Constat de la déficience visuelle de René Marie qui ne peut pas être militaire, La Jaille-Yvon 1807

introduction

Je suis moi-même une déficiente visuelle fortement astygmate + hypermétrope + presbite, et fortement corrigée et malgré les meilleures corrections, comme me l’avoua un jour un ophtalmologiste, je ne verrai jamais les escaliers en descendant… En outre, le mari de ma meilleure amie est totalement aveugle, mais un aveugle faisant beaucoup, sauf conduire bien entendu… Je fais donc partie de ceux qui savent ce que c’est que bien voir et qui pensent souvent à nos ancêtres mal voyants, qui n’avaient pas la chance de la correction, plus que récente dans l’histoire de l’humanité. Le meilleur site internet pour en parler est celui de Zeiss, car ils s’y connaissent en correction. On y apprend combien nos ancêtres ont souffert de la déficience visuelle et ce site considère que l’invention des corrections optiques est l’une des 5 plus grandes découvertes de l’humanité, ce que j’estime vrai.
Mais, lors de nos recherches sur l’histoire de nos ancêtres, il est plus que rare de pouvoir lire des témoignages de maladies quelconques ou défaut visuel, or, en voici un datant de janvier 1807 à La Jaille-Yvon. Pour mémoire, en janvier 1807 la conscription existe depuis 1805 et Napoléon recrute beaucoup, aussi, puisqu’il est incapable de servir militaire, René Marie, déficient visuel qui serait incapable de tenir un fusil puisqu’il n’est même pas capable de retrouver son banc dans l’église pour assister à la messe le dimanche, doit prouver sa déficience, car les ophtalmologistes ne sont pas encore là, les corrections visuelles non plus. Ah, vous avez aussi bien lu, qu’il devait trouver son banc, car autrefois chaque famille avait une place bien définie dans l’église et on n’avait pas le droit de s’assoir n’importe où.
Je vous ai mis en rose foncé les passages à ne pas manquer, mais vous m’excuserez car la retranscription de ce document s’avère plus difficile que mes pages de paléographie du 16ème mieux écrites et donc plus facilement lisibles.

Retranscription de l’acte original

Cet acte est aux Archives Départementales du Maine-et-Loire, série U



Le 11 janvier 1807 troisième de l’empire français avant midy, devant nous Claude Mathurin Jérôme Gaultrier juge de paix du canton du Lyon d’Angers assisté de Richard François Delavigne notre greffier, est comparu René Foucault aubergiste à Grez-Neuville, lequel nous a dit que René Marie cordonnier commune de la Jaille Yvon de ce canton étant … il ne peut se présenter devant nous et que comme beau-frère dudit Marie il le représente et qu’en cette qualité il fait devant nous la déclaration que René Marie apprentif serrurier fils dudit René Marie a la vue très faible, que pour cette raison il a été obligé d’abandonner l’état de tisserand duquel il avait commencé l’apprentissage chez trois maîtres différents que même celui de serrurier qu’il fait il ne pouvait le continuer s’il était avec un autre maître que son oncle qui n’exige de lui que peu de travail et le plus facile à cause de son infirmité, que pour se conformer aux lois et réglements sur la circoncription militaire il produit devant nous 10 pères de famille tous de ladite commune de la Jaille Yvon pour parvenir et affirmer la vérité de sa déclaration, ledit Foucault a signé et ledit Marie fils a dit ne pouvoir signer n’ayant plus écrit depuis 6 ans à cause de sa vue – signé Foucault
Et de suite sont comparu Jean Desnoe père de 3 enfants, Pierre Dumont filassier père d’un enfant, François Maurisseau filassier père d’un enfant, Pierre Guerif journalier père d’un enfant, Louis Lesieux ? père d’un enfant, Pierre Garnier père de 2 enfants, Casimir Desnoe tisserand père de 2 enfants, Mathurin Couconier propriétaire et cultivateur père de 3 enfants, Claude Vignais closier père de 6 enfants, Julien Meignant propriétaire tous demeurant à la Jaille Yvon, lesquels après serment prêté en nos mains de dire la vérité, toute la vérité, rien que la vérité, on fait séparément leur déclaration comme il suit savoir :
1 – ledit Jean Desnoë âgé de 58 ans a déclaré qu’il a connaissance que ledit René Marie fils à la vue très faible et par lui-même et qu’il tient cette infirmité de sa mère et parce que ledit René (f°2) Marie père ayant mis sondit fils à apprendre le métier de tisserand chez Félix Desnoë frère de lui intervenant, que ce dernier lui a dit plusieurs fois qu’il était surpris que ledit Marie père voulut faire apprendre lemétier de tisserant à son fils, attendu qu’il ne voyait pas le fil casser et continuait son ouvrage, qui par cette raison était défectueux, que même ayant retiré sondit fils pour cette cause de chez ledit Félix Desnoë, il lui donna une grosse toille à faire pour son propre compte, Claude Vignais autre tisserand, que Casimir Desnoë, autre frère de lui déclarant fut appelé par ledit René Marie pour visiter l’ouvrage, que l’ayant trouvé pareillement défectueux, ledit Marie fils fut obligé d’abandonner l’ouvrage et l’état que ledit Marie père, pour ne pas laisser son fils désoeuvré l’a placé chez René Rousseau son beau-frère serrurier à Chambellay, a déclaré ne signer, de ce enquis…
2 – Ledit Pierre Dumont âgé de 58 ans a déclaré qu’il a connaissance de la faiblesse de la vue dudit René Marie fils, l’ayant vu plusieurs fois jouer au pale et à la boule, qu’il ne voyait pas à quatre à cinq pas, …,, que même il a été obligé d’abandonner l’état de tisserand pour cette cause, et est tout ce qu’il a dit savoir …
3 – Ledit François Maurisseau âgé de 26 ans a déclaré qu’il a connaissance que René Marie fils a la vue très courte pour l’avoir vu travailler à l’état de serrurier étant obligé de mettre les yeux sur son ouvrage et ce depuis 3 semaines, et que même auparavant il a été sans voir et est tout ce qu’il dit savoir …
4 – Ledit Pierre Guérif âgé de 50 ans a déclaré qu’il a parfaite connaissance de la faiblesse de la vue dudit René Marie fils (f°3) pour l’avoir vu travailler au métier de tisserand, qu’il était obligé baisser les yeux sur son ouvrage et qu’il ne voyait pas les fils cassés, que de même il ne voyait pour travailler à différents petits ouvrages qu’il a hérité de cette infirmité de sa mère, qui à la distance d’environ 10 pas ne reconnaît pas la personne qu’à la parole, que depuis quelques années ledit fils Marie a été presque sans voir qu’on était obligé de le conduire quand il sortait, et est tout ce qu’il a dit savoir…
5 – Ledit Louis Leficieux âgé de 37 ans a déclaré qu’il a parfaite connaissance que ledit René Marie fils a la vue bien basse pour l’avoir vu travailler dans sa boutique, que quand il cassait un fil il mettait le nez dessus et ne voyait pas ou le replacer, et que Felix Denoë qui le faisait travailler était obligé de remettre son ouvrage en ordre, qu’il a pareillement connaissance que la mère Marie avait la vue très courte, que pour lire elle était obligée d’a… les yeux sur son livre et très près et est tout ce qu’il a dit savoir …
6 – Ledit Pierre Garnier âgé de 32 ans a déclaré qu’il a connaissance que ledit René Marie fils a la vue courte et parce qu’il a entendu dire à Félix Desnoë et à Claude Vignais tous deux tisserands et chez qui ledit Marie a travaillé, que ce dernier ne voyait pas son ouvrage, quand il avait travaillé une heure de suite ledit Vignais était obligé de passer beaucoup de temps à remonter ? le travail, qu’il fait par lui-même que par cette raison il a été obligé d’abandonner son état, qu’il l’a vu plusieurs fois chez son père Marie mettre les yeux sur tout ce qu’il prenait …
7 – Casimir Desnoe âgé de 51 ans a déclaré qu’il a parfaite connaissance de la faiblesse de la vue dudit René Marie fils, que son père l’ayant mis pour apprendre le métier de tisserand chez Pierre Marie son oncle et chez Félix Desnoë frère de lui déclarant (f°4) ils le renvoyèrent chez son père parce qu’il gâtait l’ouvrage, que le père Marie entreprit de faire pour son compte travailler son fils, qu’il prit lui déclarant d’arranger et traiter dans le métier une pièce de toile, que l’ayant préparée ledit Marie fils en fit deux à trois au…, que à raison de sa vue il la gâta et mesla les fils, que le père fut obligé de la vendre à bas prix et ledit Marie fils fut obligé d’abandonner l’état et qu’il tient son infirmité de sa mère, et est tout ce qu’il a dit savoir …
8 – Ledit Mathurin Coconnier âgé de 48 ans, a déclaré qu’il a connaissance que ledit René Marie fils a la vue très courte, pour l’avoir vu jouer à la boule et de ne pas distinguer les boules à environ 10 pas ce qui le rendait en refus des jeunes gens et le faisait passer pour faible d’esprit, et qu’il a entendu dire par plusieurs personnes et autrement par Félix Desnoë un de ses maîtres qu’il était incapable de tissement, qu’il gâtait l’ouvrage parce qu’il ne voyait pas et qu’il finit par lui-même, et qu’il a été obligé d’abandonner cet état pour cette raison, qu’il sait encore par Me Marin maître d’école à Marigné qu’il ne pouvait apprendre à lire et à écrire parce qu’il ne voyait pas, et est tout ce qu’il a dit savoir…
9 – Ledit Claude Vignais âgé de 45 ans a déclaré qu’il a parfaite connaissance que ledit Marie fils a été apprentissage de métier de tisserand chez plusieurs maîtres qui l’ont renvoyé parce qu’il gâtait leur ouvrage n’y voyant pas, que lui déclarant ayant été autrefois tisserand fit monter une pièce de grosse toile dans son métier pour être travaillée par son fils René Marie, ce dernier l’ayant commencé, il fut obligé de l’abandonner … (f°5)
10 – monsieur Julien Maignan, propriétaire commune de La Jaille Yvon, âgé de 55 ans, père de 5 enfants dont deux militaires, a déclaré qu’il a parfaite connaissance que René Mary fils de René Mary ancien cordonnier dite commune de La Jaille Yvon, est infirme par la vue, qu’il a connaissance qu’il a été obligé de quitter l’état de tisserand à raison qu’il ne voyait pas, qu’il gatait l’ouvrage, que Félix Desnos son maître a dit à lui déclarant qu’il n’était pas capable d’exercer l’état de tisserand par raison de la faiblesse de sa vue qu’il laissait échapper tous les fils cassés sans pouvoir les replacer à leur rang, qu’il tient cette infirmité de sa mère, qu’on est obligé de conduire parfois surtout dans le temps où la foule est grande dans son banc dans l’église, ne le pouvant discerner que par routine quand il y a peu de monde ; est tout ce qu’il a dit savoir et a signé …
Sur tout quoi nous juge de paix susdit et soussigné après avoir fait et rédigé le présent procès verbal … Fait au Lion d’Angers à notre bareau le jour et an susdit

 

 

 

 

Un AVC en 1626 : Jeanne Moullier, Bonchamp-lès-Laval 1626

Toujours à la recherche de mon ancêtre Jeanne Moullier à Bonchamp-lès-Laval, sachant qu’elle est grand mère nommée ainsi au baptême de son petit-fils Jean Denais °Bonchamp-lès-Laval 14 septembre 1613 « baptisé Jehan fils de Jehan Denays et de Françoise Bertère son épouse parrain Pierre Moullier et marraine Jehanne Moullier grand-mère »
Donc elle est vivante en 1613 et avait marié son fils ou sa fille en 1608 donc elle pourrait être celle qui suit :

Bonchamp « Le 3 novembre 1626 est décédée en la communion de l’église Jehanne Moullé veufve qui depuys huit jours estoit demeurante au lieu du Sacé de ceste paroisse, pressée du mal ayant perdu la parolle et toute cognaissance n’a pu recevoir autre sacrement que celuy de l’extrême onction et a esté enterrée au cymetière de ceste église »
Elle n’a pas pu se confesser avant de recevoir l’extrême onction.
Mais je ne sais toujours pas si c’est la mienne et je suppose seulement qu’elle pourrait être cette veuve morte d’un AVC

ma Jeanne Moullier grand-mère de mon Jean Denais fils de Jean et Françoise Berthière, mais je n’en sais pas plus sur elle et je la cherche.

Richard Gentot a avancé à Jean Chemiot les pansements et médicaments au chirurgien, Rochefort sur Loire 1615

Non seulement Jean Chemiot n’a pas payé ses médicaments, mais il a été poursuivi en justice pour les payer et condamné, et c’est alors Richard Gentot qui a payé les frais de justice et la condamnation, et maintenant il fait signer à Chemiot une reconnaissance de dette. Pour mémoire Chemiot est tonnelier, donc un artisan et Gentot sergent royal. Voir mon étude de la famille GENTOT  Et pour mémoire, ma génération (je suis née en 1938) a eu l’immense privilège de connaître la sécurité sociale (19 octobre 1945) et nous avons tous oublié que nos ancêtres ne l’avaient pas !!! 

Cet acte est aux Archives Départementales du Maine-et-Loire, E4308 – Voici sa retranscription (voir ci-contre propriété intellectuelle) :

« Le 26 janvier 1615[1] en la cour de Rochefort sur Loire endroit etc personnellement établi honneste homme Jehan Chemyot tonnelier demeurant au Breil paroisse de Saint Lambert du Lattay, soubzmettant confesse devoir et par ces présentes promet et demeure tenu rendre payer et bailer à Me Richard Gentot sergent royal demeurant audit Rochefort présent et stipulant la somme de 27 livres qui est pur demeurer quitte ledit Chemyot vers ledit Gentot de 21 livres tz par une part que ledit Gentot aurait payée à la place dudit Chemyot à Me Bernard Jeantult chirurgien pour pansements et médicaments en quoi ledit Chemyot était condamné vers ledit Jeantult par jugement donné au siège présidial d’Angers comme ils ont dit et la somme de 66 sols en quoi ledit Chemyot estoit redevable vers ledit Gentot par cédule et aussi la somme de 54 sols pour les frais du défault par ledit Gentot obtenu et les frais faits en la poursuite dudit jugement …

[1] AD49-E4308

René Gouesse, sieur du Bignon, avait la goutte : Château-Gontier 1697

et il prétexte une crise de goutte pour ne pas signer un document très important pour la comptabilité du grenier à sel de Château-Gontier, duquel il est officier.

Ceci dit, je suis personnellement au régime alimentaire anti-goutte depuis 50 ans, pour lutter contre les crises, mais je n’ai jamais eu les mains m’empêchant de sortir du lit, par contre le pied, oui, un pied de hauteur hallucinante et qu’il est impossible de poser par terre.

Il existait autrefois quelques connaissances, et même des ouvrages, ainsi on trouve sur GALLICA : La goutte, sa nature, son traitement et le rhumatisme goutteux / par Alfred Baring Garrod,… ; traduit de l’anglais par Auguste Ollivier,… ; annoté par J.-M. Charcot,… Garrod, Alfred Baring.  Paris 1867

J’ai plus moderne et absolument indispensable : Manuel de diététique en pratique médicale courante – Albert-François Creff,  éditeur : MASSON – J’ajoute que cet ouvrage est plus que sérieux et donne toutes sortes de régimes, très utiles à beaucoup.

Comme il est rare de trouver dans nos recherches des traces de maladies, je vous mets ici l’info (et ci-après cette page, en prenant la catégorie SANTE puis MALADIES en déroulant le menu déroulant des catégories, vous allez voir les maladies que j’ai déjà abordées) :

Gouesse détenu au lit malade qui a déclaré ne pouvoir signer à cause de la goute dont il est à présent attaqué à la main droite   (extrait d’un acte serie C37 aux AD53)

 

 

 

 

Epidémie dans la prison de Saint-Florent-le-Vieil : 1710

Il s’agit de la gabelle et du grenier à sel, et on constate que les prisonniers concernent toute la région, par contre je trouve qu’ils sont nombreux.

Voir mes pages sur les greniers à sel

† 19 janvier 1710 Philippe Macé décédé dans les prisons du grenier à sel de ce lieu
† 25 janvier 1710 Jacques Bernier mort dans les prisons du grenier à sel de ce lieu
† 26 janvier 1710 Pierre Tessier et Louis Onillon morts dans les prisons du grenier à sel de ce lieu
† 29 janvier 1710 René Allard mots dans les prisons de ce lieu
† 5 février 1710 Simon Hureau faussonier mort dans les prisons du grenier à sel de ce lieu
† 6 février 1710 Simon Juteau mort dans les prisons royaux du grenier à sel
† 22 février 1710 un homme sorti de hier de prison royau de ce lieu est mort sous la galerie de l’église, qu’on dit être de la paroisse de saint Laurent du Motthay
† 3 mars 1710 François Legroy mort dans les prisons royaux du grenier à sel de ce lieu
† 2 mars 1710 Pierre Delaunay mort dans les prisons royaux du grenier à sel de ce lieu
† 6 mars 1710 Anthoine Tuffereau mort dans les prisons royaux du grenier à sel
† 24 mars 1710 René Brevet faussonnier mort dans les prisons royaux du grenier à sel de ce lieu
† 26 mars 1710 Jean Bernier, de la paroisse de Ste Christine, et qui s’est dit de la paroisse de Jallais sur son interrogatoire devant les juges du gernier à sel de ce lieu, et qui est sorti d’hier desdites prisons dudit grenier à sel, et est mort d’hier à la métairie de la Sourdrie en cette paroisse
† 26 mars 1710 Pierre Ruelain mort d’hier dans les prisons royaux du grenier à sel comme faussonnier de la paroisse du Genet
† 1er avril 1710 Mathurin Bigeard mort dans les prisons royaux de ce lieu comme faussonnier
† 18 avril 1710 Jacques Doizy faussonnier mort en les prisons du grenier à sel
† 19 août 1710 Pierre Mulet mort dans les prisons royaux de ce lieu

Odile Halbert – Lorsque vous mettez mes travaux sur un autre site ou base de données, vous enrichissez leurs propriétaires en leur donnant toujours plus de valeur marchande dans mon dos

Les Allemands ont le KONTATKSPERRE qui signifie VERROUILLAGE DES CONTACTS

tandis qu’en France nous avons le confinement qui ne signifie rien de bien clair pour la majorité des Français.

Dans les tours que j’habite sévissent les « Voisins Vigileants » qui en fait de vigileance ignorent totalement le confinement et demandent à tous d’aller dans le hall lire et échanger autrement dit sortir de son appartement, prendre l’ascenceur dégueulasse, et donc ne pas respecter le confinement.

Ils refusent même la communication numérique, et j’ai beau demander qu’on transmette mon email à tous, impossible, ils veulent le contact papier dans le hall, et ce en 2020 (on n’est pas en 1680 !!!)

Ils n’ont pas compris que le confinement c’est ne pas sortir de son appartement !!!

Odile