Rente obligataire de Pierre Gernigon, Marans, 1587

J’ai une Mathurin Gernigon à Marans, hélas, elle n’a rien à voir, du moins à ce point de mes connaissances, avec le Pierre Gernigon qui suit.
Pierre Gernigon est accompagné de son beau-frère Etienne Deillé, du curé, et de Jehan Dupont d’Angers. Je pense que c’est lui l’emprunteur et les autres sont ses cautions.

  • La somme est assez modeste, 100 livres, et manifestement ils n’ont pas trouvé la somme chez un notaire plus proche. Il y en avait un à Segré.
  • L’acte notarié qui suit est extrait des Archives Départementales du Maine-et-Loire, série 5E7.
  • Voici la retranscription de l’acte : Le 13 septembre 1587 avant midy, en la court du roy nostre sire à Angers endroit par davant nous Mathurin Grudé notaire de la dite court personnellement estably honneste homme Pierre Gernigon marchant demourant en la paroisse de Marans, tant en son nom que pour et au nom et soy faisant fort de Renée Coycault sa femme,
    et Estielle Dillé aussi marchant demourant en ladite paroisse de Marans, (Il s’agit d’Etienne Deillé époux d’Anne Gernigon et beau-frère de Pierre Gernigon Voir mes relevés d’actes de Marans)
    vénérable et discret Me François Grandin curé de l’église paroichiale St Jehan Baptiste d’Angers et y demourant, et honorable Jehan Dupont marchant demourant en ceste ville d’Angers paroisse St Martin, soubzmetant chacun d’eulx seul et pour le tout sans division de personne ne de biens leurs hoirs etc confessent avoir aujourd’huy vendu quicté ceddé delaissé et transporté et constitué et encores par ces présentent vendent quictent délaissent transportent créent et constituent perpétuellement par héritaige aux doyens chanoines du chapitre de l’église collégiale monsieur St Jehan Baptiste de ceste ville d’Angers et à leur successeurs en ladite église et chapitre en la personne de vénérables et discrets Me Jehan Moulnier et Benoist Le Camus chanoines de ladite église demourant audit Angers à ce présents stipulants et acceptants et lesquels ont achacté pour lesdits doyen et chanoines et chapitre leursdits successeurs et ayant cause la somme de 2 écus 46 sols 8 deniers revenant à 8 livres 6 sols 8 deniers, de rente annuelle et perpétuelle rendable et payable et laquelle lesdits vendeurs et chacun d’eulx seul et pour le tout sans division de personne de ne biens ont promys et demeurent tenus rendre et payer servir et continuer doresnavant des maintenant et à présent à toujours perpétuellement auxdits doyen chanoines et chapitre leurs successeurs et ayant cause franc et quicte par chacun an en ladite église et chapitre ou en la maison du recepveur de ladite église à l’usage de la grande bourse de ladite église, …
    et est faite la présente vendition délays cession et transport pourle prix et somme de 33 écus un tiers … (soit 100 livres)
    fait et passé audit Angers maison de nous notaire ès présence de Guy Planchenault praticien demourant Angers et René Grudé demourant Angers tesmoings.

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    Paul de la Saugère était souvent chez le notaire à Angers, 1654

    Certains personnages du Craonnais venaient régulièrement à Angers traiter leurs affaires. Ainsi en est-il de Paul de la Saugère.

  • Il y a 57 km de Bouchamps à Angers, soit plus d’un cheval (40 km par jour), mais on pouvait changer à Segré.
  • Naturellement, les épouses ne se déplaçaient pas, mais l’époux ne pouvait agir au nom de la communauté sans sa procuration préablable, passée devant notaire, puis ensuite, il devait repasser avec elle localement chez ce notaire, pour l’acte de ratiffication, obligatoire sous peine de nullité.
  • Donc, chacune de ces transactions représentent au moins 3 actes notariés, dont 2 sont bien en présence et consentement de l’épouse.
  • L’acte qui suit est extrait des Archives Départementales du Maine-et-Loire, série 5E5

  • Voici la retranscription de l’acte : Le 18 mars 1654 avant midy, par devant nous Nicolas Leconte notaire royal Angers fut présent estably et soubzmis messire Paul de la Saugère, chevalier, Sr de la Bouche d’Usure, demeurant en son chasteau de Bouche d’Uzure paroisse de Bouchamps, tant en son nom privé que au nom de dame Marguerite d’Escuillé son espouze par procuration passé par Hamelin notaire de Craon le 16 de ce mois … promettant luy faire d’abondant ratiffier et s’obliger avec luy solidairement à l’effet des présentes et en fournir acte vallable dans un mois prochain à peine …
    lequel esdits noms et chacun d’eux un seul et pour le tout et sans division, confesse avoir vendu créé et constitué et par ces présentes vend, créé et constitue a promis et promet garantir fournir et faire valoir tant en principal que arrérages aux vénérables chanoines du chapitre de l’église St Pierre de cette ville représentés par noble et discret messire Bonaventure Bodin et Charles Bouclyer prêtres chanoines en ladite église représentant ledit chapitre …
    la somme de 45 livres tournois de rente hypothécaire annuelle et perpétuelle payable chacuns ans auxdits vendeurs esdits noms audit chapitre en cette ville entre les mains de leur boursier, premier payement commençant d’huy en un an et à continuer, laquelle rente ledit vendeur esdit nom a assise et assignée généralement sur tous ses biens meubles et immeubles et de ceux de sadite espouze en vertu de ladite procuration, présents et futurs …
    et est faite la présente vendition création et constitution de rente pour la somme de 900 livres tournois payée contant par lesdits acquéreurs audit vendeur esdit nom qui l’a receue en notre présence en bonne monnoye … (soit un taux de 5 %, qu’on appelait alors « le denier vingt »)
    fait et passé audit Angers en notre étude présents noble homme Pierre Fayet Sr de la Fleuriaye advocat au siège présidial de cette ville et René Touchaleaume
  • Bouche dUsure, Bouchamps-les-Craon, Mayenne
    Bouche d'Usure, Bouchamps-les-Craon, Mayenne

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    Rente viagère par démission d’usufruit, François Delahaye, Avrillé (49), 1628

    L’acte qui suit donne un père ayant l’usufruit des biens immobliliers de sa fille, décédée sans hoirs, et abandonnant la jouissance à ses 2 autres enfants, mais ceci n’est pas tout à fait une démission, comme figurait en marge, car pas fou (en tout cas, pas désintéressé !), le père abandonne les biens contre une rente viagère. Il s’agit donc à mes yeux plus d’une vente à ses enfants.

    Je descends des Delahaye d’Avrillé au 16e siècle, mais hélas les Delahaye sont hyper nombreux, même à Avrillé, et j’avais donc fait une très longue étude sur ce patronyme, sans pouvoir tous les relier. Eh bien, voici encore un Delahaye de plus !
    Il pourrait être le François Delahaye né à Avrillé le 31 janvier 1578 de Claude et Perrine Deshoulles, et serait alors un frère de mon ancêtre Claude Delahaye. Mais, tout ceci reste une hypothèse, qui se vérifiera sans doute un jour, grâce à un acte notarié ou autre… Qui sait ? J’engrange patiemment des morceaux du puzzle, et parfois le puzzle avance !

    L’acte qui suit est extrait des Archives Départementales du Maine-et-Loire, série 5E5 – Voici la retranscription de l’acte : Le 9 mars 1628, par devant nous Nicolas Leconte notaire royal à Angers, fut présent estably et duement soumis chascuns d’honorables personnes Françoys Delahaye lesné marchand demeurant en la paroisse d’Apvrillé d’une part,
    et Me Pierre Bechu aussy notaire royal audit Angers mary de Bernardine Delahaye sœur et héritière immobilière pour une moitié de deffuncte Marye Delahaye tant en son nom que au nom de François Delahaye le Jeune aussy frère et héritier immobilier pour l’autre moitié de ladite déffuncte Delahaye demeurant audit Angers paroisse de St Maurille d’autre part,

    lesquelz ont esté d’accord de ce qui ensuit, scavoir est que ledit Delahaye lesné a quitté ceddé delaissé et par ces présentes quitte cedde et délaisse auxdits Bechu et Delahaye le Jeune ses enfants la possession et jouissance de toutes et chascunes les choses immobilières demeurées du décedz de ladite deffuncte Marye Delahaye vivante femme de Robert Guinier déceddée sans hoirs d’elle procréez, et desquelles choses ledit Delahaye estoit fondé jouir par usufruit comme héritier usufruitier de ladite Delahaye sa fille, s’est desmis et desmet de la jouissance desdites choses pour et au proffict desdis Bechu audit nom et Delahaye le jeune,

    à la charge de payer et acquiter par lesdits Bechu et Delahaye le Jeune touttes et chascunes les debtes et charges réelles et immobières qui pourroient estre dueues à cause desdites choses et acquiter ledit Delahaye lesné mesmes des clauses contenues en la transaction passée par Me Jullien Deillé notaire de cette cour le 25 fébvrier 1627 et encore de tout le contenu au contrat passé par Gilles Chauveau notaire de cette cour ledit jour 25 février 1627, en sorte qu’il n’en puisse estre inquiété et recherché,

    ce fait pour en payer en oultre par chascuns ans par lesdits Bechu audit nom et Delahaye le Jeune audit Delahaye lesné, la somme de 25 livres de rente viagère aux jours et termes de Toussaint le premier payement commançant au jour et feste de Toussaint prochaine et à ce moyen jouiront lesdits Bechu audit nom et Delahaye le Jeune desdites choses délaissées aux charges cy dessus comme de leurs aultres biens sans préjudicier par ledit Delahaye lesné à la somme de 106 livres à luy deue pour les causes portées par ladite transaction passée par Deillé …

    Je reviens à mon hypothèse, à savoir que ce François Delahaye père de François, Marie décédée et Bernardine épouse Bechu, serait frère de mon Claude. Les signatures Delahaye (le père et le fils) ont un F pris de la même manière à l’intérieur d’un D aussi identique, avec boucles vides à gauche. Je vais voir si mes signatures par ailleurs relèvent du même type, histoire de renforcer encore ma curiosité.

    Cette image est la propriété des Archives Départementales du Maine-et-Loire. Je la mets ici à titre d’outil d’identification des signatures, car autrefois on ne changeait pas de signature.

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    Caution solidaire des frères Lemotheux, 1664

    le plus jeune a besoin d’argent, beaucoup, et ses 2 frères empruntent avec lui

    Parfois, lorsque je cherche dans les actes notariés, des noms sont mentionnés en marge, parfois aucun. Certes, comme dans les registres paroissiaux, il semble toujours pratique de lire vite et seulement les mentions en marge, et là encore, parfois les mentions en marge sont fautives. Ainsi l’acte qui suit mentionnait en marge Lemotheux, Chevalier et point d’action de mon André Chevalier dans l’acte qui ne fait que figure de figurant car il était témoin de la procuration établie au préalable sur place à Champigné.

  • L’acte qui suit est extrait des Archives Départementales du Maine-et-Loire, série 5E5
  • Voici la retranscription intégrale : Le 10 mars 1664 avant midy, par devant nous François Crosnier Nre royal à Angers furent présents establis et deuement soubzmis
    honorable homme René Lemotheux sieur de la Lézinière fermier de la terre et seigneurie de la May de Ceaux demeurant en la paroisse de Champigné
    tant en son privé nom que comme procureur de Me Georges Lemotheux sieur du Fresne son frère, par sa procuration passée par Me Jacques Marchais notaire royal demeurant audit Champigné le 8 de ce mois, signé Lemotheux, A. Buscher, A. Chevallier, et Marchays, et contresigné en la marge par ledit sieur de la Lézinière,
    et encore se faisant fort de honorable femme Renée Buscher femme dudit Sr de la Lézinière à laquelle il promet faire ratifier ces présentes et la faire avec luy et ledit sieur du Fresne obliger à l’accomplissement des présentes etc…
    chacun d’eux sans division renonçant au bénéfice de division ont venu créé et constitué et par ces présentes promettent garantir fournir et faire valoir en principal et arrérages à noble homme Me Florent de Janveray advocat au siège présidial de cette ville y demeurant paroisse de St Maurille, à ce présent et stipulant et acceptant, qui achepte pour luy ses hoirs la somme de 50 livres tournois de rente hypothécaire annuelle et perpétuelle payable et rendable franchement et quittement par lesdits vendeurs esdits noms leurs hoirs audit achepteur ses hoirs en sa mai-son audit Angers chacun an à pareil jour et date le premier payement commençant d’huy en un an prochain et à continuer, laquelle vente de 50 livres tournois lesdits vendeurs chacun d’eux esdits noms et chacun d’iceux solidai-rement ont assise et assignée assient et assignent généralement sur tous et chacuns leurs biens meubles et immeubles rentes et revenuz quelconques et sur ceux du sieur Georges Lemotheux en vertu de sadite procuration présents et futurs avec pouvoir et puissance auxdits achepteurs ses hoirs d’en faire déclarer assiette particulièrement et audit vendeur esdits noms de l’armortir toutefois et quantes sans que ledit général et spécial hypothèque puissent faire préjudicier ains confirmant et approuvant l’un l’autre
    ladite vente création et constitution de rente faite pour et moyennant le prix et somme de 900 livres tournois, payée contant par ledit achepteur auxdits vendeurs esdits noms qui l’ont en nostre présence receue en or et monnoye ayant court suivant l’édit dont ils se contentent et le quittent, à laquelle vendition création et constitution de rente et ce que dessus tenir etc… (une rente de 50 livres pour un principal de 900 livres, cela fait du 5,55 % et j’ai rencontré souvent jusqu’à 6,25 %. Les taux n’étaient pas toujours au denier 20 qui est 5 %)
    fait et passé audit Angers en nostre estude Me René Moreau et René Gaudin demeurant audit Angers tesmoings, déclarant lesdits vendeurs esdits noms ladite somme employer au payement de debte du sieur de la Rouaudière Lemotheux frère desdits Lemotheux et Anthoinette Babin sa femme … (AD49 série 5E5)

    Voici donc, avec certitude, les liens familiaux :

    Jacques LEMOTHEUX Sr de la Papinière x Jacquine MOUETTE (en gras, ceux qui interviennent dans l’acte : Georges et René, la femme de René, et les endettés Jacques et sa femme)

      Georges LEMOTHEUX Sr du Fresne
      Suzanne LEMOTHEUX x Pierre GOURDON
      René LEMOTHEUX x2 1653 Renée BUSCHER fille d’Anselme
      Pierre LEMOTHEUX Sr de la Papinière x 1637 Marie VERON
      Jacques LEMOTHEUX Sr de Champlivré et de la Rouaudière x 1641 Antoinette BABIN

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    famille Leroyer de la Roche, du Lion-d’Angers (49)

    liée à la famille Crannier (AD49 série 5E5)

    Nous avons vu que les obligations par constitution de rente hypothécaire, impliquaient des liens étroits entre les emprunteurs, car ils étaient totalement solidaires sur leurs biens.

    Voici un lien, qui me paraît certain, entre les Crannier et les Leroyer de la Roche, car ils empruntent solidairement. Craon est à 58 km d’Angers, et comme un cheval fait 40 km par jour, François Crannier s’est arrêté au Lion d’Angers chez Jean Leroyer, et ils sont partis ensemble à Angers, enfin, c’est ainsi que je reconstitue les choses.

    Auparavant, Jean Leroyer est manifestement allé à Craon demander à François Crannier ce service. En effet, un prêtre ne fait pas de commerce, et ce n’est pas lui l’emprunteur vrai. Par contre Jean Leroyer a des enfants en âge de se marier : qu’il est un besoin se comprend, car il faut doter les enfants, et cela n’est pas une mince affaire, d’autant que la dot est généralement environ 1/6e à 1/10e de la fortune des parents.

    Voici la retranscription de l’acte : Le 9 mai 1626 après midy, par devant nous Nicolas Leconte notaire royal à Angers personnellement establiz discret Me François Crasnier prêtre demeurant en la ville de Craon,

      François Crannier est né au Lion d’Angers le 21 juin 1590, fils d’Etienne et de Perrine Leroyer. Il va devenir chanoine de St Nicolas de Craon, ce qui atteste une bonne naissance car les chanoines sont tous bien nés, et aisés. Lors de cet acte il est âgé de 35 ans. Je n’ai jamais pu remonter sa mère, Perrine Leroyer, mais jusqu’à ce jour, par étude de tous les parrainages réciproques, je la supposais soeur de Jean Leroyer Sr de la Roche.

    honorable homme Jean Leroyer Sr de la Roche demeurant au bourg du Lion d’Angers

      que je supposais, comme je viens de le dire, frère de Perrine Leroyer épouse d’Etienne. Il s’est marié quelques années après elle.

    et noble homme Me Jacques Bernard Sr du Breil greffier à la prévosté de ceste ville demeurant paroisse St Maurille d’Angers,
    lesquels deuement soubzmis chacun d’eux l’un pour l’autre seul et sans division confessent avoir vendu créé et constitué et par ces présentes par hypothèque ont promis et promettent garantir fournir et faire tant en principal que comme d’arrérages à noble homme Me Nicolas Cornuau Sr de la Grandière advocat en parlement demeurant en ceste ville paroisse Saint Maurille à ce présent,
    lequel a stipulé et accepté etc la somme de 37 L 10 s de rente hypothécaire annuelle et perpétuelle rendable et payable franche et quitte chacun an par les années et à la fin de chacune le payement de la première année eschéant d’huy en un an prochain venant et à continuer faisant assiette de ladite rente laquelle lesdits vendeurs ont du jourd’huy et par ces présentes assize et assignée assiéent et asssignent généralement et spécialement sur tous et chacuns leurs biens tant meubles que immeubles présents et futurs sans que le général et spécial hypothèque se puissent faire aucun préjudice l’un l’autre … ladite constitution de rente faicte pour et moyennant la somme de 600 livres tournois payée contant aux vendeurs devant notaire auxdits vendeurs qui ont receu ladite somme en pièces de 16 solz …
    fait audit Angers maison de nous notaire en présence de Me Jean Becheux Jacques Bouvet et André Dureau clercs demeurant Angers tesmoings.

    Voir les familles CRANNIER et LEROYER du Lion-d’Angers. Cliquez sur l’image pour l’agrandir :Cette image est la propriété des Archives Départementales du Maine-et-Loire. Je la mets ici à titre d’outil d’identification des signatures, car autrefois on ne changeait pas de signature.


    Cette carte postale est issue de collections privées qui sont publiées sur mon site. Pour répondre à Marie-Laure, les vaches sont certainement des Maine-Anjou, dont voici le site Internet Collections privées – Reproduction interdite, y compris sur autre lieu d’Internet comme blog ou site

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