Livre d’Or d’août 2011

Bienvenue sur mon LIVRE D’OR et sur mon blog. Vous pouvez accéder aux pages précédentes de ce LIVRE D’OR, à droite de ce blog dans la fenêtre CATEGORIES, vous avez le menu déroulant des catégories de ce blog, et vers la fin la catégorie Livre d’Or.

Je ne réponds plus aux innombrables emails de questions personnelles, parce que le plus souvent elles étaient immédiatement suivies d’emails d’insultes car je n’en fais pas assez à leur goût. Afin de me protéger des innombrables indélicats qui m’utilisent, désormais tout échange sera public, sur mon blog, et bien visible par tous.
Par contre, je réponds sur ce blog à toute question d’intérêt général si elle relève de ma compétence et je réponds toujours à ceux que je considère comme mes amis.

Avant de poster un commentaire sur le livre d’or, merci de vous assurez qu’un sujet proche (par le patronyme, par le lieu ou autre) n’a pas été traité sur ce blog, auquel cas il est préférable de mettre le commentaire au bas du sujet pour la lisibilité du blog.

Cette page n’est pas destinée à mes habitués, mais uniquement destinée à remplacer mon email vis à vis de prétendus internautes de tous poils, armés de questions plus ou moins bienveillantes, afin que leurs interventions soient publiques, ce qui limitera leurs insultes en retour.

Avant de poster un commentaire sur cette page, vérifiez dans la case RECHERCHES de ce blog, si le sujet existe déjà sur une autre page. Par exemple si votre commentaire concerne un nom de famille ou un nom de lieu déjà traité sur ce blog, il est indispensable de regrouper les commentaires concernant ces noms sous les pages qui les traitent déjà.

84 réponses sur “Livre d’Or d’août 2011

  1. Madame
    je vous donne mes sources sur le nom Langelier .J’ai trouvé sur geneanet ce nom dans la Mayenne,Côtes d’Armor,Ile et Vilaine , la Manche et aussi en Charente dans les années ;fin 1500 et 1600 pour les périodes les plus anciennes.Mais peut être est-ce peu fiable comme référence. Merci de me
    renseigner.Recevez Madame mes Salutations respectueuses.

    Madame
    J’ ajoute: en tous cas Langelier est bien cette orthographe qui est arrivée dans le 71 vers 1550 ou 1570.
    Quoi qu’il en soit; je lis vos articles avec beaucoup de plaisir.
    Merci d’avance

      Note d’Odile ;
      ce commentaire est copié par mes soins au bas de l’article traitant de LANGELIER.

    http://www.odile-halbert.com/wordpress/?p=11441

  2. Madame,

    Le marquis rené-François de Broön (avec ou sans s selon les textes de l’époque) est un de mes ancêtres, qui appartenait à la branche aînée (morte avec lui sous Louis XIV); si vous souhaitez que nous communiquions autour de cette figure du XVIIème du Choletais, cela serait avec plaisir. je recherche également les communications de M et Mme maugeais qui lui ont consacré un ouvrage et une note à l’occasion du tricentenaire de sa mort en 2001.

    veuillez agréer l’expression de ma respectueuse considération,

    Foulques de La Motte de Broöns de Vauvert

    Note d’Odile :
    Je vous communique par courrier séparé les coordonnées de M et Mme Maugeais pour que vous les contactiez. Mon blog n’empiète pas sur leurs recherches sur le Choletais, et je ne possède aucune de leur publication.

  3. Je recherche l’origines des familles GAUDIN et VOYSINE (ou VOISINE) qui ont exercé des fonctions importantes (notzamment de Notaires Royaux au Grenier à Sel D’Ingrandes entre 1717 et 1753.
    Auriez-vous des pistes à me proposer ?
    Merci d’avance pour votre aide. Et Bravo pour votre travail .

  4. Hier, j’ai regardé la très belle émission sur Nicolas Fouquet…et je me pose deux questions: Nicolas Fouquet était-il d’origine bretonne ou angevine???
    et fouquet est-il un mot du « patois » breton (cf l’animateur)
    ou un mot du « parler »angevin???

      Note d’Odile :
      Un spécialiste va vous répondre, car le patronyme FOUQUET est multiple y compris en Anjou, où j’ai déjà mis 26 articles s’y référant sur ce blog.
      C’est en effet mieux pour la lisibilité du blog quand un commentaire est au pied du sujet FOUQUET.
  5. Madame,

    Pour info, Mathurin Buscher est en 1518 sujet du seigneur de la Fessardière et lui doit au jour de l’angevine 5 sols pour 5 quartiers de vigne et complans situé au lieu dit de la Chauvinière. E 288.
    Je n’ai pas compris pourquoi vous mettez dans la rubrique « Cherré » votre article du 4 septembre sur Olivier Chesneau.
    Recevez mes salutations et croyez que j’ai chaque matin un réel plaisir à vous lire.

    Cela est dit !

      Note d’Odile :

    Merci de vos visites matinales sur mon travail quotidiennement publié ici.
    Je n’ai pas compris pourquoi vous ne mettez pas ce commentaire au pied du billet concerné sur Olivier Chesneau du 4 septembre. Réponse au pied de ce billet.

    Sur mon blog, en cliquant sur le titre du blog, vous voyez défiler tous les derniers billets avec la colonne de droite pour servir de liens utiles.
    Si vous cliquez en dessous d’un billet sur le terme « commentaire » vous avez accès aux fenêtres de commentaires.
    Mais également, si vous cliquez sur le titre de l’article qui vous intéresse vous entrez dans cet article lui-même, et là vous avez la fenêtre commentaire à déposer qui est active aussi.

    Odile

  6. Madame

    Merci pour votre merveilleux travail. Je recherche le registre LEMARIE 1795 de la paroisse de GETIGNE; je ne le trouve pas dans le site des archives de Loire Atlantique. Un membre de ma famille aurait été tué par les Mayençais aux environs de TORFOU le 20.9.1793, il s’agit de Jean LUNEAU de GETIGNE. J’aimerai consulter le registre original. Auriez vous une piste à me proposer?Merci encore pour la somme des connaissances que j’ai pu partager grâce à vos écrits et recevez toute ma considération.

      Réponse d’Odile :
      tout n’est pas déposé aux Archives.
      Et tout n’est pas en ligne.
  7. Je découvre votre site un peu par hasard, un saut de puce en cherchant une information sur une commune… Vous avez fait, et faites un gros travail qui m’impressionne : chapeau, madame. J’y reviendrai.

    je fais de la généalogie depuis de nombreuses années, j’ai commencé bien avant internet il m’arrive maintenant ponctuellement de prendre en note un élément du travail d’autrui, mais je vérifie toujours tout et, si besoin, informe cette personne d’une éventuelle erreur, ou d’une précision. Je cite alors mes sources dans mes notes, grâce à mon logiciel, c’est faisable et cela me semble normal. Je suis stupéfaite des insultes que vous avez reçues.
    Les généalogies compulsives visant un maximum de noms, et cela d’abord, cela seulement, n’offrent en outre aucun intérêt

  8. Bonjour,

    juste une tout petit mot pour vous intformer que j’ai trouvé, en faisant des recherches sur un autre sujet, la trace d’un Hunault du temps de Charles Martel. Son père, lui et son frère ont livrés bataille contre Charles Martel pour garder leurs domaines dans le sud de la Loire en 759, je suis à votre disposition pour vous donner plus de détails si vous le désirez. L’information que j’ai trouvé émane d’un ouvrage écrit par un sénateur français du début du XIX ème siècle. Je vous remercie de garder mes coordonnées confidentielles.
    Bien à vous

    Note d’Odile :

    Rassurez-vous, jamais je ne transmets une info ou des coordonnées à un tiers sans l’autorisation de l’émetteur.
    Je ne m’intéresse pas aux données sans preuves, et encore moins aux ouvrages écrits au 19ème siècle tant ils comportent de données erronnées et de légendes. J’ai d’ailleurs sur mon site, à plusieurs endroits, démonté avec preuves, des tavaux qui métiraient le qualiticatif de « légende », tant ils étaient invention pure. Je vous renvoie ainsi aux GAULT écrits au 19ème siècle par Bellanger etc…, famille que j’ai longuement étudiée il y a quelquesz années et dans mon étude vous avez ma critique de l’ouvrage de Bellanger, qui n’était qu’invention familiale propre à se réinventer une ascendance à leur convenance.
    Alors, mes travaux s’arrêtent avec les preuves, c’est pourquoi vous ne trouvez sur mon site aucune généalogie remontant au delà des preuves, et je suis une des rares Françaises à en chercher et étudier autant du 19ème siècle.
    D’ailleurs il y a une semaine, j’apportais ici une preuce pour encore une généalogie à revoir, et j’ai eu hier la curiosité d’aller voir sur Internet, et j’ai constaté que les compilateurs, c’est ainsi que je les appelle, n’avaient cure des preuves, et n’avaient pas tenu compte de mes preuves.
    Enfin, les patronymes sont parfois si répandus qu’aucun lien n’est possible.

  9. Question originale et réponse parfaite !
    Tout sénateur qu’il ait pu être, cet homme n’est pas forcément digne de foi. malheureusement je dirais, mais c’est souvent le cas avant le XXe siècle : les gens publiaient souvent des généalogies avantageuses… Et parler de patronymes au VIIIe siècle est déjà en soit très original !

      Note d’Odile :

    Merci de votre soutien !
    En fait, tout n’est sans doute pas mauvais, mais il y a tant de tris à faire, et c’est un tel travail, surtout que les preuves font souvent défaut, que je préfère me concentrer sur mon travail actuel qui laissera des preuves, car, de vous à moi, depuis 20 ans que je dépouille les notaires (enfin leurs archives seulement), j’ai déjà entendu le chef de salle aux AD49 me voyant devant une immense liasse vierge de toute ouverture depuis des siècles, me dire :

    ils ne se doutaient pas qu’on les consulterait un jour !

    Certes, des feudistes ont travaillé en Anjou, mais ils avaient des ordres des familles et donc n’étaient pas libres. En outre, jusqu’aux années 1980 environ, les chercheurs avaient tous des lunettes mondaines. La démocratisation est récente.
    Je me souviens à ce sujet du congrès de Versailles, auquel j’avais eu le courage d’aller. J’avais enfilé une roble de cocktail très habillée, mais …. juste au dessous du genou.
    Or, j’avais un RV avec une incorrigible retardaire, de sorte que pendant une heure, dans ce hall majestueux du petit pavillon, mes mollets prirent l’air, admirant passer les robes longues, jusqu’à ce que j’éclate de rire au passage d’un petit boudin, qui plus est, d’un âge un peu avancé, en robe longue moulante en jersey synthétique, à fleurs s’il vous plaît, bourrelets bien mis en évidence.
    Bref, le spectable était tellement éloigné de l’élégance que ce jour là j’ai compris l’impact de la démocratisation de la généalogie.
    Il m’arrive parfois d’y repenser en riant.

  10. Et lorsque les sources sont citées, c’est de façon maladroite, de telle sorte que l’on ne parvient pas de nos jours à les retrouver (la faute au manque de classement des séries pour partie). Même ce cher Angot de la Mayenne ne cite pas souvent ses sources dans les articles qu’il a écrits…

  11. Anecdote amusante.

    J’ai de grands enfants et il me semble que l’on assiste, après l’engouement, à une perte d’intérêt..
    Qui va de pair, je pense avec un enseignement de l’histoire plus global ,sans trop de repère chronologique , à des rapports familiaux différents, à une société beaucoup moins hiérarchisée ..
    ,Pour certains ,le fait de se raccrocher à des personnages clés de l’histoire de France peut être fascinant .
    Tout le monde connait ,donc c’est peut être valorisant..

  12. Bonjour,

    Je suis enseignant en histoire et je m’intéresse à vos travaux. J’aimerai pouvoir acheter votre livre :

    « l’Allée de la Hée des Hiret, gentilshommes mi-Bretons mi-Angevins 1500-1650 »
    Est-ce possible ? Comment ?

    Cordialement.

    Laurent.

      Réponse d’Odile :

    Je vois que vous habitez Nantes, sonnez chez moi un soir vers 19 h ou samedi matin, car la poste m’a interdit la dernière fois l’envoi de mon livre sans acheter leur enveloppe qui coûte très cher.
    Je demeure au rond point du ballon de foot à droite droite, à st Seb, bâtiment les Acacias, 6e étage, avec interphone.

  13. Bonjour,

    Merci beaucoup pour votre réponse. Je ne réside pas à Nantes mais en Vendée. Pouvez-vous m’envoyer votre ouvrage dans une enveloppe « spéciale » à mes frais ? Si vous le souhaitez, je peux vous envoyer un chèque avant votre envoi. Merci de me donner votre adresse. La lecture de votre travail préfacé par le professeur Lebrun m’intéresse beaucoup.
    Cordialement,
    Laurent

      Réponse d’Odile :

    Envoyez chèque de 30 euros
    Odile HALBERT
    bâtiment les Acacias
    19 rue du Genetay
    44230 Saint Sébastien sur Loire

  14. Bonjour,

    Je suis propriétaire du chateau de Launay situé à Sucé sur Erdre. Je suis à la recherche de documents iconographiques le concernant. En possedez-vous ou pouvez-vous m’aider à en trouver ?

    Merci pour votre réponse, cordialement.

      Réponse d’Odile :

    J’ai tout mis ce que j’ai sur mon site.
    Et cela n’est pas exhaustif.
    Vous avez une collection numérisée des cartes postales de Loire Atlantique sur le site du conseil général de Loire Atlantique aux Archies Départementales
    http://www.loire-atlantique.fr/jcms/cg_7518/archives-departementales

    Et vous pouvez aussi aller aux foires aux cartes potales d’occasion ou collection, chaque année au moins sur Nantes etc… nombreuses
    Enfin, vous pouvez tout simplement aller sur le site des ventes de cartes postales sur Internet. Je ne fais pas de pub ici, donc je ne vous mets pas le lien, mais vous trouverez facilement n tappant
    vente et achat de cartes postales anciennes
    Odile

  15. un grand merci à nouveau pour vos données sur La Coulonche, cette fois ci sur la famille LAISNE cf vos pg 16-17 et 24:
    j’ai le plaisir de vous transmettre trois toutes petites trouvailles:

    S La Coulonche 13.3.1694 (AD61 vue 132)
    Michel LAISNé +
    presents: François et Jullien LAISNé ses fs – … Hierome LAISNé (il est son gendre, epoux de Martine LAISNé) – Gilles FAUVEL.

    X La Coulonche 12.2.1692 (AD61 vue 114):
    Hierome LAISNé fs Aubin et Thomasse SALES
    et Martine LAISNE fa Michel et Renée LANGLOIS

    Bptm La Coulonche 2.3.1694 (AD61 vue 132):
    Guillaume LAISNé fs Hierome et Martine LAISNé
    parrain Guillaume LAISNé

    cordialement
    M Jose

      Note d’Odile :

    Merci

  16. Bonsoir,
    J’ai persévéré… j’ai trouvé un nid de Maugars à Savigné sous le Lude.
    Je travaille depuis plus de 40 ans sur le secteur Genneteil-Lasse-Chavaignes. J’ai assiégé tous les châteaux en cherchant les RIVIER. J’ai connu la période où de braves secrétaires de mairie recopiaient à la main les registres paroissiaux. Mon problème est de gérer le tout et de « trouver des lecteurs ». A bientôt !
    Admiratif !!!

  17. André, connaissez-vous et avez-vous rattaché les Rivier de la région de Fromentières avec les autres branches portant ce patronyme ?

  18. Madame,

    Comment ne pas vous féliciter et être admiratif pour le travail effectué !

    Je découvre votre oeuvre, en particulier concernant la famille CEVILLE, laquelle entre autre récapitule les ancêtres de ma femme. Ma belle-famille (mère de ma femme) est descendante des FAULTRIER.
    J’ai pris la liberté (en indiquant mes sources) de compléter mes données avec les votre…j’espère que vous m’y autoriserez ?
    Si vous le souhaitez je peux vous adresser son ascendance. (m’indiquer votre mail perso.)
    Encore merci pour les connaissances historiques locales et autres que vous nous faites découvrir.
    Cordialement.
    Jacques Pellereau

      Note d’Odile :

    Dommage que votre commentaire ne figure pas au bas d’un de mes billets traitant des Cevillé, pour la lisibilité de mon blog.
    En voici un lien et ensuite vous avez le tag (mot clef) CEVILLE qui vous donne les autres actes en ligne

  19. Je viens d’acheter une maison à Clisson et toute la journée, j’ai le château devant mes yeux. J’ai cherché un livre qui me donne les principales informations sur ce château et on m’a signalé votre travail de numérisation. Je suis heureux de le trouver car je vais pouvoir ausculter systématiquement ce château grâce à vous.
    Par contre, en parcourant les chapitres, je n’ai pas trouvé les pages 158 à 164, il semblerait qu’il manque un lien.
    J’ai moi-même numérisé plusieurs livres anciens introuvables sur la forêt de Fontainebleau et je sais le travail que cela donne ; j’en ai encore en chantier…
    J’ai aussi rassemblé la généalogie de ma famille, je suis fier de mes ancêtres qui étaient laboureurs à bras ou à boeufs, comme mon père.
    Merci de votre travail que je pense consulter souvent.
    PPPerraud

      Réponse d’Odile :

    OK, je vais vous les mettre, patience.
    Vous êtes un veinad d’habiter un si beau coin de France !
    Profitez-en bien !
    Car, vous l’avez compris à travers mon site, je l’aime.

  20. Bonjour,

    Je trouve vos travaux très passionnant, la masse d’information accumulée me laisse sans voix.

    De mon côté, je suis à la recherche de vieille photos de classe ou de photos qui aurait été prises aux abords de l’école.

    Je m’explique, je souhaiterai organiser une porte ouverte à l’école avec une retrospective de photo (de classe) ancienne. Avez-vous des sources ?

    Les photos déposées sur votre site ou blog (concernant ma commune), peut-on les utiliser le cas échéant pour une projection dans le cadre de cette porte ouverte ?

      Note d’Odile :

    Vous avez oublié de dire quelle commune.
    Et cela aurait été préférable de mettre ce commentaire au pied d’un billet traitant de votre commune, pour une meilleure lisibilité de mon blog.
    Enfin, je n’autorise pas la reproduction de mon travail, mais vous pouvez mettre en salle un ordinateur connecté à mon site et mon blog, et inciter les visiteurs à le connaître et le fréquenter. Cela serait une marque de respect pour mes travaux.
    Odile
    PS j’attends que vous précisiez le nom de la commune

  21. C’est en recherchant des informations sur Pierre De Faye que j’ai découvert votre site ,et quel plaisir puisque j’y retrouve un acte notarial concernant le mariage de Pierre de Faye Sieur de Mortreux, chirurgien(de faye s’écrivant de plusieurs façons), né à Azé en 1611, fils de Pierre de Faye et de Marguerite Chouippes qui ont eu 3 enfants: Marguerite 1610, Pierre 1611, et Jehanne 1615 marié à un Bondu; avec Charlotte Joullains marié à Angers le 04/11/1652.
    Pierre et Charlotte ont eus 5 enfants (Pierre 1655,Jacques 1656, Charlotte 1657, Anne Charlotte 1658, Joseph 1663); Pierre, Sieur de la touche, maître chirurgien est mon ancêtre et c’est marié avec Jeanne GUILLOT en 1680, de ce couple naîtra 3 enfants ( Pierre 1681-1681, Pierre 1682, Françoise 1683 (ma lignée).
    la plus ancienne génération se situe sur la commune d’azé, de faye et chouippes
    la génération suivante à ses racines sur azé et saint michel de feins pour les de faye et sur angers pour les joullains. Les joullains sont allié de famille avec les delauné, les vaillants,les poylane,les blanche et les martinets (un dénommé jacques martinet entr’autres que l’on retrouve souvent sur les actes).
    les guillot sont alliés de famille avec les tourville, les sarrazin ,les mahé,les piau et les simier

    Je possède tous ces actes prouvant mon ascendance de faye et j’ai retrouvé pas mal d’actes concernant les chouippes(allié avec les trochon,les juguin, les bebante,les blanches,les brault, etc…mais il faut arriver à faire les liens.Le vieux français n’étant pas toujours facile à déchiffrer.

    Cordialemment, si cela peut vous aider.

    Vous me dîtes être de famille avec les de faye alors nous sommes de cousinade.

      Réponse d’Odile :

    J’ai dû remettre votre commentaire au bas du contrat de mariage en question, où il aurait dû figurer pour l’homogéniété et lisibilité du blog.

  22. Les photos que je recherche concerne la Cornuaille (49440).

    Il va de soi que je cite mes sources (et pourquoi pas afficher votre site sur un second ordinateur, voir un peu de pub dans un journal).

    Transmettez-moi votre adresse mail, je vous indiquerai plus précisement mon organisation pour cette porte ouverte (il faut déjà que j’avance dans ce projet).

  23. Re bonjour chère Madame,

    Depuis notre 1er échange je découvre et lis avec passion vos trouvailles et recherches en particulier pour l’Anjou, région d’origine de ma belle famille (entre autre : SAULOU et FAULTRIER à la Jaillette).

    Toute la branche CEVILLE est rattachée à ma femme, et remarque que vous précisez en être descendante via le couple Françoise de CEVILLE x Claude GENET. (je suppose que vous êtes sans doute proche de la génération de ma femme).

    Par information autrement que sur votre blog, auriez vous la gentillesse de m’indiquer votre ascendance afin que je puisse établir le parallèle entre votre famille et celle de ma femme ? Naturellement je vous en serez destinataire si cela vous intéresse.

    D’autre part, malgré une lecture que je crois attentive…..je n’ai pas pu bien situer Jean de CEVILLE, prêtre, auteur des formidables notes familiales qui sont à l’origine de votre travail. Qui sont ses père et mère ? Qui ont ses frères et/ou soeurs ?

    M’autorisez vous à reproduire, sur ma généalogie personnelle, certains passages de vos commentaires sur Tel ou Tel personnage, afin d’illustrer leur fiche et de compléter leur biographie ?
    Je n’en fais aucun commerce ….et mon travail est strictement familial.

    Voilà. Bonne fin de journée et dans l’attente du plaisir de vous lire, je vous prie de croire Madame, à l’expression de mes meilleurs sentiments.

    Jacques PELLEREAU.

      Réponse d’Odile :

    Page 34 vous avez Jean de Cévillé, ainsi :

    René de CEVILLÉ Sr Sr de la Guertière, puis de Cevillé °[Châtelais 28.10.1571]* †Craon StClément 11.10.1640 Fils de Jean de Cevillé et de Anne Legauffre x Fromentières (53) 15.9.1605 Guyonne CHESNAYS |°Fromentières 15.9.1585]* Fille de Gervais
    a-Jean de CEVILLÉ °[Châtelais 17.9.1606]* †1669 Filleul de Gervais Chesnais Sr de Champfleury son grand père maternel et de Anne Lagauffre femme de Cevillé, sa grand mère paternelle. Prêtre de l’Oratoire, redigea en 1638 la chronique familiale SP
    b-Mathurin de CEVILLÉ °[Châtelais 20.3.1608]* †/1669 Filleul de Jean de Cevillé son grand père paternel et de Ambroise Lemasson sa grand mère maternelle. Prëtre curé de St Julien d’Angers SP
    c-René de CEVILLÉ °[Châtelais 29.11.1610]* Filleul de Julien Chesnais curé de Connié son oncle de Guyonne Chesnais sa mère, et de Renée Cevillé sa tante paternelle x1 Marie LEVAYER x2 /1650 Gabrielle MILSCENT Dont postérité suivra
    d-Anne de CEVILLÉ °Chatelais 1.11.1612 Filleule de Claude Chevalier Sr de la Rougerye Dt à Craon, et de Anne de Cévillé dame de la Chauvettière x (Ct du 27.6.1634) René HUBERT Dont postérité suivra
    e-Gervais de CEVILLÉ °Chatelais 20.5.1615 †/1679 Filleul de Gervais Chesnays le Jeune son oncle et de Jehanne Legauffre dame de la Tramblays x Jeanne AVELINE †1679/ Dont postérité suivra
    f-Jeanne de CEVILLÉ °Chatelais 20.8.1617 †avant ses parents Filleule de René Guérin Sr de la Bodardière et de Jehanne Chesnays sa tante maternelle SP
    g-Pierre de CEVILLÉ °Chatelais 23.6.1619 †/1669 Filleul de h.h. Pierre Ledin, et de Marguerite Desprez cousine paternelle x Marie GAUDIN Dont postérité suivra
    h-Françoise de CEVILLÉ °Chatelais 25.11.1620 †/6.1674 Filleule de Pierre Godier, licencié en droit Sr de Nautille, avocat à Angers, son oncle à cause de Jehanne Chesnays sa femme, et de Jeanne Guillemine Letessier femme de Françoise Benard Sr du Moulin Neuf, procureur fiscal de la baron-nie de Mortiercrolles. Religieuse au monastère du Buron SP
    i-Madeleine de CEVILLɆavant ses parents SP
    j-Renée de CEVILLÉ °Chatelais 19.7.1626 Filleule de h.h. Pierre Chesnaye Sr du Coudray oncle maternel et de Renée Duzeau dame de la Grange en Carbay SP

    Je ne vous autorise aucunement à copier mes travaux et mes notes. Vous n’auriez donc jamais entendu parler d’éthique et de droit.

    Vos travaux personnels n’ont rien de personnel, car ils sont sur Geneanet, et mettre mes travaux sur Geneanet enrichit cette base dont veuillez SVP évitez de parler de données non commercialisées. Le fait d’enrichir cette base enrichit son producteur à mes despens.

    Odile

  24. Bonjour ! en admiration de votre travail !!!Simplement une question sur les GUILLOCHIN !! je suis la 7ieme Génératio !! le dernier de la lignié est FRANCOIS & A.AUMOUETTE C.M de la FERTE-MACEdu 25.01.1713 ces parents JEAN 1703 &Anne le MENAGER 1701 ont 3 fils JACQUE&S.BISSON et THOMAS & J.AUMOUETTE et FRANCOIS mon ancetre !! je voudrais savoie s’il y a une relation avec les VOTRES !! merci MICHEL GUILLOCHIN

      Réponse d’Odile :

    Désolée, mes ascendants sont ceux qui sont sur mon fichier GUILLOCHIN en ligne, et sont au Grais, certes non loin de la Ferté Macé, et je n’avais autrefois relevé aucun patronyme de ceux qui sont les vôtres.

  25. Madame, je salue respectueusement votre travail que ce soit celui des recherches ou de mises en ligne. Je n’arrive pas à imaginer les heures que cela représente. Merci de donner gracieusement le fruit de ce travail à ceux qui s’y intéresse.
    Habitant depuis peu à Clisson j’ai été ravie de trouver les écrits de Paul de Berthou retranscrits par vos soins.
    Je n’attends pas de réponse et je renouvelle mes remerciements reconnaissants.

  26. Je vois sur mon petit calendrier « drôlatique » à feuillets…la sainte Odile.
    Très heureuse fête Madame.

  27. Madame,
    Quand je cherche le lien de Marigné sous Daon, je tombe sur celui de Segré.
    J’ai en souscription un livre que j’ai écrit sur mon village natal de Cherré, J’ai tenté de décrire la vie de cette paroisse jusqu’a les années 1944 avec d’importants chapitres d’histoire religieuse et de la période de la Chouannerie et Révolution . J’ai bénéficié pour mes recherches d’archives encores inexploitées par Célestion Port en particulier. Il est préfacé par François Touati historien universitaire directeur du département histoire et d’archéologie de l’université François Rabelais de Tours.
    Ce livre peut intéresser vos fidèles lecteurs .

    Bonne fête de Noêl

      Note d’Odile :

    Sur ma machine, je tombe bien sur la page de Marigné
    http://www.odile-halbert.com/Paroisse/Marigne-49.htm

  28. Bon Noël, Odile et joyeuses fêtes de la Nativité à tous ceux qui fréquentent ce blog

  29. bonjour
    mon grand père faisait parti du 84 régiment infanterie recrutement de montbrison dans la loire le 15 septembre 1918 sous les ordres du lieutenent colonel de langlade il a eu une citation.pourriez vous m’indiquer le lieu ou ce régiment a fait ces campagnes.
    d’avance je cous en remercie.
    jacques cornet

      Note d’Odile :

    je pense que vous devez aller faire des recherches dans le département de recrutement de votre grand père, aux Archives départementales

  30. Bonjour,
    Il y a environ 25 ans, j’avais commencé mes recherches en généalogie avec les moyens du bord de l’époque : fiches, courriers aux mairies, lecture des états civils, … A l’âge de la retraite, j’ai repris mon travail de recherche avec les avantages des états civils en ligne et les relations avec les uns et les autres, j’avance plus vite.
    Originaire de Brain-sur-Longuenée par mon père, j’y ai une résidence secondaire familiale. Elle m’a servi de base pour sillonner la région. Et pourtant, je bute sur 3 ancêtres : Renée BEDOUET ( ° 15/11/1739 à Grez-Neuville + …. ) et ses parents Joseph BEDOUET X Jacquine PATRIN ).
    Auriez-vous une piste pour remonter cette branche?
    Chapeau pour votre site relatif au Haut-Anjou. Très belle présentation dont je pense m’inspirer pour reprendre mes fiches manuscrites.
    Tenez, j’ai même retrouvé un de mes ancêtres : Charles Samuel PORTEBIZE. Le monde est petit …
    Salutations distinguées.
    André RIVERON

  31. bonjour,

    Bravo pour vos recherches sur le Haut anjour.
    J’ai une question sur la commune de soudan. j’ai un acte de mariage qui fait référence à la juridiction de la verrie (décés du père du marié). A quelle communce cela correspond t’il ? sur votre site, j’ai vu que c’était unlieu dit de soudan mais je ne trouve pas d’acte se référant au décès du père du marié.
    Pourriez vous m’éclairer ?

    Merci et meilleurs voeux pour 2012 et encore bravo pour vos recherches.
    Laurent.

      Réponse d’Odile :

    Effectivement, il a bien existé une maison noble de la Verrie en Soudan, comme vous pouvez le voir sur ma page sur Soudan.
    http://www.odile-halbert.com/Paroisse/Soudan.htm

    Malheureusement votre question ne précise pas les années, et en l’absence d’indication sur la période il est difficile de vous répondre.
    Je suppose, mais ceci est une supposition faute de votre mention des dates, que la mention que vous avez trouvée est écrite après la Révolution, et mentionne un décès avant la Révolution.
    Dans ce cas, lisez attentivement mon ouvrage AUX SOURCES CITOYENS qui est sur mon site,
    http://www.odile-halbert.com/Histoire/Citoyens/Citoyens.htm

    vous remarquerez alors que l’état civil a rencontré beaucoup de manques de compétences après la révolution, et comme par ailleurs la période des troubles a malmené les suites logiques des registres, vous constaterez qu’il n’est pas surprenant qu’une mention indiquée après la révolution reste introuvable avant
    Odile

  32. Tous mes vœux de bonheur et de bonne santé à vous et à tous vos fidèles lecteurs.

  33. Bjr Madame et tous mes voeux pour cette nouvelle année.
    J’ai une mise à jour sur des descendants de la famille GOUDÉ.
    Guillaume MONNIER x 1728 Charlotte SUPIOT ont parmi leurs enfants Alexandre MONNIER bapt.le 10/12/1752 à Varades. Après recherches, voici les compléments à ajouter à cette fiche GOUDÉ :
    Il est dcd à Angers (1er arrt) le 8/02/1832. Après avoir exercé à Ingrandes, il part s’installer à Angers avec sa femme et ses 5 enfants.
    Célestin Port le cite dans son Dictionnaire Historique du Maine-et-Loire (1876_1878) p.694 on peut lire la notice originale suivante à son sujet : « MONNIER (Alexandre), né à Varades (Loire-Inf.), le 10 décembre 1752, homme de loi et notaire à Ingrandes, fut désigné en 1787 comme correspondant de la Commission intermédiaire des Etats de bretagne et en 1789 élu commandant de la garde nationale d’Ingrandes, puis président du Comité provisoire municipal et accepte les fonctions de procureur de la commune et d’agent national. Il les exerça sans interruption jusqu’à l’an III, on imagine mal à travers quelles menaces et quels dangers sur le chemin de la Vendée en armes, en butte aux assauts journaliers des Chouans, presque seul debout dans son énergie infatigable au milieu de tant de dévouements épuisés. Appelé à Angers comme procureur syndic du District de l’an III à l’an IV, puis à titre de commissaire du Directoire près l’administration centrale, de l’an Iv à l’an VI, il fut élu le 27 germinal An VI accusateur public près le Tribunal criminel, en l’an VIII juge au Tribunal d’appel et lors de l’installation de la Cour impériale nommé, le 3 janvier 1812, président de la Chambre, et chevalier de la Légion d’honneur le 10 juin 1815. Mais à la réorganisation de 1818 ses services révolutionnaires le firent reléguer au rang de conseiller. Inflexible dans ses convictions libérales, le vieux magistrat tint tête comme autrefois à l’orage et, luttant de propagande, il présiait la Société de l’enseignement mutuel. La réaction envahissante en fit fermer les écoles, mais sans pouvoir obtenir de lui qu’il livrât les clés et rendit libre les classes pour l’installation des Frères. _ Il est mort à Angers le 8 février 1832. »
    Avec Marie MERCIER, il eut au moins 5 enfants : – Alexandre Jean Baptiste MONNIER °10/03/1783 à Ingrandes, – Marie MONNIER °22/12/1784 à Ingrandes, mariée le 4/08/1807 à Angers (1er arrt) avec le Sr Grégoire BLANCHET, propriétaire ; – Suzanne MONNIER °12/04/1786 à Ingrandes et dcd le 3/04/1847 à Vallet, mariée à Jean-Baptiste BRELET, « juge de paix » d’abord à Chalonnes (49) de 1831 à 1846 puis à Vallet (44) de 1847 à 1853; – Julien MONNIER ° 18/07/1787 à Ingrandes (présent au mariage de sa soeur Marie à Angers en 1807) ; – Théodore Pierre MONNIER °21/04/1790 à Ingrandes « chef de bataillon » puis « retraité », chevalier de la Légion d’honneur du 24/12/1814, « homme de lettres », auteur de « fragmens de la relation des voyages en Grèce, en Egypte et en Asie » publié en 1828 à Leipsic chez A.Bossange. Ce Théodore-Pierre MONNIER, est arrêté dans la soirée du 19 au 20 janvier 1842 à Nancy, officiellement pour escroqueries d’habitants à Strasbourg, les journaux parlaient eux d’une cause politique. Il est indiqué sur la liste des prisonniers de la prison de Villefranche de Lauragais (Haute-Garonne) (AD31 cote 2Y 359) : MONNIER Théodore Pierre 52 ans né à Angers Chef de bataillon retraité, fils d’Alexandre Monnier et dame Marie Mercier, date d’entrée 24/09/1842.
    Un décret du 3 juin 1853 : exclusion de l’ordre de la Légion d’honneur …14° MONNIER Théodore Pierre.

    Autre info. / branche GOUDÉ : sépulture à Ingrandes le 19/12/1786 de Michel GOUDÉ, garçon, décédé hier dans les prisons du grenier à sel de ce lieu, agé d’environ 12 ans !! (AD49 BMS 1786 – vue 115/184).
    Voici pour cette mise à jour.

    Bonne fin de journée.
    Je ne manquerai pas de vous informer / ce blog des nouvelles informations retrouvées.

    Laurent CHAUVIN

      Note d’Odile

    Merci beaucoup.

  34. Bonjour madame

    Je voudrais prendre contact avec la personne propriétaire de la collection de photos sur le 84e RIT en 1914-1918. Je me suis aperçu avec une grande surprise que je possède une photo strictement identique à un cliché présenté sur votre site: cette photo provient d’une collection de photos + objets provenant d’un lieutenant du 84e RIT que j’ai achetée il y a quelques années.
    Merci de me mettre en contact avec lui.
    Cordialement
    BG

      Réponse d’Odile :

    La page :

    http://www.odile-halbert.com/Histoire/Guerre14/RI84.htm

    de mon site dédié au carnet de guerre de mon grand père et à ses photos vous explique mes sources.
    Les photos ont été prises par son compagnon d’armes et ami, LEGLAIVE, qui dira sur la tombe de mon grand père une lettre bouleversante à sa mémoire lors de son inhumation en 1944.
    Photos, carnet, lettres de mon grand père sont dans ma famille mais aucun d’entre nous ne vendra jamais rien.
    Nous aimons tous notre grand père et nous honorons sa mémoire, et elle n’est pas à vendre
    Désolée.
    Odile Halbert, petite fille d’Edouard Guillouard, ami de Leglaive, après avoir été sous ses ordres en 14-18

  35. Mais je n’ai jamais parlé d’acheter quoi que ce soit !!!!!!!!!!! Je me doute bien que cette collection n’est ps à vendre !

  36. Je voudrais déjà savoir qui est sur cette photo. Je pensais qu’il s’agissait du lieutenant dont j’ai acheté les souvenirs, le lieutenant Paul Bigard, avocat aux Sables d’Olonne.

      Réponse d’Odile :

    Merci de me dire de quelle photo vous parlez en m’indiquant par COPIER COLLER l’adresse de ma page et le rang de la photo dans la page.
    Par contre, ne vous attendez pas à de grandes précisions de ma part, car mon grand père n’avait mis aucune mention au dos de ses photos, et pour tenter de faire une mise en page à peu près correcte sur mon site, j’ai dû étaler toues les étaler sur ma table, durant les 4 semaines de ma frappe de son cahier. Et au fil du cahier, je tentais de voir quelle photo correspondrait le mieux au discour de mon grand père.

  37. Bonjour

    voici le lien :http://www.odile-halbert.com/Histoire/Guerre14/18_02.htm
    Il s’agit de la photo en haut de page, à gauche (un poilu avec l’église en arrière-plan). Je pense que la photo immédiatement suivante représente le même homme.

    Sur ma photo (et je vous confirme qu’il s’agit bien du même cliché, format 8×10,5 cm) une inscription au dos : Morville sur Seille, avril 1917.

    La photo était collée sur un carton avec de nombreuses autres. Comme je vous l’ai dit, ces photos proviennent des souvenirs du lieutenant Paul Bigard, chef d’une section de mitrailleuses au 84e RIT de Fontenay-le-Comte (c’est le régiment territorial dérivé du 137e RI = affectation des hommes âgés de 35 à 40 ans, ou pères de 4 enfants). Ce type de régiment était affecté en principe sur des secteurs très calmes, ou en soutien des opérations. Je vous signale que le 84e RIT est mentionné sur au-moins 2 monuments à Fontenay-le-Comte. La grande majorité des soldats du 84e RIT étaient vendéens.

    Quant au personnage sur la photo, 2 hypothèses : soit il s’agit du lieutenant Bigard, soit d’un autre personnage (en tout cas c’est probablement un officier au vu de sa tenue) qui serait ami du lieutenant Bigard. Bigard était avocat aux Sables d’Olonne: déja relativement âgé à la mobilisation en 1914, il avait été affecté au 81e RIT de Nantes (d’où il était originaire) comme sergent, puis un mois plus tard muté au 84e RIT comme officier.

    Si vous voulez de la documentation sur le 84e RIT, j’ai.

      Réponse d’Odile :

    Merci beaucoup, et je vais tout reporter nos échanges sur la page de mon blog dédiée à mes pages sur le 84eRI, qui est la suivante, et sur laquelle je vous réponds désormais.
    http://www.odile-halbert.com/wordpress/?p=20817

  38. 01 mars 2012 Bonjour Madame.
    Je m’intéresse à titre privé (je suis retraité) à l’Hôtel de Clisson à Paris. Je souhaite établir l’histoire de l’utilisation de cet hôtel par la famille de Clisson, et par les Anglais Bedford et Clarence pendant la période de confiscation au 15e siècle, mais je n’ai trouvé que peu d’éléments sur l’internet. Je viens de lire l’étude « Clisson et ses Monuments » du comte Paul de Berthou, œuvre que vous avez bien voulu numériser. Pouvez-vous peut-être m’aiguiller vers des sources d’information concernant cet hôtel entre 1370 et 1553 ?
    Cordialement,
    Kenneth BIRBECK
    Andé (Eure)

      Réponse d’Odile :

    Compte-tenu de l’immense richesse d’Olivier de Clisson, il existe de nombreux ouvrages, et certainement beaucoup d’archives sur Paris, que je vous suggère d’aller consulter, aux Archives Municipales, aux Archives Nationales et pour les livres dans la Bibliothèque Nationale.

  39. Bonjour,

    Dans votre document sur Freigné « Histoire de la baronnie de Candé », il est fait mention des archives de la Saulaye, archives où Jacques Saillot semble également avoir abondamment puisé.
    En quoi consistent ces archives et quel crédit peut-on leur apporter ?

    Ce qui m’interpelle notamment, c’est le fait qu’on y cite un certain Thomas du Breil, époux de Marie Lirot, comme fils de Christophe et Catherine du Bellay.
    On sait maintenant que Thomas du Breil et Marie Lirot, installés à Joué sur Erdre, sont les ancêtres de Victor Hugo, mais que Thomas ne peut en aucun cas être le fils de Christophe.
    Notamment pour deux raisons…
    – Chronologiquement, c’est quasiment impossible, Christophe du Breil serait né vers 1509, et décédé en 1594, Thomas est né vers 1520, sa fille Perrine, future épouse de Mathurin du Rocher, est née en 1548, cela semble bien serré
    – Christophe du Breil est noble et toujours cité comme haut et puissant seigneur, conseiller du roi, seigneur de Liré et autres lieux dans les actes où il apparait, Thomas du Breil a tout juste droit à la mention d’honnête homme, sans aucune marque de noblesse (normal, il n’est pas noble !), il est donc inimaginable qu’il puisse être le fils de Christophe.

    Selon Laurent Alcedo, Thomas du Breil pourrait être issu de la branche des Champcartier, mais ceci reste à démontrer.

    D’où ma question, quel crédit peut-on apporter à ces archives ?

    Une petite remarque: la famille Lebreton qui apparait dans la descendance du Breil (Perrine épouse de Mathurin) est la même qu’on retrouve dans la généalogie des Bourmont, Perrine du Rocher, épouse de Pierre IV de Ghaisne, est l’arrière-petite-fille d’André du Rocher, frère d’Abraham et oncle de Mathurin, ainsi si Victor Hugo n’a pas de lien avec Joachim du Bellay, il est par contre apparenté au maréchal de Bourmont !

    Cordialement
    Michel Potier

      Réponse d’Odile :

    Bonjour monsieur

    Une autre fois, merci de me préciser la page, car Windows 7 n’est pas performant pour la recherche par mots, et j’ai dû passer carrément par Google.
    Donc, le vicomte de l’Esperonnière a écrit, page 155 :

    Du mariage de Christophe du Breil et de Catherine du Bellay naquirent :
    1° René, qui suit.
    2° Thomas, qui épousa Marie Lirot .
    3° Nicole, mariée à Guillaume Chohan, seigneur de Coëtcandec .

    En note de bas de page, il donne pour ces éléments :

    Archives de la Saulaye
    Histoire généalogique de la maison du Breil, p. 17

    Dans l’état actuel de mes connaissance, le vicomte a donc utilisé le chartrier de la baronnie de Candé, comme le dit le titre de son ouvrage « La baronnie de Candé », et ce chartrier était son bien à l’époque, aussi il lui a donné le nom du château dans lequel le chartrier était alors conservé.
    Hélas, le château, ou du moins les pièces conservant le chartrier, étaient humides et peu faites pour la conservation de documents.
    En sorte que l’état actuel du chartrier de Candé, versé aux AD49 à une époque qui m’est inconnue, est si mauvais que plus des 2/3 est incommunicable.
    Bien sûr, les Archives ont tout reclassé et tout coté selon leur méthode.
    L’inventaire détaillé de toutes ces charmantes cotes incommunicables est dans les classeurs jaunes des fonds chartriers aux Archives Départementales rue de Frémur Angers.

    Pour la seconde note de bas de page, le charmant vicomte cite un livre de ces généalogies du 19ème siècle et avant, qui ont la valeur relative qu’on doit toujours attribuer à ce type de sources. Même si le vicomte a puisé parfois dans ce type de source alléatoire, je pense qu’on doit lui reconnaître le grand mérite, à mes yeux du moins, d’avoir toujours cité ses sources.

    Enfin concernant les Lebreton, les ascendants de Victor Hugo et autres, je n’ai aucune compétence, et ne suis en aucun cas en mesure de répondre.

    Je vous demande deux choses :

  40. 1-merci de ne pas recopier ma réponse dans votre propre réseau, car j’estime que la copie est un manque de respect
  41. 2-merci de venir ici me tenir au courant lorsque vous aurez retrouvé le chartrier tel que je vous l’indique
    Odile
  42. et merci de votre question

  43. Merci pour votre réponse,

    Ayant eu l’occasion de mesurer le peu de fiabilité des généalogies publiées au XIXème (notamment la famille Thoinnet dite de la Turmelière dont la réelle ascendance n’a strictement rien à voir avec ce qui a pu être publié sur leur compte), je me doutais bien qu’il ne fallait y accorder qu’un crédit relatif.
    Toutefois, du Breil de Pontbriand ne cite pas ce Thomas dans son histoire de la Maison du Breil.

    Je n’ai pas vraiment envie de me pencher plus en détail sur ce chartrier, j’avoue que ces grandes familles ne me passionnent pas plus que ça, par contre, je suis agacé de voir que cette ânerie historique a été multipliée à l’envie sur le Net.

    Concernant les Lebreton, je les citais à titre d’anecdote, comme je sais que vous vous êtes intéressée à la famille de Bourmont, il est assez pittoresque de voir que Victor Hugo se retrouve apparenté avec un maréchal ultra-royaliste… alors qu’il aurait certainement préféré un lien avec Joachim du Bellay !

    Cordialement

      Note d’Odile :

    Désolée si M. de L’Esperonnière a fait une erreur, mais j’ai cru bien faire en numérisant autrefois son travail, car par ailleurs il donne une multitude de renseignements fiables.
    Si j’ai bien compris il a parfois utilisé des ouvrages moins fiables que lui.

    Enfin qu’Internet ne soit pas fiable, vous prêchez une convaincue, et même si convaincue qu’elle gardera à vie son indépendance, et sa liberté de parole.
    Odile

  44. Que vous respectiez à la lettre le contenu de cet ouvrage me parait être la bonne attitude, et si le marquis a fait une erreur, ce n’est pas à vous de la corriger.
    Par contre, rien ne vous interdit d’y ajouter une note personnelle pour signaler cette erreur.

    De la même manière qu’on ne fait pas baisser la fièvre en cassant le thermomètre, ce n’est pas Internet qui n’est pas fiable, mais il permet tous les excès, et ce n’est pas en démultipliant une fausse information que ça va la rendre bonne.

    Michel

      Réponse d’Odile :

    Je ne savais pas que le fait de numériser un ouvrage du 19ème siècle pouvait me voir accusée de colporter des erreurs sur Internet.
    Vous avez, Monsieur, une curieuse façon de me remercier d’avoir eu le courage de faire cette numérisation, et ce, bien avant que Google ne fasse toutes les numérisations d’ouvrages du 19ème (et autres siècles) bien connues sur Internet.
    Par ailleurs, vous avez écrit ici le 3 courant :

    Dans votre document sur Freigné “Histoire de la baronnie de Candé”, il est fait mention des archives de la Saulaye, archives où Jacques Saillot semble également avoir abondamment puisé.
    En quoi consistent ces archives et quel crédit peut-on leur apporter ?

    Ce qui m’interpelle notamment, c’est le fait qu’on y cite un certain Thomas du Breil, époux de Marie Lirot, comme fils de Christophe et Catherine du Bellay.
    On sait maintenant que Thomas du Breil et Marie Lirot, installés à Joué sur Erdre, sont les ancêtres de Victor Hugo, mais que Thomas ne peut en aucun cas être le fils de Christophe.
    Notamment pour deux raisons…
    – Chronologiquement, c’est quasiment impossible, Christophe du Breil serait né vers 1509, et décédé en 1594, Thomas est né vers 1520, sa fille Perrine, future épouse de Mathurin du Rocher, est née en 1548, cela semble bien serré
    – Christophe du Breil est noble et toujours cité comme haut et puissant seigneur, conseiller du roi, seigneur de Liré et autres lieux dans les actes où il apparait, Thomas du Breil a tout juste droit à la mention d’honnête homme, sans aucune marque de noblesse (normal, il n’est pas noble !), il est donc inimaginable qu’il puisse être le fils de Christophe.

    Selon Laurent Alcedo, Thomas du Breil pourrait être issu de la branche des Champcartier, mais ceci reste à démontrer.

    En sorte que je n’ai aucune preuve de ce que vous avancez.
    J’ai par le passé appris à 4 reprises combien les adhérents de votre association étaient capables de m’envoyer des erreurs en les affirmant vérités, de sorte que depuis je n’ai aucune raison de croire ce qui émane d’un Marquisien sans preuves tangibles.

    Si j’ai bien compris votre intervention, qui commence par :

    Dans votre document sur Freigné “Histoire de la baronnie de Candé”, il est fait mention

    votre association prend la numérisation de cette ouvrage pour MON DOCUMENT, et j’ose affirmer que c’est un peu triste, car mon entête est tout à fait claire à ce sujet, et dit bien que c’est le livre de monsieur de l’Esperonnière.

    Voici l’entête que j’avais mise en GROS CARACTERES SUR LA PAGE DE GARDE, et je constate que ni vos adhérents ni vous ne l’avez lue :

    Freigné
    in « Histoire de la baronnie de Candé »
    par le Comte René de l’Esperonnière
    Angers, Lachèse Imprimeur, 1894

    ouvrage rare, tiré à 300 exemplaires
    frappe numérique, à l’identique, effectuée par Odile Halbert le 2.11.2006
    pour le mettre à la disposition de tous
    retour Chazé-sur-Argos | retour Candé

    la pagination de l’original a été reportée entre parenthèses à chaque début de page
    mais la table est indexée sur ce document numérique

    Suite à votre intervention, je vais reprendre ces documents pour y mettre l’entête sur chaque page, avec une mise en garde claire. Et tellement claire, que j’ajouterai aussi que Monsieur de l’Esperonnière a fait un formidable dépouillement des Archives de la baronnie de Candé, mais probablement aussi consulté des ouvrages du 19ème ou autre, en citant ses sources, mais sans les vérifier, et qu’il appartient à chaque lecteur de vérifier ces sources.

    Ceci demandra quelques jours, car TOUT LE MONDE SAIT que je n’ai plus mes épaules, et ce jour mon lit est fait par mon aide ménagère, ainsi que tout le ménage, que je suis incapable de faire seule depuis 12 ans déjà.
    Mon lit n’est fait qu’une fois par semaine, et encore j’y dors à l’allemande, sans pouvoir être bordée, faute de pouvoir en sortir. Je me réjouis tous les mardis de la journée qui me fera un lit fait, et j’oublie que des lecteurs m’accusent de colporter des fausses généalogies, alors que je n’ai fait que numériser un ouvrage important pour la région.
    Voyez-vous, j’ai aussi numérisé Clisson, et j’ai toujours eu des remerciements et non des critiques sur Clisson.
    Je pense que votre Association a beaucoup trop d’animosité à mon égard, d’ailleurs, je vous avais par le passé adressé un courriel, lequel avait reçu une réponse ahurissante, en effet, les 6 points de votre réponse étaient des mensonges, mensonges qui sont donc colportés par vos adhérents sur mon compte, et auquel, naïvement vous croyez.
    Le sujet est clos.
    Bonne journée à tous
    Odile Halbert

  45. En complément à ma réponse ci-dessus, j’ajoute que monsieur de l’Eperonnière était COMTE :

    et à pas marquis comme vous l’avez écrit ci-dessus.
    Là encore, je vois que vous n’avez même pas regardé la page de garde de ma numérisation.
    Odile

  46. Madame,

    Le musée de Sologne possède un livre d’heures du début XVI ème ayant appartenu à la reine Claude de France. On sait que la bibliohèque de la reine a été dispersée après son décès.
    Une mention manuscrite précise que ce livre a appartenu en 1654 à François Picard veuve Pierre Poirier, conseiller du Roy, son procureur et avocat au passage et mesurage à sel d’Ingrandes.
    Une recherche sur internet m’a permis de retrouver ce Pierre Poirier en 1614 sur votre blog.
    Grâce à vous, il y a un début de piste..
    Peut-être avez vous d’autres informations sur cette famille Poirier (ou Picard)?
    Jusqu’à ce jour nous ignorons comment ce livre est passé des mains de la reine à celles de cette famille angevine…

    Cordialement

    Martine Vallon
    Musée de Sologne.

      Note d’Odile :

    Heureuse de vous avoir été utile.
    J’espère que mes lecteurs iront plus avant encore.

  47. @M Potier : en quoi l’éventuelle erreur de M de l’Esperonnière peut être imputée à Mme Odile Halbert ? Dépouillez vous tous les livres numérisés par Google ou Gallica pour leur reprocher les erreurs des auteurs du passé ?
    D’ailleurs où sont vos travaux qui prouvent que Thomas n’est pas le fils de Christophe ? les arguments que vous empruntez à d’autres sont minces et en aucun cas des preuves !
    Et où avez-vous vu sur ce blog que nous nous passionnons de savoir si votre cousin Victor Hugo cousine ou non avec Joachim du Bellay ?

  48. Mme Halbert n’est en rien responsable de cette erreur, et a bien fait de la reproduire pour ne pas nuire au document original.
    Il serait toutefois souhaitable de mentionner que c’est une erreur car cette filiation a créé un véritable « buzz » (je n’aime pas ce mot mais je ne connais pas de terme équivalent en français), non pas d’ailleurs à cause de Mme Halbert, mais plutôt de la mention de cette filiation dans les publications de Jacques Saillot.
    Si vous interrogez Geneanet, vous constaterez que cette filiation entre Christophe et Thomas du Breil est reprise des centaines de fois, m

    J’ai analysé ce couple Thomas du Breil x Marie Lirot

    Désolé, le message est parti trop vite… je reprends

    Si vous interrogez Geneanet, comme probablement Genealogie.com, vous constaterez que cette filiation entre Christophe et Thomas du Breil est reprise des centaines de fois, et elle est également citée dans la base Roglo.

    Il se trouve que j’ai analysé ce couple Thomas du Breil x Marie Lirot de Joué qui me concerne personnellement, s’il est bien attesté qu’ils sont ancêtres de Victor Hugo, ils n’ont strictement rien à voir avec Christophe du Breil, c’est absolument évident à la lecture des actes où ils sont mentionnés (où n’apparaissent d’ailleurs jamais les du Breil de la Turmelière).

      Réponse d’Odile :

    Bonjour monsieur
    Avant de poster ce commentaire, vous auriez pu sans doute attendre mon action, comme je vous expliquais hier n’avoir le temps le mardi.
    Car j’ai agi.
    Je n’ai pas agi dans le sens que vous prétendez, car il ne m’appartient pas de corriger un ouvrage numérisé, tout comme Google et Gallica qui ne le ferront en aucun cas.
    Car, à mon sens, il appartient à chacun qui lit un ouvrage numérisé, que ce soit sur Gallica, Google, et les ouvrages que j’ai modestement numérisés, de vérifier le contenu.
    Or, vous êtes en train d’affirmer que j’ai créé un buzz sur le net, alors que moi, je prétends que les bases de données ont plus que tendance à copier des généalogies du 19ème siècle sans vérifier.
    J’en veux pour preuve une brève visite que j’avais faite il y a quelques années sur le forum de Roglo, où j’avait lu, médusée, qu’ils se partagaient le boulot de rentrée dans leur base des ouvrages en question, tel que, et qu’il leur restait encore tel et tel ouvrage à entrer. Le tout sans plus de travail que la copie.
    Donc, si le buzz est sur le Net, pourquoi m’accuser moi, puisqu’il est ainsi certain qu’au moins une base a mis l’ouvrage « Généalogie de la famille Du Breil » dans ses données.
    Pour ce qui est des bases de données, rassurez vous, je n’ai pas le droit de consulter celles que vous citez, ni la vôtre non plus, car il faut être inscrit pour y accéder, et vous ne vous imaginez tout de même pas que je suis assez stupide pour m’insrire à Geneanet ou à Genealogie.com
    Par contre, si je comprends votre intervention, l’un des adhérents des Cousins de la Marquise, fait circuler dans votre forum secret, réservé à vos adhérents, que c’est moi qui suit la source du buzz.
    Je réponds donc ici, faute de pouvoir répondre à toutes les accusations véhiculées contre moi dans votre forum fermé, que lorsqu’on consulte un ouvrage on DOIT VERIFIER LES DONNEES. Et à mes yeux, la personne qui s’est contentée de copier l’ouvrage de M. de l’Esperonnière n’a pas sa place en généalogie, car cela n’est pas ainsi qu’on travaille.
    Mieux, vous prétendez une autre donnée, sans en apporter la preuve. Ce que vous apportez c’est uniquement une hypothèse, et une piste de recherches. Je vous ai donc dit clairement hier. Mon site, mon blog, n’ayant pas publié de généalogie des Du Breil, je n’ai aucun mea culpa ni modification à faire.

    En conclusion, j’ai bien noté que votre association, fermée à tous sauf à ses adhérents, procède :
    1-en copiant
    2-en copiant n’importe comment, en particulier les ouvrages numérisés
    3-en véhiculant dans son forum n’importe quoi sur mon compte

    En conséquence, veuillez d’abord apprendre à vos adhérents à travailler intelligemment la généalogie, et veuillez empêcher le forum de dériver vers toutes les accusations qu’il colporte et n’a pas à colporter sur mon dos depuis 10 ans, et contre lesquelles je ne peux me défendre faute d’y avoir accès.

    Maintenant le sujet sur ce Dubreil est clos.
    Vous pouvez revenir sur mon blog, mais plus sur ce point.
    Odile

  49. Bonjour ,et bravo pour ce site d’histoire…Etonner que des critiques négatives .
    Ce travail est fantastique…Grace à vos éléments,j’ai decouvert plein de choses historiques sur votre travail .Merci. Je fais (entre autre) de la video d’histoire.. Un travail également de Mémoire, sur mes ancêtres .Ma famille est de région Saumur / Longué.
    Généalogiquement vôtre…
    ps:Quand donc les gens « malfaisants,arreteront de dénigrer des personnes comme vous.Qui permettent de mettre à jour notre Memoire…? Merci

    j@ues**

  50. à Michel Potier, auteur des commentaires ci-dessus

    Le 3 mars dernier au matin, suite à votre intervention ci-dessus, qui était des plus curieuses, j’ai regardé le site dont vous êtes le fondateur et j’ai trouvé la page que voici (avec captures d’écrans en date du 3 mars 2012) :


    Il semblerait que vous ayez, Monsieur, oublié de supprimer cette page de votre site, qui est sans preuves aucune.
    Si j’ai bien compris votre méthode généalogique, elle se passe de recherches de preuves, et à force de vouloir cousiner partout, vous allez un peu vite en besogne.
    Si j’ai bien compris votre intervention sur mon blog, vous êtes vexé de ne plus cousiner Du Bellay, et m’avez accusée d’information non fondée concernant la numérisation de l’ouvrage de M. le Comte René de l’Esperonnière.
    Je maintiens qu’un ouvrage numérisé n’est pas à modifier, et que ce n’est pas à moi d’entreprendre une mise à jour de cet ouvrage par de très longues recherches, mais c’était à vous de vérifier vos sources jusqu’à la preuve.
    Je maintiens qu’une page HTML sur votre site DOIT ETRE MODIFIEE
    cela s’appelle BALAYER DEVANT SA PORTE avant de prétendre balayer chez les autres
    Odile Halbert

  51. Bonjour Madame
    C’est par hasard que je tombe sur votre blog, après m’être amusée à écrire mon nom sur « Google » ! J’y ai vu une M F Fourmont de 1771 et j’ai continué par curiosité en lisant une partie de votre riche documentation…
    Fourmont est le nom de mon père, décédé en 1969 et dont nous n’avons pratiquement pas de renseignements généalogiques, sauf les années de naissance de ses parents. Nous savons seulement que sa famille est originaire de la Sarthe et du Loiret et qu’il y a des Fourmont, Fourmond, dans les pays de Loire, ce qui correspond à ce que je viens de lire sur vos documents.
    Je ne connais pas grand chose à la science de la généalogie ; je pense qu’il faut être passionné pour y consacrer tant de temps, énergie, patience ! Auriez-vous une « piste » à m’indiquer, afin que je puisse trouver quelques renseignements sur ma famille paternelle, en remontant à partir de 1880, environ ?
    Mais ce n’est peut-être pas du tout dans vos possibilités ou votre disponibilité ? Dans ce cas, je vous prie de m’excuser… et je ne vous insulterai pas !! Je trouve cela inoui que des comportement semblables puissent exister.
    Merci par avance.

      note d’Odile :

    je laisse mes lecteurs vous répondre, car je suis débordée cette semaine.
    Odile

  52. Bonjour à tous et merci de ce travail titanesque qui met notre famille , d’Arcachon incomplète mais originaire de Noirmoutier et Nantes dont j’ai retrouvé également une branche familiale du côté d’un Oncle Isidore dont j’avais entendu parler longuement par mon père .J’ai obtenu des précisions et rectifié mes erreurs jusqu’à MECHINEAU Nicolas mais une partie de la Famille étant Royaliste à Barbatre et les autres républicains à Noirmoutier cela ne facilite pas les recherches au niveau de la révolution .
    Bravo pour toutes ses précisions quand même mais pas beaucoup d’éléments liés à la Bretagne et au Roi en 1565 ainsi qu’à la famille de Cahideuc par l’une des soeurs

  53. Oups…

    Cela fait bien longtemps que je ne maintiens plus le site, et j’avais totalement oublié l’existence de cet article, que je vais faire supprimer rapidement.
    A titre personnel, je ne descends absolument pas des du Breil, et donc encore moins des du Bellay, et cela ne m’a jamais préoccupé.
    Pour le reste, toutes les informations concernant l’ascendance de Victor Hugo aux du Breil de Joué ont été vérifiées, et ne sont pas contestables.
    Par ailleurs, l’ascendance des du Breil de la Mauvaisinière est connue des historiens.

    Le lien entre les deux était fait par les archives de la Saulaye, reprises par de nombreuses personnes, du comte de l’Esperonnière à Jacques Saillot, les sources semblaient donc fiables.
    Conclusion : je ne sais pas si Christophe du Breil a eu un fils Thomas, mais ce qui est sûr, c’est qu’en aucun cas, ce peut être celui qui a épousé Marie Lirot.

    Pour information, les archives de la Saulaye ont bien été remises aux AD49 mais ne sont pas communicables. En principe, un archiviste devrait y faire le tri prochainement.

    Michel Potier

      Réponses d’Odile :

    1 – J’ai bien noté, et mes lecteurs aussi, que le 3 mars dernier vous m’avez mise en cause pour avoir publié sur mon site la numérisation de l’ouvrage de monsieur de l’Esperonnière sur la baronnie de Candé, sous prétexte que cet ouvrage comportait une prétendue erreur que vous me demandiez de rectifier.
    2 – J’ai bien noté qu’à la suite de votre demande, faute de pouvoir modifier un ouvrage paru, ce qui ne se fait en aucun cas, et d’autant que vous n’apportiez aucune preuve à vos dires, j’ai moi-même modifié seulement la mise en page de la numérisation, pour mettre sur chaque haut de page une mise en garde claire indiquant l’origine de l’ouvrage, car il semblait que les lecteurs ne savaient pas voir la source, ou mieux, avaient envie de l’oublier parce qu’ils ne s’encombrent pas de sources et de fiabilité des sources.
    3 – J’ai bien noté que vous ne vous étiez pas soucié des publications de votre site, alors même que vous me demandiez de modifier le mien ! Et que votre site n’est toujours pas modifié, 27 jours plus tard !
    4 – Vous n’avez manifestement pas noté que je n’en ai rien à f… des ascendants de Victor Hugo, et que sur mon blog on ne fait ce genre de cousinages, dont la majorité de mes lecteurs n’attendent rigoureusement RIEN, et vous osez ce jour ci-dessus vous dire détaché de la chose alors même que vous l’avez suscitée dans l’association que vous avez fondée.
    5- J’ai bien noté ci-dessus que vous avez écrit : « A titre personnel, je ne descends absolument pas des du Breil, et donc encore moins des du Bellay, et cela ne m’a jamais préoccupé. », et je me demande alors bien pourquoi vous veniez le 3 mars dernier sur mon blog en parler, et pire pour mettre en cause les informations de mon site. Car si j’ai bien compris vous abordiez un sujet, sans preuves, qui ne vous concernait en rien, ne vous intéressait en rien, mais dans lequel vous prétendiez rectifier les autres ???
    6 – J’ai bien noté ci-dessus que vous avez écrit : « Par ailleurs, l’ascendance des du Breil de la Mauvaisinière est connue des historiens. » Je tiens à préciser à mes lecteurs qu’on ne fait en aucun cas de la généalogie sur mon blog en se basant sur ce qui est « connu » et même « des historiens », car ceci n’est en aucun cas un gage de garantie, et j’ai de multiples exemples lamentables que je pourrais illustrer sur ce sujet, mais j’ai mieux à faire.
    7 – LE DERNIER POINT EST PLUS GRAVE CAR IL ME FAIT INSULTE ET JE NE PEUX AUTORISER QUICONQUE A VENIR ICI M’INSULTER.
    VOUS N’AVEZ PAS SUIVI MES RECOMMANDATIONS, QUI VOUS INDIQUAIENT CLAIREMENT QUE LE CHARTRIER UTILISÉ PAR M. DE L’ESPERONNIERE ÉTAIT CELUI CLASSÉ « BARONNIE DE CANDÉ » AUX ARCHIVES.
    Et vous êtes allé demander au personnel, qui ne savait pas l’histoire de ce chartrier, pire, si cela se trouve vous avez demandé à un tiers d’aller pour vous voir aux archives. Or, la Saulaie a eu depuis M. de l’Esperonnière d’autres propriétaires… Et le nom « archives de la Saulaie » ne veut rien dire en 2012, et je vous avais indiqué que ce fonds était classé « baronnie de Candé », ce que d’ailleurs n’importe qui aurait facilement déduit du titre de l’ouvrage de M. de l’Esperonnière.
    J’ai utilisé à plusieurs reprises le chartrier de la baronnie de Candé, défini comme tel et classé aux Archives du Maine et Loire.
    C’est dans ce chartrier, entre autres, que j’ai trouvé les successions Auvé etc… que j’ai photographiées et retranscrites moi-même, pour ensuite comparer avec la retranscription de M. de l’Esperonnière, et constater, avec plaisir, que M. de l’Esperonnière avait une bonne pratique de la paléographie et que ses retranscriptions étaient fiables. La plupart de mes recherches dans ce chartrier étaient donc suite à ce que j’avais lu dans l’ouvrage de M. de l’Esperonnière, et que je vérifiais, car j’étais personnellement concernée, puisque je descends des PELAUT qui avaient hérité des Auvé, lesquels étaient alors sans hoirs, etc…
    Je constate que non seulement vous ne savez pas utiliser un chartrier, mais que vous ne voulez pas reconnaître ici mes compétences en la matière. Je dis bien « compétences », pour avoir utilisé un grand nombre des chartriers classés aux AD49 et pour savoir les manipuler et en tirer les preuves indispensables en recherche.
    JE NE PEUX ADMETTRE QUE VOUS VENIEZ CY-DESSUS INSULTER MES COMPÉTENCES EN LES NIANT AINSI.
    J’écris ce jour à Madame Verry pour l’informer que le chartrier de la Baronnie de Candé est bien celui utilisé par M. de l’Esperonnière sous le vocable « Archives de la Saulaie ».
    Odile Halbert

  54. Si on devait enlever des bibliothèques tous les livres qui ne sont pas parfaits, les bibliothèques seraient dégarnies. Et ce serait dommage car même imparfaite toute oeuvre peut être utile.
    Je vous suis infiniment reconnaissant d’avoir numérisé l’Histoire de la baronnie de Candé écrite par le comte de l’Esperonnière et de l’avoir mise à notre disposition sur votre site.
    Ce travail a été très utile dans la recherche sur les Pelaud, seigneurs de Bois-Bernier. Il nous a aussi révélé leurs liens avec les Auvé.
    De plus, il m’a permis de comprendre pourquoi Charles de Chambes de Montsoreau, protecteur de Jean Pellault, de St-Nicolas de Bourgeuil, connaissait René Pelaud, seigneur de Bois-Bernier; Bois-Bernier relevait de Challain dont les de Chambes étaient seigneurs et Charles de Chambes, qui était à peu près du même âge que René Pelaud, est né à Challain.
    Merci pour nous permettre de lire ce livre et merci pour votre travail de transcription des actes des notaires et de diffusion de l’histoire de l’Anjou.

  55. Je crois qu’il faut préciser , pour qui suit attentivement ce blog
    -notamment dans le cas de la succession de Renée Auvé (partage de Raguin en 1579) p 11 de la famille Haton-

    Que : Mme Halbert a vérifié la véracité du livre de Mr de l’Esperonnière et l’a même complété ! Je crois qu’elle nous donne le protocole à suivre pour toute recherche et le redit à longueur de blog de vérifier les documents secondaires par les sources primaires quand elles existent !
    Mme Halbert rectifie aussi et complète aussi le dictionnaire C Port etc…et nous apprend à distinguer les documents secondaires de bonne foi sur lesquels on peut avoir des pistes de travail intéressantes et ceux qui , notamment les travaux sur commande des anciens feudistes, sont totalement à réfuter (preuves à l’appui)
    Je remercie Mme Halbert pour son souci d’exactitude.

  56. comme beaucoup de vos lecteurs, votre numérisation de l’Histoire de la baronnie de Candé par l’Esperonnière, est pour moi le seul moyen d’accéder à cet ouvrage de référence avec ses informations bien référencées et sourcées. Merci.

  57. Madame,
    je travaille sur l’histoire des verreries et verriers sur le territoire français et un peu plus loin. Or, je vois des DE LA CHAMBRE verriers à PANNECé au XV ème s. En savoie, les De La Chambre, établis en Maurienne, fut une famille très importante, jusqu’au 17ème S. A-t-elle un rapport avec les verriers de Pannecé ?
    Je ne sais si vous avez le temps de répondre, mais sachez que je suis admiratif pour tout ce travail accumulé et sa richesse et vous en remercie.
    A bientôt.

      Réponse d’Odile :

    Les travaux que je cite ont été effectués par les MH de Loire-Atlantique, mais je crois non publiés.
    Je sais qu’ils sont basés sur l’exploitation d’aveux, lesquels ne donneront pas les filiations.
    C’est donc vous qui nous donnez une information importante sur l’origine de cette famille.
    Car les verriers d’alors étaient uniquement quelques familles et un savoir-faire qu’elles ne partageaient pas à des tiers.
    Ce que vous avez observé tend dont à démontrer que ceux qui ont brièvement été verriers à Pannecé venaient de la vallée de la Maurienne.
    Bien à vous
    Odile

  58. Joyeuses Pâques… et Bonne année !!! (ancien style évidemment )

  59. Je tiens a vous remercier car votre travail sur Lonlay le Tesson me fut tres utile pour retrouver beaucoup de liens dans ma famille Davy qui plus tard devint David.

    Je suis tres content de pouvoir avoir acces en ligne aux registres de l’Orne et j’y fait mon bonheur.

    J’ai fait ma genealogie en utilisant Heridis 12 et cela m’a ete aussi tres utile.

    Avec toute ma reconnaissance

    Tres cordialement

      Note d’Odile :

    Si j’ai bien compris, vous avez pris sur mon site, et vous n’en avez rien à faire de renvoyer l’ascenceur, car compte tenu de mes nombreux ancêtres Normands, vous auriez au moins pu me dire comment vous vous reliez.
    Odile

  60. Bonjour,
    je dois reconnaître que je suis tombée grâce à un heureux hasard sur vos travaux que j’ai consulté avec avidité mais désormais j’aimerais vous solliciter tout particulièrement sur la personne de Jean Hiret. Etudiante en master 1 de recherche en histoire médiévale,je fais appel à la chronique de Jean Hiret « Des Antiquités d’Anjou » et alors que je suis actuellement en pleine rédaction de mon mémoire,je cherche à dresser un tableau critique de mes sources et pour ce faire il me faut évidemment présenter les auteurs. J’aurai donc souhaité savoir s’il vous était possible de me transmettre une sorte de « mini-biographie » de Jean Hiret d’une part et de m’aider à éclaircir les liens qui le lie à Guillaume Fouquet qui,me semble-t-il, est tout de même le commanditaire de cette chronique non? (Jean Hiret débute sa chronique par ces mots: « A très hault et tres puissant Seigneur messire Guillaume de la Varenne Fouquet »…)

    Au passage il va bien évidemment de soi que toute information émanant de vous, entraînera la création d’une note de bas de page dans mon mémoire. =)

    En espérant que vous trouverez un peu de temps pour « éclairer ma lanterne »,je vous souhaite une bonne journée.

    Très cordialement.

    Athimon E.

      Note d’Odile :

    Je me refuse à toute collaboration dans un quelconque devoir, car j’estime que c’est à l’élève de chercher seul.
    Mon ouvrage sur les Hiret est disponible aux Archives Départementales du Maine et Loire, à la BM à Angers, aux Archives Départementales de Loire-Atlantique, à la BN à Paris, à la fac d’histoire de Nantes et à celle d’Angers.
    Le lien d’un prêtre quand il publie est hierarchique, et ici Jean Hiret, chanoine d’Angers et curé de Challain, s’adresse à son évêque, alors évêque d’Angers.
    Les bibliographies détaillées de Jean Hiret comme celle de son évêque, sont disponibles dans l’ouvrage de Célestin Port, en ligne, sur le site des Archives départementales du Maine et Loire, et, sur Google books.
    Odile

  61. Bonsoir,

    J’ai beaucoup entendu parlé de vous par ma Belle-mère, Mme Anne-Marie BOUTIN qui consacre beaucoup de temps à la généalogie depuis de longues années. Vous avez du échanger de nombreuses fois par le passé.

    Ce soir je vous contacte pour un autre sujet. J’ai modestement collaboré en 1995 avec l’école Ste Thérèse de Corsept à des travaux dans le cadre de Brest 1996 sur l’ile Saint-Nicolas, l’île des moines de Thiron plus connu sous sous l’île Saint-Nicolas des défunts. Les enfants préféraient la nommer Saint-Nicolas des Oiseaux car ses seuls habitants en 1995 portaient des plumes.
    J’ai toujours gardé un lien affectif avec ce petit bout de terre chargé d’Histoire. J’ai découvert sur internet la semaine passé l’ouvrage de Michel LANGLOIS sur la Grande Recrue de 1653. Ouvrage qui vous cite. Cet ouvrage fait mention du débarquement sur l’île Saint-Nicolas des défunts le 20 juin 1653 des recrues qui allaient rejoindre Ville Marie pour renforcer l’implantation de ce qui allait devenir Montréal. Parmi ces recrues, des femmes et Marguerite BOURGEOYS, la future première Sainte du Canada qui laisse des écrits.
    C’est grace à ses écrits que vous en avez déduit que le groupe aurait pu être débarqué sur cette île destinée aux navires en quarantaine.
    L’hypothèse me tente bien, même si on n’est pas sur que les moines gris de Thiron sont encore sur l’île en 1653 – le siège de l’ordre à Thyron Gardais a été dévasté lors des guerres de la ligue . Néanmoins un rapport des échevins nantais de 1713 fait état de ruines de chaumières et d’un oratoire. Nous avons retrouvé des vestiges des ces ruines lors de notre visite sur l’île en 1995 avec le docteur Tessier, archéologue bien connu du Pays de Retz.
    Mon épouse qui est correspondante de presse Ouest France pour la commune de Corsept est intéressé par cette histoire afin de la faire découvrir aux habitants de Corsept. Accepteriez-vous de raconter comment vous avez découvert ce manuscrit de Marguerite BOURGEOYS et quelles sont été les éléments qui vous ont fait pencher pour l’île Saint-Nicolas ?
    Mme LAPEYRE la propriétaire de l’île se souvenait de vous et était au courant de vos recherches. Vous lui aviez fait passé votre mémoire à l’époque.
    à très bientôt, je l’espère, par internet ou par téléphone. Je suis dans l’annuaire en page de Saint-Viaud.

    Cordialement. Très bonne soirée.

    Roch CHERAUD

      Note d’Odile :

    Effectivement, madame Boutin doit connaître mon site et l’utiliser, mais elle n’échange rien avec moi, car elle fait partie du cercle de la Marquise qui prennent chez moi, disent beaucoup de mal de moi, mais évitent d’échanger avec moi, et c’est sans doute tant mieux, car j’ai des règles de recherche bien plus sérieuses que les leurs.
    Effectivement, j’ai travaillé autrefois sur l’île saint Nicolas, mais mes travaux ont été doublés par ceux auxquels j’avais eu la gentillesse d’envoyer mon projet de publication.

    Effectivement j’ai rencontré Michel Langlois avant la publication de son ouvrage, et j’ai son ouvrage depuis
    Effectivement j’avais contacté la propriétaire de l’île saint Nicolas, et je suis heureuse d’apprendre qu’elle se souvient de moi.

    Vous remuez donc là des souvenirs douloureux pour moi, car je suis si souvent pompée, que je vais prendre quelques jours le temps de réfléchir avant de reprendre contact avec vous.
    Odile

  62. Votre site m’a passionné

    Félicitations pour le travail méticuleux, passionné et passionnant. Ma famille est originaire de Freigné; cette région, le HAUT ANJOU,est celle de mon enfance et de ma jeunesse; nostalgie, peut être !!

    Claude CHEVALLIER

  63. Bonsoir,

    Excusez mon retard à vous répondre mais j’ai eu des petits problèmes de santé.

    Concernant Mme BOUTIN, elle a 81 ans et fait de la généalogie depuis les années 1950 – je ne pense pas que se soit son habitude de « pomper ». Quand elle peut donner des éléments qu’elle a, elle le fait bien volontier et bien souvent elle aussi sans retour ni remerciements… elle a « sponsorisé » la poste pendant des années avant qu’internet existe.

    Je comprends fort bien votre réticence sur le « l’appropriation » par autrui des fruits de recherches longues et fastidieuses ayant eu à le subir sur quelques sujets qui ont été le Père François MABILEAU de Paimboeuf et la base aéronautique de ballons dirigeables de Paimboeuf. Je ne peux donc vous en vouloir sur ce point. Mais je me dis que ce qui compte c’est que le fait découvert soit exploité et mis en valeur – après tant pis pour ma modestie.

    Michel Langlois m’a expliqué l’importance de cette grande recrue pour la ville de Montréal très simplement, c’est ce qui compte.

    Le passage sur l’ile Saint-Nicolas n’est qu’une étape. De même que le passage sur sur l’ile Saint-Nicolas du groupe de volontaire n’est qu’une étape dans la riche histoire de ce petit bout de terre de l’estuaire de la Loire.

    J’ai été heureux à cette occasion de reprendre contact avec Mme LAPEYRE et de savoir que son île restera entre les mains de sa famille.

    Je vous dit encore bravo pour tout le travail accompli. Pour ce devoir de mémoire que vous faîte.

    Très bonne soirée

    Roch CHERAUD

  64. Bonjour,
    Je pense avoir trouvé le bon canal pour vous féliciter pour tous vos travaux.
    Hier je n’avais pas trouvé le couple GODIER x ALANEAU dans votre généalogie ALLANEAU.
    Il suffisait d’aller du côté des Godier pour trouver…
    Mea culpa !
    Bonne continuation dans vos recherches.
    Cordialement,
    Hubert de La Morinière

  65. Note d’Odile :
  66. Bonne continuation dans les vôtres !
    N’hésitez pas à revenir mettre un commentaire sur mon blog, je m’en réjouis d’avance.
    Mon blog est trié par catégories d’histoire que vous trouvez en menu déroulant dans la colonne de droite.
    Mais il a aussi de très nombreux mots clefs, dit TAGS dans WordPress qui est mon logiciel gratuit.
    Ainsi vous avez les actes ALANEAU en tappant sur le TAG de ce nom etc…

    Sainte Allaneau est venue de Bretagne à Angers pour la succession de ses parents, 1630

    en tappant sur le tag ALLANEAU au dessous de l’article ci-dessus, vous avez par moins de 67 minutes retranscrites par mes soins et traitant de cette famille
    etc…

  67. Bonjour,
    « Trainant » ce matin dans les registres de Cossé Le Vivien, j’ai trouvé l’acte de mariage de Pierre LE MONNIER avec Marie BUFFEBRAN en date du 2 mai 1702 (vue 178 de la série aux archives de la Mayenne).
    Dans votre généalogie BUFFEBRAN vous indiquez ce mariage avant 1709.
    Voilà pour le détail (si vous ne l’aviez pas déjà).
    Cordialement,
    Hubert de La Morinière

      Note d’Odile :

    Merci pour ce collatéral, et si vous connaissez tant soit peu les MONNIER vous constaterez que les alliances BUFFEBRAN ne manquent certes pas, mais que les MONNIER sont issus de familles totalement distinctes, c’est le cas ici, car il ne m’est pas apparenté, par contre, elle, est une de mes collatérales, et fille unique, ce qui était toujours une bonne affaire pour le futur époux.

  68. Bonjour Madame,

    Vos travaux sont passionnants : je suis plus qu’admiratif.
    J’y suis arrivé en faisant effectuant des recherches sur les Baraton.

    J’aurais souhaité vous soumettre une photo de sculptures : y figurent des armoiries Baraton que j’imagine écartelées avec D’Iré….et d’autres encore dont je ne sais si elles représentent les quartiers d’un Baraton ( François peut être ?) ou plutôt un rappel des seigneurs dont ils relevaient (Laval Craon Chateaubriant etc…) ou encore autre chose …
    Peut être pourrez vous me mettre sur la bonne voie.

    Bien cordialement

      Réponse d’Odile :

    Pour conserver à mon blog sa lisibilité, il serait préférable que ce commentaire figure au pied d’un acte concernant la famille concernée, car mon blog est équipé d’un grand nombre de catégories (visibles en menu déroulant en colonne de droite) mais aussi de mots clefs aliàs tags, sous l’article concerné, et en cliquant sur un tag vous accédez aux actes compétents.
    Donc, merci de faire un copié-collé de votre commentaire sour un article concernant la famille BARATON, comme par exemple celui-ci :

    Louis Baraton fait le réméré de la Cornullière en Congrier, 1545

    Pour votre iconographie, vous avez toujours l’adresse du webmaster sur un site et mon site est odile-halbert.com, et mettez l’arobase entre les deux.
    Ceci dit je suis une excellente paléographe, mais je ne suis pas du même niveau de compétence en héraldique, mais mes lecteurs ou mon blog dédié à cette région sauront sans doute vous éclairez mieux que moi.
    Odile

  69. Bonjour
    Je viens de découvrir votre travail, bravo. J’ai beaucoup ris à propos de la dot que les Lepeltier n’honoraient pas. Je suis une Lepeltier d’Athis de l’Orne, j’espère que mes ancêtres n’en faisaient pas autant. Je cherche « le pelletier » , pour l’instant l’ancêtre le plus ancien né en 1716 est boucher, je continue.

    Votre article sur la dot m’a éclairé et expliqué ,le procès que Jeanne de Brée (ancêtre de mon mari) intente contre son neveu à Laval (sentence le 18 juin 1426).

    Bon courage

      Note d’Odile :

    est-ce que vous êtes sure de la date de 1426, car je n’ai rien remonté aussi haut
    Odile

  70. Bonjour
    Bravo pour votre travail. J’ai de nombreux ascendants dans la région que vous étudiez. Mon grand père était originaire de Martigné Ferchaud et ses ancêtres dans les 4 départements. 35, 44, 49, 53.
    J’ai trouvé votre site par hasard en recherchant des infos sur le couple Jacques Goullier et Catherine Meaulin.
    Mes données sont sur geneanet sous le nom cormy.

    Cordialement

    Renaud Cormy

      Réponse d’Odile

    Geneanet n’est pas accessible à ceux qui ne sont pas inscrits, contrairement à ce que vous pensez, et je refuse totalement de m’y inscrire car ce que je fais est de meilleure qualité et vous je n’autorise personne à y copier mes travaux qui relèvent de la propriété intellectuelle.
    Odile

  71. Bonjour,
    concernant votre article sur les sépultures dans les églises, il faut être prudent sur les pourcentages « inhumés eglise/ toutes les sépultures « car les actes de sépulture ne représentent pas toujours la réalité pour s’en convaincre il suffit de comparer les nombres de baptêmes et de sépultures sur la même periode (exemple: avec une moyene de 5 ans). Je fais depuis plusieurs années l’analyse des inhumations pour certaines paroisses de la Sarthe et en général il faut attendre 1720-1730 pour constater des nombres assez proches, bref pour constater que tous les décès étaient signalés dans les actes. D’ailleurs pour la période 1600-1635 environ, il n’y a souvent que 5 ou 6 actes alors que le nombre de baptêmes est de l’ordre de 20 .. 30 à 50 selon la population du village.
    Par contre, j’ai effectivement rencontré – mais à l’est de la Sarthe, des chiffres de 15 .. 19 inhumations dans l’église en une seule année (enfants compris) mais dans cette période 1660.. 1690 qui correspond à la période « faste » car ensuite il n’y a plus de place même si on trouve encore quelque espace dans une chapelle pour quelques années.
    En valeur cumulée j’ai trouvé 550 inhumations à Brulon pour 200 ans et 560 (pour 100 ans) à Montmirail.
    Par ailleurs, avez-vous trouvé dans le « rituel d’Anjou » ou de les statuts synodaux du diocèse d’Angers le contenu du service religieux minimum que le pretre devait célébrer pour les indigents ? je constate que les services religieux sont nombreux en Anjou (Region de Durtal-partie Sarthe actuelle) mais pour le Maine les registres ne présent jamais ce cas et d’ailleurs les statuts synodaux n’évoquent pas du tout cet aspect.
    Merci.
    Salutations.

      Note d’Odile :

    Le nombre de sépultures dans l’église varie énormément selon la paroisse. Je pense selon l’intérêt plus ou moins financier du curé.
    Mes relevés tenaient compte de la mention « inhumé dans l’église » sur l’acte de sépulture, et je pense que lorsque le prêtre avait écrit cette mention, elle était exacte.
    Odile
    PS J’ai même observé un cas au moins ou le seigneur entendait être le seul, quite à faire exhumer l’impudent qui avait osé se faire inhumer dans l’église.

  72. Madame,

    Tout d’abord, un grand merci, joint à un grand bravo, pour votre travail, c’est impressionnant.
    Pour la 100e fois environ, mes recherches, pour mon ascendance, m’amènent sur votre site.
    Je pense qu’une bonne partie doit être de la votre, auquel cas, nous cousinons certainement.
    Je travaille actuellement le patronyme HIRET sur Saint-Martin-du-Bois.
    Au plaisir de vous relire,
    Très généamicalement Bruno

      Note d’Odile :

    Mes travaux ont été faits et publiés bien avant que Geneanet existe.
    Mes travaux ont été pompés par des Généanautes peu scrupuleux, et la plupart sans même me faire signe.
    Je ne suis pas inscrite sur Geneanet et n’y ai pas accès, car pour y avoir accès il faut être inscrit.
    Vous ne vous imaginez tout de même pas que je vais m’inscrire à un site qui m’a autant copiée, et surtout qui comporte tant de prétendus généalogistes qui font tant d’erreurs que tout doit être refaits lorsqu’on aborde de telles bases de données. Je n’ai pas de temps à perdre en conséquence sur cette base de données, j’ai une autre notion de la qualité des travaux de recherche.
    Enfin, lorsque vous dîtes cousiner avec moi, ne serait-il pas plus sympa, compte-tenu de l’ancienneté de mes travaux, de dire comment en utilisant mon blog.
    Je ne suis pas certaine que votre commentaire mérite le terme « généamicalement »
    Cordialement
    Odile

  73. Bonjour,

    Je suis déçu par votre réponse, je n’ai posté sans aucune arrière pensée.
    Je vous faisais juste remarquer que je revenais très souvent sur votre site et vous félicitais pour la richesse de votre travail.
    Pour ce qui est de généanet, je n’y rapporte aucune date, sans vérifier et il est vrais qu’énormément copies bêtement, sans vérifier.
    maintenant, je ne vais pas polémiquer et vous laisse à vos travaux, ce message sera mon dernier, j’ai comme vous, autre chose à faire que de me prendre la tête.

    Sur ce, bonne journée

      Note d’Odile :

    Il est sincèrement très curieux que les gens qui sont inscrits dans des bases de données comme Geneanet ou sur les réseaux sociaux ne comprennent pas que l’accès est réservé à ceux qui y sont inscrits, et qu’au nom de la démocratie, tout individu a parfaitement le droit de ne pas s’inscrire.
    Je n’ai donc pas eu accès au lien que m’envoyait ce monsieur, car Geneanet refuse tout non inscrit, et ceci il n’est même pas capable de l’entendre !!!
    Odile

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