chanter son office anniversaire.
    C’est le fils de ce dernier, Marhurin- Claude Avril,qui, le 16 juin 1778,aura l’honneur de voir s’arrêter à sa porte »l’empereur d’Occident »:ainsi appelait-on l’empereur d’Allemagne,successeur théorique des empereurs romains et de Charlemagne. Le frère de Marie- Antoinette revenait de visiter Brest et remontait vers Paris à grande allure pour retourner à Vienne où sa mère,l’impératrice Marie- Thérèse,était gravement malade.Il avait couché à Champtocé,dans une auberge qui depuis prit le nom d’hôtellerie de l’Empereur,et s’était levé dès l’aube puisqu’il passa à 5 heures du matin devant le château de Serrant,où il relayait à la Roche de Linières: » Il n’avait,note encore le curé,que deux voitures peu brillantes,courant à seize ou dix-huit chevaux;c’est le maître de poste Mathurin Avril qui conduisit lui-même la voiture à Angers en vingt et quelques minutes. »
    Joseph II,voyageait incognito et aucune réception officielle n’était prévue à Angers;il arriva pour dîner ( nous dirions aujourd’hui pour déjeuner ) à Saumur,où il passa en revue les carabiniers,puis gagna Tours,où il coucha; de maître de poste en maître de poste,il avait parcouru dans sa journée environ 140 kilomètres,encore avait-il passé quelque cinq heures à Saumur.
    ( Vieux logis en Anjou, André Sarazin )

  4. Bonsoir Mme Halbert,

    Je me suis essayé à l’humour, mais c’est raté. Excusez moi donc, je comprends désormais votre attachement passionné au sens premier des mots et le respecterai désormais en m’abstenant.

    Je reviens donc à l’objet premier de mon « post » qui était de vous remercier de vos publications, qui ne sont donc pas « offertes » au public mais qui relèvent du droit d’auteur et dont personne n’a le droit de débattre en dehors de votre blog ». J’avais employé le mot « offrir » dans son sens de partage de vos connaissances, comme j’aurais pu le faire pour un livre publié en librairie, mais nous n’avons apparemment pas un langage commun. Quant à Ramsès c’était aussi un trait d’humour seulement, sans plus. Je vous trouve bien sur la défensive, il est très facile de vous blesser sans pourtant l’avoir voulu.

    Quant à Généanet, c’est comme toute chose humaine, faillible et perfectible, qui a ses qualités, ses limites et ses tares, il y a aussi du bon pour des gens simples comme nous, qui ne sommes pas attachés à la même rigueur que vous l’êtes vous-même sur la vérité Historique. Comme dans l’ADEFA ou dans toute initiative de portée moyenne, comme dans vos travaux, de portée plus approfondie, chacun trouve où il peut ses sources d’inspiration, avec plus ou moins de rigueur ou de compétence, mais toujours avec utilité.
    Cordialement

      Note d’Odile : Bonjour
      Effectivement, je n’ai pas compris que Ramsès était de l’humour.
      Vous m’aviez donné votre point de vue, et je vous ai donné le mien.
      Concernant le terme « publier », nous sommes en 2010, et il s’applique aux supports informatiques comme au papier de librairie.
      Concernant Geneanet, cette base n’est pas un passage obligatoire aux généalogistes, ce, parce que vous m’avez suggéré d’aller voir votre généalogie sur Geneanet, et que mon droit est de vous répondre que je ne souhaite pas m’inscrire à cette base.
      Mes propos n’avaient rien de blessant, et je comprends pas que vous en soyez blessé !
      Cordialement
  5. Je ne suis pas blessé du tout, rassurez vous. Il ne faut pas trop personnaliser le débat, ce qui n’est pas vraiment passionnant pour les usagers de votre blog.

    Quant à Geneanet, il n’est pas nécessaire de s’inscrire pour consulter les arbres généalogiques. Le lien que je vous avais donné donne directement sur mes fichiers que j’ai déposés il y a deux ans ou trois. Il suffit de cliquer, et on tombe sur ce que j’ai fait, moi, et aucun autre. On y trouve le meilleur et le pire, ce n’est certes pas, sauf exception, un site de spécialistes, mais il y en a cependant qui déposent là le double de leur site ou un lien vers leur site, de très bonne qualité.

    Parfois, çà a de l’intérêt lorsque la personne ne se contente pas de mettre des noms dans des cases : il y a des notices historiques, des notes intéressantes sur tel ou tel personnage. Pour ma part, j’ai essayé par exemple d’expliquer que les Avril de Pignerolles tiennent leur « pignerolles » d’une alliance avec une Eveillard et que leurs « armoiries » sont en fait celles des Avril Sr du Vau, ceci afin de mettre en évidence pour leurs descendants à particule une ascendance marchande et démystifier un peu plus les généalogies « élitistes » qui s’arrêtent toujours brusquement lorsqu’on découvre une « mésalliance ».

    J’ai sans doute fait des erreurs grossières, n’étant pas historien ni ne pouvant venir travailler sur place.

    Mais laissons là cet échange qui prend du temps, ne correspond pas à l’esprit de votre blog et s’éloigne de l’objet de vos publications.

    Bien cordialement aussi.

  6. Merci Marie pour votre citation de André Sarrazin. Je la connaissais pour avoir cherché longtemps l’origine d’un tableau hérité de mon grand-père qui représente Claude Mathurin Avril, Maître de Postes à Angers, frère du Claude du Relais de la Roche au Breuil.

    Cordialement

      Note d’Odile :
      Pas de lien vers Geneanet sur mon blog.
      Sur mon blog, voyez aussi La poste aux chevaux de Saint-Jean-de-Linières, 1610
  7. Réponse aux commentaires ci-dessus et à celui que j’ai supprimé ce matin.

    J’ai bien noté que Geneanet vous autoriserait à mettre des liens vers mon site ou mon blog, mais que vous n’en aviez pas mis et je ne comprends pas pourquoi, puisque vous dîtes que mon site est utile.
    J’ai bien noté que vous me jugiez inapte aux relations humaines lorsque je n’autorise pas de liens.
    Odile Halbert

    PS Sur Internet, tout détenteur de site ou de blog est pénalement responsable des liens qui y figurent, y compris dans les commentaires.
    Le lien est donc un outil brimé par tous les programmeurs compte-tenu de tous les indésirables qui sévissent sur le WEB pour venir y mettre des liens inacceptables.
    En conséquence, les outils des blogueurs suppriment impitoyablement tout lien, et même tout commentaire contenant un lien. En effet, tout outil de blog est équipé d’un logiciel de sécurité sur ce point délicat.
    J’ai repéché les commentaires ci-dessus dans la corbeille de cet outil de tri, que je dois, laborieusement trier chaque matin, contenant environ 50 commentaires interdits par la loi chaque matin, et soigneusement mis dans la corbeille par le logiciel de tri. Je reconnais que sur ce point, les logiciels de sécurité sont performants.

    Je me demande si j’ai bien fait de repécher, car je n’en ai pas été remerciée ce matin, c’est le moins qu’on puisse dire, et j’ai volontairement supprimé le commentaire ne me remerçiant pas.

Répondre à OH Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *