Ouvrages numérisés

  • Journal d’Etienne Toisonnier (1683-1714) que je publie ici, en cours
  • : Biographie d’Etienne Toisonnier, par Marc Saché, publiée en 1930 – Contrat de mariage d’Etienne Toisonnier (oncle), Angers 1653

    1683 début1683 fin1684 début1684 fin 1685 début1685 fin1686 début – 1686 fin1687 début1687 fin 16881689 début1689 fin1690 début1690 fin1691 début1691 fin1692 début1692 fin1693 début1693 fin1694 début1694 fin1695 début1695 fin1696 début1696 fin1697 début1697 fin1698 début1698 fin1699 début17001701170217031704 – 1705 –
    Suivront bientôt des fiches d’analyse par thème : vocabulaire et milieu bourgeois, réussite, médecine, etc… Vos idées seront les bienvenues

  • CLISSON ET SES MONUMENTS par le comte Paul de Berthou, 1610 : étude archéologique et historique
  • NANTES EN FLANANT, par Henri Barbot
  • : 59 flâneries poétiques à travers Nantes des années 1910-1930

    NANTES LA BRUME, Ludovic Garnica de la Cruz, 1905

  • 1 : le brouillard
  • 2 : la ville
  • 3 : la batonnier et l’armateur
  • 4 : le peintre
  • 5 : le clan des maîtres
  • 6 : rue Prémion
  • 7 : labyrinthe urbain
  • chapitre 7, suite
  • 8 : les écailles
  • 9 : emprises mesquines
  • 10 : carnaval
  • 11 ;: le cul-de-sac
  • 11 : le cul-de-sac – suite
  • 11 : le cul de sac – fin
  • 12 : les portes de Neptune
  • 13 : Cueillettes d’avril
  • 14 : Moisson d’exil
  • 15 : Les courses
  • 16 : Une Fête-Dieu en 1903
  • 17 : Fuséïdes (première partie)
  • 17 : Fuséîdes (fin)
  • 18 :

    MEMOIRE D’AVENT, l’oeuvre clandestine d’un Angevin – René Lemesle (1766-1824) à Saint-Julien-de-Concelle, Odile Halbert, 1990

  • AVANT-PROPOS – BIBLIOGRAPHIE
  • 1 – DE L’ANJOU A SAINT-JULIEN-DE-CONCELLES Neuville et Grez – Vern-d’Anjou – Chemazé – Vergonnes – La longue marche – Le ministère clandestin – René Lemesle oublié
  • 2 – DANS LE SILENCE DES CLOCHERS Dans le silence des clochers – L’attente concelloise – Les non-Lorousains baptisés au Loroux – Le choix du prêtre – La continuité dans la pratique – « Pas un prêtre de Liré à Nantes » – Haute-Goulaine – Basse-Goulaine – Landemont
  • 3 – L’OEUVRE DE RENE LEMESLE Importance du baptême clandestin – Activité de René Lemesle comparée à M. Robin – Activité concelloise prérévolutionnaire – Le courage des foules
  • 4 – LA VIE Le baptême prérévolutionnaire et postrévolutionnaire – Le délai de baptême dans la clandestinité – Mode d’expression du délai de baptême – Chercher le prêtre – Les baptêmes clandestins – Loroux-Bottereau – Basse-Goulaine – Saint-Sébastien-sur-Loire – Venus par la Loire -Nombre de naissance par an – Enfant de l’impossible – Prénoms
  • 5 – LA FÊTE La fête prérévolutionnaire – La fête clandestine – Rythme hebdomadaire des mariages clandestins – Saisonnalité des mariages clandestins – Rythme annuel des mariages clandestins – Pâques avant les Rameaux – Fille ou fils de « feux » – Veuf et veuve
    Fille ou fils de « feux » – Mémoire d’Avent
  • 6 – L’ENREGISTREMENT CIVIL Ryhtme hebdomadaire du mariage civil – Le délai d’enregistrement – L’enregistrement civil des mariages – Saint-Sébastien-sur-Loire – Basse Goulaine – Le mariage civil seulement – L’enregistrement
  • 7- LA MORT La mort prévolutionnaire – La mort clandestine – Victimes de la guerre civile – Les sépultures notées par René Lemesle – Jugements – Rennes – Le Mans
  • 8 – CONCELLOIS OU NON Les 554 hommes Concellois devenus pères de 1794 à 1802 – Les Concellois réfugiés au loin – Rennes – Orléans – Les Lorousains du registre clandestin de René Lemesle
  • 9 – LES RESEAUX CONCELLOIS La confrérie du Rosaire – Le heurt entre deux réseaux – Les liens personnels
  • 10 – PERTES DE MEMOIRE La mémoire des noces – La tradition orale – Perrine Giraud veuve de Laurent Dagondeau – René Hamon
    Julien Courgeau -La fiabilité des documents
  • 11 – MORTS VIOLENTES DANS L’ETAT CIVIL Morts de 1793 à 1794 déclarés à Saint-Julien – Liste des mortes violentes de l’état civil déclarées en 1797 et 1798
  • 12 – COPIE INTEGRALE DU REGISTRE
  • ANNEXES : JUGEMENTS
  • 10 réponses sur “Ouvrages numérisés”

    1. Bonsoir bravo pour ce travail de bénédiction, je préside lassociation Richesses Patrimoine de la Bernerie. Nous sommes en train de restaurer une ecluse à poissons et préparer une exposition pour 2018. Nous recherchons des aveux du ronceray sur les moutiers prigny.
      Grand merci pour votre aide

      Bonsoir je préside lassociation Richesses Patrimoine de la Bernerie. Nous sommes en train de restaurer une ecluse à poissons et de préparer pour 2018 une exposition. Auriez vous des aveux du prieuré sur ces écluses pour les moutiers ou prigny.
      Grand merci pour votre aide. Au plaisir

      1. Je me demande si le nom même Bernerie n’est pas une déformation ou mauvaise lecture de Besnerie qui désignerait le lieu d’une « besne » c’est-à-dire d’une pêcherie, d’une écluse à poissons en ancien français ?
        Bonnes recherches !

        1. Bonjour monsieur
          Merci d’aller discuter de la Bernerie sur un site qui concerne ce lieu, car mon blog n’est pas destiné à cette région.
          Je possède néanmoins l’ouvrage en 2 énormes tomes « Le Patrimone des communes de la Loire-Atlantique, Flohic éditeur » et je trouve p. 183 tome 1 :
          « Origine du nom : une légende attribue l’origine du nom à celui du seigneur Pierre Bernier qui, au XIIIe siècle se serait fait paysan afin de demeurer proche de sa bien-aimée, la belle Yolande. Mais sur une carte de 1313, le lieu est signalé sous le nom de « Berne » berne signifiant drap ou voile. »
          Au nom de quoi pouvez-vous insinuer que ces historiens ont fait une erreur de lecture ? Pour ma part, je les crois, comme je crois toutes les origines du patronyme Bernier si fréquent dans notre région. Enfin, je suis certaine que vous n’avez pas une connaissance du lieu lui-même avant d’évoquer la pêche.
          Donc, merci de vous adresser aux historiens qui traitent de La Bernerie et non à mon blog.
          Odile Halbert

    2. Bonjour Madame Halbert,
      Bravo pour vos travaux de recherche, je recherche l histoire d un monastère ou vivaient quelques moines avant la révolution et les guerres de Vendée sur Saint aubin de luigné.
      Cette maison située au cœur du village a été la demeure de ma famille pendant plusieurs années, mais nous n en connaissons pas l histoire.
      Avez vous possibilité d en retrouver la trace, faut il rechercher du côté de Célestin Port ?.
      Merci de votre retour.
      Très amicalement.

      1. Bonjour
        Je n’ai pas étudié cette commune.
        Je ne fais pas de recherches pour les autres, d’autant que je n’habite pas le Maine-et-Loire.
        Je vous suggère de lire en ligne sur le site des Archives Départementales l’ouvrage de Célestin Port
        de lire sur le site du patrimoine de la France, ce que les Monuments Historiques ont écrit sur cette commune
        http://www2.culture.gouv.fr/culture/inventai/patrimoine/
        d’aller (après la Pandémie) aux Archives Départementales, muni de l’acte d’achat de la maison, pour remonter dans les archives les propriétaires (vous y trouvrez un guide bien fait qui vous indiquera comment procéder)
        Bonnes recherches
        Odile

    3. Bonjour Madame,
      Je suis admiratif de ce que vous avez réalisé et surtout du partage que vous effectuez, ce qui doit nécessiter un travail gigantesque.
      J’ai repris une maison de famille dans le village de Candes Saint Martin, au confluent de la Vienne et de la Loire, juste à la limite de l’Indre-et-Loire et du Maine-et-Loire. La maison est datée du XIVème siècle par les Monuments Historiques.
      Je recherche les propriétaires depuis sa construction : vaste projet !
      Je suis actuellement « bloqué » vers l’année 1770. J’ai identifié tous les propriétaires depuis cette date. Le 16/09/1770, Jean-Baptiste LENOIR, notaire de la châtellenie de Candes, s’y installe. Il se marie à Candes le 25/11/1773.
      Je me demandais si vous aviez un tuyau pour m’aider à progresser (contacts, démarches, articles de votre blog, etc…).
      J’ai un acte de vente du 11/11/1823 stipulant que la maison est vendue par les jeunes propriétaires fils de JB LENOIR (2 frères nés en 1786 et 1792), telle qu’elle est « retirée de la succession de leur père et mère ».
      C’est tout ce que j’ai comme origine de la propriété.
      Je sais aussi que la maison d’à côté était la propriété d’un des 12 chanoines de la Collégiale de Candes. Et je me demande s’il ne peut pas y avoir un lien entre les 2 maisons : des communications existent en effet entre elles.
      Mon problème est le suivant : les hypothèques ont été créées en 1798 et le cadastre date de 1837. Ces outils ne me permettent donc plus de progresser.
      Je reste à votre disposition si vous avez des questions et vous remercie de votre attention.
      Bien cordialement.
      Jean-Pierre Peynet

      1. Bonjour
        Aux archives départementales de Loire-Atlantique il existe des fiches explicatives par sujet de recherche, dont REMONTER UNE PROPRIETE, et la fiche est sur leur site. Même chose en Maine et Loire mais je ne la trouve pas sur leur site, et de mémoire c’est même un fascicule de plusieurs pages. Car vous pouvez encore remonter, mais avec des recherches SUR PLACE aux Archives Départementales concernées, et non sur Internet
        Odile
        PS car mes immenses travaux, je les ai fait SUR PLACE en me déplaçant aux archives, et non sur internet

    4. Merci pour tout votre travail d’historienne qui est très précieux pour comprendre notre passé.
      J’ai eu accès à votre blog en recherchant des informations sur René Clémot marié à Françoise Papin et leur fils Mathurin qui aurait été métayer à la Bécussière en 1640. Mais je pense qu’il n’y a aucun lien avec vos Clémot. Comme vous le dites, il faut aussi se déplacer et se méfier des informations dont les sources ne sont pas indiquées.
      Merci de rappeler les règles élémentaires du généalogiste, même néophyte, comme je le suis.
      Cordialement

    5. Bonjour Odile,

      Je suis en admiration face à vos recherches ! Ma famille a fait également des recherches et j’ai pu constater que notre famille se croise avec l’arbre généalogique des LEPELTIER.
      En effet, Marie Emilie GLOTAIN (1952/1899) était mariée avec Joseph Alexandre Léon de LA CHAPELLE (1847/1910) -Il était capitaine d’infanterie puis Chef de gare à Bourkika (Algérie).
      Ils ont eu Marie Ernestine de LA CHAPELLE (1872-1950) à Lorient, Charles Antoine Alexandre de LA CHAPELLE (1874/1874) né à Cons-La-Granville, Antoine Léon de LA CHAPELLE (1888/1888) né et décédé à Guelma, Alexandrine Marie Louise de LA CHAPELLE (1890-?) né à Guelma marié à Albert TUFFAT(1874/1960) et Léontine Virginie de LA CHAPELLE (1975/1899) née à Cons-La-Grandville et décédée à Bilda (Algérie). Léontine sans profession, a mis au monde Cyprien de LA CHAPELLE (1898 à El Affroun et mort en 1927 à Alger) – Il était Commis à la banque d’Algérie. Et Léontine n’a pas dénommé son père, du coup aucune trace du père.

      Cyprien de LA CHAPELLE s’est marié à Alger le 01 octobre 1921 avec Elzéarine Carmen Henriette BOUBY (née en 1902 à Gafsa – Tunisie- et morte en 1982 à Lyon

      Ils ont eu 5 enfants. Comme le reste a moins de 100 ans, je n’en dis pas plus.

      Voilà pour remettre à jour la branche LEPELTIER/GLOTAIN/PELOUX/de LA CHAPELLE.

      Si besoin plus d’informations n’hésitez pas à m’écrire.
      A bientôt et merci encore pour tout votre travail de recherches.

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