Ce billet fait suite au billet d’avant hier, relatant une distraction relative aux RACINOUX après reconstitution de tous les éléments disponibles.
En effet, voici 2 autres énormes distractions :
elles concernent le couple :
Françoise Racinoux x 1623 Georges Davy
prénommée Guillemette RACINOUX sur son mariage, manifestement par confusion avec sa sœur Guillemette
et nommée Françoise BRETET sur le baptême de son fils Pierre en 1634 par confusion avec le nom du parrain.
et voici le tout :
Françoise RACINOUX qui est manifestement celle qui °Saint-Aignan-de-Grandlieu 17 janvier 1605 « a esté baptisée Françoise fille de André Racinoux et de Magdelene Racinoux » malgré les 2 énormes confusions du prêtre de st Aignan, décidément très distrait x Saint-Aignan-de-Grandlieu 25 juillet 1623 George DAVY sans filiation mais « les deux paroissiens de cette paroisse et en premières nopces »
2-Pierre DAVY °Saint-Aignan-de-Grandlieu 3 mai 1634 « baptisé Pierre fils Georges Davy et Françoise Bretet sa femme … parrain Pierre Bretet non marié et (blanc) »
3-Michelle DAVY °Saint-Aignan-de-Grandlieu 12 octobre 1638 « baptisée Michelle fille de George Davy et de Françoise Rassinoux sa femme a esté tenue et nommée sur les st fons de baptesme par Michel Davy non marié et marraine Nicole Poinctière femme de Jan Hillaireau [tante maternelle car demie sœur de Françoise Racinoux] »
Bonjour Madame Halbert, je vous félicite pour l’énorme travail que vous avez produit et que je viens de découvrir, notamment dans la recherche de lignées Racinoux.
Vous dites (avec MT Morlet, étymologie des noms de famille) que Racinoux aurait pour origine le métier du maraîchage des légumes. Je penche plutôt pour « déracinement des souches dans les forêts essartées ».
A la suite de mon cousin Lucien Rassinoux, je mène des recherches sur les fiefs nobles Racinoux installés du nord au sud des Marches de Bretagne, au ras des frontières, probablement à l’époque du « roi » de Bretagne Erispoë, après le traité d’Angers de 851. Il est plausible que les missions de ces Racinoux, miles (=chevaliers) ont été de déboiser et bien-sûr de défendre les frontières de la Bretagne en cas d’agression. Au début du XIe siècle plusieurs de ces manoirs deviennent vassaux des seigneurs de Fougères. Je continue les recherches sur des localisations qui vont du Mont Saint-Michel, en passant par le Pays de Retz, le Poitou jusqu’aux abords du Bordelais et en Touraine, toute contribution est bien-sûr la bienvenue. Très cordialement.
Bonjour
Je ne fais aucune généalogie et/ou recherches en 581, car je les estime vaines.
Mais surtout, je ne comprends pas qu’on puisse faire son patronyme paternel, car pour moi cela n’a aucun sens.
Odile
Bonjour Madame Halbert,
Je ne cherche pas du tout à établir la généalogie de ma famille et en plus, je suis parfaitement conscient qu’il est utopique d’espérer remonter jusqu’au 9e siècle.
Non, j’ai découvert l’existence de différents manoirs « Racinoux ». Ma curiosité aidant, je cherche à en connaître leurs éventuels liens historiques, simplement pour le « fun ».
Au cours de mes explorations sur Internet, j’ai trouvé votre pdf « Racinoux à Saint-Aignan-de-Grandlieu », qui ne m’est d’aucune utilité, mais j’ai eu envie de vous féliciter pour cet énorme et beau travail.
SR
Bonjour Monsieur
C’est bien noté. Merci de m’avoir répondu.
Odile