L’acte qui suit est extrait des Archives Départementales du Maine-et-Loire, série 5E70 – Voici la retranscription de l’acte : Le 31 juillet 1599 avant midy en la court royale d’Angers endroit par davant nous Michel Lory notaire d’icelle personnellement estably honneste homme Yves Brundeau marchand demeurant au bourg de Marans près Gené soubzmetant
j’aime beaucoup la formule « Marans près Gené » car de nos jours on pourrait dire l’inverse puisque c’est Marans qui est sur la route la plus importante. Il en était autrement il y a 4 siècles !
confesse avoir ce jourd’huy vendu et vend à honneste homme Jean Dubier aussi marchand demeurant en ceste ville paroisse de la Trinité la moitié d’une fourniture de bled seigle net loyal et marchand mesure des Ponts de Cé que ledit Brundeau a promis et promet est et demeure tenu de bailler et livrer à ses despens périls et fortunes en la maison dudit Dubier dedans le jour et feste de Notre Dame Angevine prochainement venant et est faict la présente vendition de ladite fourniture de bled pour et moyennant la somme de 53 escuz ung tiers sur laquelle somme ledit Brundeau a présentement déduit audit Dubier la somme de 23 escuz ung tiers que ledit Brundeau confesse debvoir audit Dubier pour reste et parfait payement de vendition de 2 pippes de vin à luy vendue par ledit Dubier et le reste de ladite fomme de 53 escuz ung tiers ledit Dubier déduira sur ce que ledit Brundeau luy peult debvoir par 2 obligations
ceci signifie qu’ils sont souvent en affaires réciproques, et que les paiements se font avec ce que chacun doit à l’autre et réciproquement.
sans préjudice des autres affaires entre les partyes ce qui a esté stipulé et accepté par ledit Dubier à laquelle vendition et tout ce que dessus est dit tenir garantir etc dommaiges etc oblige etc renonczant etc à prendre etc foy jugement condamnation etc fait audit Angers à notre tabler présents Martin Prieur praticien audit Angers et René Lefeubdre chirurgien
ledit Duber a dit ne savoir signer
s’ils sont en affaires souvent, on peut constater une différence culturelle, car Yves Brundeau sait fort bien signer, et il est d’ailleurs l’un des notables importants à Marans.
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• il est qualifié l’aîné, ce qui signifie qu »l y a un autre Jean Gallichon vivant à cette même date, et plus jeune, sans qu’on puisse dire s’ils sont père et fils
• il a de la proche famille à La Chapelle-Saint-Laud, située au peu au N.N.E. de Seiches. Ceci est intéressant à souligner dans la mesure où tous les porteurs du patronyme Gallichon que j’ai rencontrés à ce jour semblent avoir des biens dans cette région.
• il a une signature magnifique, si belle qu’elle est franchement hors du commun. Dans tous les cas on y voit la marque d’un être cultivé. Il est vrai qu’il était dit apothicaire sur l’acte précédent.
Les Archives de la Vienne sont en ligne et les baptêmes et sépultures existent à Poitiers pour cette période, donc il serait possible de retrouver trace à Poitiers de Jean Gallichon. C’est une piste pour ceux qui descendent des Gallichon.
L’acte qui suit est extrait des Archives Départementales du Maine-et-Loire, série 5E2 – Voici la retranscription de l’acte : Le 5 mai 1547 en la court royal d’Angers endroit par devant nous Marc Toublanc notaire de ladite court, personnellement estably honneste homme Jehan Galliczon lesné marchant demeurant à Poitiers soubzmettant etc confesse avoir aujourd’huy ceddé quitté délaissé et transporté et encores cèdde délaisse et transporte à Jehan Bouet et Perrine Galliczon sa femme demeurant en la paroisse de la Chapelle saint Lau à ce présents et acceptants tant pour eulx que leurs hoirs la somme de 10 livres tournois en laquelle somme Helaine Gette veufve de feu Jehan Lepaige est redevable envers ledit Galliczon ainsi qu’il appert et pour le contenu en une ceddule du 7 avril 1546 avant Pasques (ce qui fait 7 avril 1547 n.s.) signée Lepaige et Gette et Crespin à la requeste de ladite Halaine Gette laquelle cédule est demeurée es mains desdits Joué et sadite femme de la somme de 10 livres tournois que ladite Helaine Gette et s’en faire telle poursuite qu’ils verront estre à faire à laquelle cession délais et transport et tout ce que dessus est dit tenir etc obligent ledit Galliczon ses hoirs etc renonczant etc foy jugement condemnation etc fait et passé en ceste ville d’Angers ès présence de Pierre Guerin et René Lesourt marchands demeurants en ceste ville
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Jean Gallichon, que je n’ai toujours pas trouvé qualifié de marchand de draps de laine, et à cette occasion je lance un appel à ceux qui ont rencontré cette mention sur un document primaine, tel que registre paroissial, acte notarié, etc… et non sur une généalogie publiée, qui est un document secondaire.
Afin de tenter de comprendre ce qu’il faisait, le voici encore faisant fabriquer 29 fûts. Je dis encore, car si vous avons déjà vu un achat de fûts vides et neufs en 1595 faits à Soucelles à la Roche-Foulques
Au total, cela fait beaucoup de fûts neufs, et cela semble être un commerce de vin, enfin, sachant qu’un marchand peut aussi avoir d’autres activités commerciales, ainsi, à Pouancé, Lescouvette, qui est apothicaire, pratique aussi le commerce de vin.
Angers, collection particulière, reproduction interdite L’acte qui suit est extrait des Archives Départementales du Maine-et-Loire, série 5E1 – Voici la retranscription de l’acte : Le 12 août 1593 avant midy en la court du roy notre sire Angers endroit par davant nous François Revers notaire royal d’icelle personnellement estably Baptiste Morier tonnelier demeurant Angers paroisse Saint-Maurille soubzmettant etc confesse avoir ce jourd’huy vendu et vend et promet bailler livrer dedans le 20 septembre prochain venant à honnorable homme Jehan Gallichon marchand demeurant Angers à ce présent le nombre de 29 fusts de pippes et deux busses le tout de bon boys loyal et marchant de chastaigner et bien et duement faites
et est faicte ceste vendition pour et moyennant la somme de 31 escuz sol
cela met le fût neuf à un écu pièce
à laquelle somme ledit Morier a confessé en avoir eu et receu auparavant dudit Gallichon la somme de ung escuz sol et le surplus d’icelle somme montant 20 escuz sol ledit Morier a eue prinse et receue présentement et à veue de nous en quartz d’escu et deux francs bons de poids suivant l’ordonnance royale
je vous mentionne souvent le paiement différé, et ici, c’est tout l’inverse, les fûts sont payés à la commande.
tellement que de toute ladite somme de 31 ecuz sol ledit Morier s’est tenu à contant et en a quicté ledit Gallichon ses hoirs etc tout ce que dessus a esté stipullé et accepté par lesdites parties respectivement et à ce tenir et accomplir s’est ledit Morier obligé soy ses hoirs etc à prendre etc renonczant etc foy jugement condemnation etc
fait à notre tablier en présence de Loys Allain et Michel Lory praticiens demeurant Angers
nous avons pu comprendre avant-hier que Jean Gallichon était handicapé, tout au moins pour monter à cheval.
Ici, il est chez le notaire, mais ce notaire était manifestement très proche voisin, sans doute même la maison contiguë à celle de Jean Gallichon. Il s’y est tout de même rendu, ce qui signifie qu’il peut faire quelques mêtres.
A ce stade de nos réflexions sur Jean Gallichon, je pense utile de dresser un tableau de ces remarques sur le lieu où est passé l’acte, pour voir combien il se déplace.
ledit Morier a dict ne scavoir signer
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Je descends d’Olive Lenfantin, qui avait épousé avant 1575 Jacques Crannier, vivant au Lion-d’Angers. Je sais seulement, par un acte notarié, que ma Olive Lenfantin était soeur d’Etienne Lenfantin.
Je relève tous les actes qui concernent les LENFANTIN dans l’espoir de pouvoir un jour les raccorder.
Aujourd’hui, nous analysons le montage financier d’une vente importante de vin, entre Angers et le pays Craonnais. Pierre Lenfantin, qui demeure à La Selle-Craonnaise, a manifesment été le vendeur des 56 pipes de vin d’Anjou, dans le Craonnais. Pour ce faire, les 2 vendeurs sont venus d’Angers, et ont passé devant notaire de Craon un acte d’association pour la vente de 56 pipes de vin. Puis, une fois avoir vendu les 56 pipes de vin, Lenfantin s’est rendu à Angers apporter aux 2 vendeurs le paiement, qui s’avère être en fait plusieurs obligations passés par 14 acquéreurs.
En Anjou, la pipe de vin fait 2 busses ou barriques, et mesure 475,6 litres.
La vente porte donc sur 475,5 x 56 = 26 633,6 litres pour 112 busses
Hélas, on n’a pas le montant total de cette vente, car si les obligations apportées par Lenfantin montent au total à 1 100 écus, il est précisé que cela ne constitue qu’une partie de la vente.
Ce sont donc moins de 112 busses (la busse est la barrique) qui ont été vendues pour 3 300 livres
Le prix d’une busse est donc supérieur à 29,5 livres.
Le vin est cher, mais le vin d’Anjour était meilleur que les piquettes du Haut-Anjou, selon les historiens. On peut en conclure que dans le Craonnais, les notables, ayant les moyens, préféraient le vin d’Anjou.
Enfin, les obligations d’un montant élevé sont manifestement signées par des hôteliers qui tiennent vente de vin au détail, et on voit que dans les hôtelleries du Craonnais, on buvait aussi du bon vin !
La Selle-Craonnaise, collection particulière, reproduction interdite
L’acte qui suit est extrait des Archives Départementales du Maine-et-Loire, série 5E2 – Voici la retranscription de l’acte : Le vendredi 9 juillet 1599 en la cour royal d’Angers endroit par devant nous Guillet Aubry notaire d’icelle ont esté présents et presonnellement establis honorables hommes Pierre Lenfantin sieur de Touchebaron demeurant au lieu seigneurial de Saint Amadour paroisse de la Selle Craonnaise d’une part, et honorable homme François Ravard sieur de la Chamelerie demeurant en la paroisse saint Maurille de cette ville d’Angers tant en son nom que se faisant fort de sire Pierre Leclerc demeurant en la paroisse de la Trinité dudit Angers un chacun esdits noms seul et pour le tout sans division etc, soumettant respectivement etc confessent avoir en exécutant l’association cy-davant faite entre eux par devant Caterin Després notaire de Craon le 4 mars dernier fait les cessions et subrogrations qui ensuivent,
c’est à scavoir que ledit Lenfantin a ce jour d’huy présentement et à vue de nous mil et baillé en mains dudit Ravard qui a reçu tant pour luy que pour ledit Leclerc les obligations qui ensuivent des deniers de la vente faite par ledit Lenfantin du vin mentionné en ladite association scavoir
1 – une obligation passée par Gilles Godier notaire de Craon le 15 mars que Abraham Lasnier est obligé payer audit Lenfantin 500 escus,
une autre obligation sur Tugal Delaunay passée par Gilles Jannery notaire de Craon, dabtée du 15 avril dernier,
2 – une autre obligation sur Jacques Soret passée par Gilles Poincteau notaire de Craon le 5 avril montant 45 escus,
3 – une autre obligation sur Pierre Guitter passée par Péju notaire de Craon le 29 dudit mois de mars montant pareille somme de 46 écus,
4 – une autre obligation sur noble homme Jacques de La Davière et damoiselle Perrine de Savoyard sa femme sieur de la Renardière, passée par Le Cordier notaire de Saint-Laurent-des-Mortiers le 23 dudit mois d’avril montant la somme de 46 escus,
5 et 6 – deux obligations sur René Jean de Cevillé, passées par ledit de la Cuche notaire demeurant à Cossé le 26 dudit mois d’avril montant 22 escus passée par Maugars notaire de Cuillé le 22e jour de juing dernier,
7 – une autre obligation sur Jehan Adron montant 46 escus du 25 avril passée par ledit Poincteau notaire de Craon,
8 – une autre obligation sur François Marchais montant 23 escus passée par de la Fontaine notaire de Craon du dernier jour dudit mois de mars,
9 – une autre sur René Houisle et sa femme passée sour la cour de Challonge par Moriceau le 24e jour de may dernier montant 23 escus sur laquelle ledit Lenfantin a déclaré avoir reçu 5 escus,
10 – une cédule de Jacques Lecordier du 10 juing et néanmoins datée par erreur du 10 juillet montant 45 escus,
11 – une autre obligation sur René Guiard et sa femme passée sous la cour de Craon par Péju le 29 mars dernier, montant 45 escus,
12, 13 et 14 – trois autres obligations passées sous la cour de Craon le 5 avril dernier sur Jacques Rotier montant 46 escus sur laquelle somme ledit Lenfantin a déclaré avoir reçu 30 escus,
lesdites somme revenant ensemble en ce qu’il en reste avoir et qui a été déclaré cy-dessus avoir été reglé par ledit Lenfantin … à la somme 1 100 escus sols, lesquelles obligations et cédules ledit Ravard esdits noms à prises et acceptées pour payement de ladite somme de 1 100 escus à valoir et déduire sur le prix de 56 pipes de vin contenu en l’association au moyen de ce que ledit Lenfantin l’a subrogé et subroge en ses droits … et à s’en faire payer par ledit Ravard tout ainsi qu’eut fait ou pu faire ledit Lenfantin avant ces présentes, et a promis iceluy Lenfantin suivant ladite association garantir lesdites obligations bonnes et valables, de débiteurs solvables jusqu’à huy en un an prochain venant, … ledit Ravard fera ses diligences et au cas où il n’en pourrait estre payé faisant lesdites diligences, ledit Lenfantin ne sera tenu reprendre lesdites obligations ne payer ladite somme et pour le surplus de ladite vente de vin demeure ledit Lenfantin tenu payer en argent ou fournir l’assurance vallable audit Raard dedans d’huy en quinze jours prochainement venant, et le tout sans autres clauses portées par ladite association … des ventes du vin et du profit sortir de ladite association tout ce que dessus stipulé et accepté par lesdite sparties qui en sont demeurées d’accord à quoy tenir faire et accomplir etc dommages etc obligent lesdites parties respectivement etc à prendre vendre etc renonçant etc foy serment jugement et condamnation etc fait et passé au palais royal d’Angers en présence de sire Pierre Desalleux marchand demeurant à Craon, Marin Leroy sergent royal demeurant Angers et missire Jehan Vallée prêtre tesmoings à ce requis et appelés
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En tant que Nantaise, j’ai été bercée dans le commerce du port autrefois, et rien de me surprend, quoi que parfois, je suis totalement dépourvue de connaissances sur le trafic à l’intérieur du royaume de France.
Certes, je sais qu’à Vitré et Laval on entretenait des liens commerciaux étroits avec l’Espagne, où la toile de Laval partait !
J’ignorais qu’à Laval on ne se contentait pas d’apprécier le vin d’Anjou, remontant par bateau, car voici le vin d’Espagne, et à quel prix !!!
Bigre, les Lavalois étaient de fins gourmets ! enfin, certains… sans doute les mêmes qui exportaient les toiles.
C’est un négociant d’Angers qui va fournir la commande, pour un montnt de 2 700 livres, ce qui est une somme importante, pour du vin ! Pour le prix on pourrait avoir une grosse métairie ! Je suppose que si c’est un commerçant d’Angers c’est qu’il a l’habitude d’acheter sur Nantes et faire acheminer ses marchandises sur Loire puis sur Maine. Cela suppose tout un réseau et toute une organisation… car le prix s’entend franco au port de Laval.
237,8 x 20 = 4 756 litres à 2 700 livres soit 0,57 livre le litre
Vendu au détail, cela devait revenir cher le verre !
L’acte qui suit est extrait des Archives de la Mayenne, série 3E2/740 – Voici la retranscription de l’acte : Le 18 décembre 1632 après midy devant nous Jean Manceau notaire de la cour de Laval y demeurant ont été présents et personnellement etablis chacun de Martin Crosnier sieur de la Presenstière demeurant en la ville de Vitré paroisse de St Martin d’une part,
et Gabriel Sollybelle marchand demeurant en la ville d’Angers, lesquels pour l’éxécution des présentes ont prorogé de juridiction et a ladite Sollybelle éleu domicile en la maison de Denis Crosnier en ceste ville et ledit Martin Crosnier en la maison de Jean Crosnier son frère en ceste ville d’autre part,
lesquels soubzmis etc confessent avoir fait entre eulx ce qui ensuit c’est à scavoir que ledit Martin Crosnier a promis et s’est obligé de rendre et livrer d’huy en ung moys prochain sur le port St Jullien de ceste ville le nombre de vingt buttes (sans doute les busses) de vin nouveau d’Espagne creu de Malgue (sans doute Malaga) bon loyal et marchand et de la cuvée ? dudit Malgue à la charge de payer par ledit Sollibelle en ladite maison en ceste ville de Laval par chacune busse la somme de six vingts quinze livres tz revenant 20 busses à la somme de 2 700 livres tz au payement de laquelle somme demeure ledit Sollibelle oblige mesme par lors de ladite livraison à peine de tous despens dommages et intérests dont lesdites parties sont demeurées d’accord et à leur requeste et de leur consentement les avons jugé etc
fait et passé audit Laval ès présence de Me Guillaume Baunaye advocat au siège et Hélye Caillon sur du Pré demeurant audit Laval
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Née en 1938, j’ai connu les commerces de détail comme l’épicerie, etc… Les personnes âgées pouvaient faire leurs courses.
Aujourd’hui, lorsqu’elles ont atteint la grande surface, poussé le chariot, elles doivent tout poser sur le tapis, puis tout réemballer. Facile à dire quand les épaules ne remuent plus !
Même la caisse prioritaire leur est interdite, elle est réservée aux personnes ayant une station debout pénible, ou pas de station debout ! Les forums sur ce sujet sont édifiants d’incivilité ! anti-vieux ! Je viens d’en parcourir un grand nombre et j’ai attrapé la nausée …
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