En attendant l’IA qui fera tout à ce qu’on raconte, je bosse et je doute que l’IA puisse faire mieux un jour quand je bute sur l’illisible.

introduction

Une pub récente à la télé voulait nous faire croire que l’IA sait tout déchiffrer. J’en doute chaque jour en déchiffrant le registre de Provins Saint Ayoul, où l’encre était sans doute peu chère, ou bien les plumes mal taillées, ou bien le papier fabriqué façon buvard, sans oublier les prêtres manifestement pressés de bacler la rédaction des actes de baptême…

bon courage à l’IA

de nombreux actes comme celui qui est dessus, comme si le papier en haut était plus buvard qu’au milieu de la page.  Je peux seulement retranscrire qu’il s’agit sans doute de Jean fils de Claude Blanot et je mets cela en doute, et pour le nom de la mère, du parrain et de la marraine, je renonce.

QUAND L’IA S’Y METTRA, JE LUI SOUHAITE BON COURAGE !

Mais c’est sans doute pour une date bien connue, la saint Glinglin. Alors en attendant j’ai encore du courage pour bosser… tant je doute que l’IA puisse un jour y parvenir.