Les prénoms non genrés à Provins en 1558 : beaucoup de Claude, Dominique, et même Anne, Philippe, et voici Christophe

Mon cerveau vieillissant a du mal à admettre les prénoms masculins (du moins pour ce qui est ma culture) donnés aux femmes et vice-versa. A Provins, depuis quelques mois j’ai relevé beaucoup d’Anne chez les hommes, et de Claude, Dominique chez les hommes comme chez les femmes, et même des Philippe aussi chez les femmes, ce qui était pour moi une nouveauté dans le cas de Philippe.

Comme vous l’avez vu hier sur mon blog, mon cerveau a totalement bloqué devant Christophe chez une femme. J’avais écrit « Christophe » lors de ma première frappe, et au moment de mettre en ligne j’ai eu honte d’écrire Christophe pour une femme, cela me semblait totalement impossible. Car dans mes innombrables relevés et retranscriptions anciennes j’ai trouvé certes Christophlette aliàs Christoflete mais je n’avais jamais rencontré le prénom masculin donné à une femme…

Suite au commentaire reçu sur ce sujet, j’admets que mon cerveau était bloqué, et que je dois revenir à ma retranscription de Christophe pour une femme. Je remercie la personne qui a débloqué mon cerveau en matière de prénom non genré.  Donc, quand je retranscris il faut que je ne pense surtout pas au genre… et que je me contente de taper ce qui est écrit sans y penser… J’ai tapé des miliers de Christophe abrégés avec le tilt sur le X depuis 30 ans que je retranscris mais je n’étais pas capable hier de l’écrire pour une femme…

Et voici à Provins à la même époque les Christophe hommes que j’ai déjà relevés, et tous avec la même écriture. Voyez pour cela mon relevé en ligne il y a quelques semaines. 

Le 3 décembre 1557 Missire Christofle Bondis prêtre Mathurin Bondis cordonnier, Marin Sachot à cause de Nicole sa femme soy faisant fort d’elle prometant faire ratiffier ces présentes et Jacques Gaultier et Jehan Jaumereau esdits noms et comme tuteurs d’Antoine et Louet Bondis enfants mineurs de feu Ayoul Bondis reconnaissent avoir baillé cédé et promis garantir … à Nicolas Otimot manouvrier à vignes demeurant à Provins ad ce présent preneur une maison et jardin en ceste ville rue de Chasteauffort tenant d’une part à une ruelle par laquelle on va à la rue de Voulsier d’autre à Pierre Corbeil … par devant à ladite rue de Chasteaufort .. pour 16 sols 8 deniers tournois de rente annuelle et perpétuelle paiable chacun an au jour et feste de St Jehan

Le 27 juin 1558 furent présents en leurs personnes Jehanne veufve de feu Guillaume Camuset en son nom pour la moictié et soy faisant fort de Jehan et Pierre Camusets ses enfants et de Guillaume Charron dit Deberges à cause de Suzanne sa femme fille de ladite Jehanne, Anthoine Hure la-boureur demeurant à St Ylier au nom et comme tuteur et curateur de Jacques et Jehanne et Christophe enfants mineurs dudit deffunt et de ladite Jehanne, recognaissent avoir baillé dé-laissé par manière de partaige à Guillaume Camuset laboureur demeurant à Rouilly ad ce présent et acceptant pour sa part et portion des biens immeubles à luy advenus et escheuz par le décès et trespas de Guillaume Camuset …

Le 27 octobre 1558 Galet Demonteurain sieur (> scieur avec un scie dans les mains et pas une terre) de long et Jehanne sa femme demeurant à Chenoise recognaissent avoir prins et retenu à tiltre de rente annuelle et perpétuelle de Chris-tophle ? Guillerte Colin Bouyn à cause de sa femme Denis Boucher aussi à cause de sa femme Gilles Lesve soy faisant et portant fort en cette parie de Jehan Pierre et Colas Guillaumes ses enfants auxquels il promet faire ratiffier … c’est à savoir une maison et jardin comme il se com-porte à Chenoise …

1582.03.03 BLANOT Pierre « fils de Laurens Blanot et Georgette Millert parrain Pierre Lafosse et Christophle Cousin -p361 »

1581.06.01 CHAMPYON Christophle « fils de Loys Champyon et Claude Chapetet parrain Christophle Laure (s) et Philippe Herault (s) marraine Genevieve femme de Constantin Farouel -p341 »

Lupien, Lupienne et même Lupin, dans la Brie au 16ème siècle

Je fouille Provins et sa région, aux innombrables prénoms très originaux pour moi la Nantaise. Il faudrait même que je vous en fasse une liste tant c’est impressionnant.
La première fois que j’ai rencontré Lupienne, j’ai cru que mes yeux n’étaient probablement en face des trous et qu’il devait s’agir de Lucienne ! Mais je me rendis vite compte qu’il fallait bien lire LUPIENNE.
Comme vous le savez sans doute, à moins que vous l’ayez oublié tant notre époque informatisée nous simplifie tout (enfin quand on n’est pas allergique au numérique…) autrefois, point de papiers d’identité, et devant le prêtre lors des baptêmes, mariages et sépultures, tout comme chez le notaire, c’était oralement qu’on déclinait les prénoms et noms. Et bien entendu tout reposait alors sur les connaissances et/ou oreilles du prêtre et/ou du notaire… et donc à diverses interprétations.
C’est ainsi que ce jour, je lis LUPIN aussi je viens vous le faire voir :

Du 17ème jour de may l’an 1558 Lupin Dupont dit Senart laboureur demeurant à Rouilly lez Provins recognait avoir vendu ceddé et promis garantir à Pierre Guerin laboureur (AD77-216E1258)

Voici les saints selon le Dictionnaire hagiographique, ou Vie des saints et des bienheureux honorés en tout temps de L.M. Petin, tome 2 :
LUPICIN reclus près l’Algurande sur les confins du Berri, est mentionné par saint Grégoire de Tours. Il mourut vers l’an 500 – Fête le 23 juin
LUPIEN néophyte, mourut la semaine de son baptême au pays de Retz en Bretagne l’an 480 – Fête le 1er juillet
LUPIN chanoine de l’église cathédrale de Carcassonne, florissait dans le 9ème siècle – Fête le 30 avril

Donc on a le choix, mais je suppose tout de même que LUPIEN était le seul connu en Brie et que mon DUPONT dit Senart a mal prononcé son prénom… Mais, une chose est certaine, moi qui vient de découvrir sur ma télé MADELEN de l’INA et les très anciennes séries télé, dont Arséne Lupin, et pire, j’avais regardé hier, j’ai cru rencontré Arsène en lisant cet acte…

Epiphanie, fête des Rois – le prénom Epiphaine

C’est la fête des Rois, et tous les closiers du Haut-Anjou (ou presque sans doute) ont préparé une fouasse de la fine fleur d’un boisseau de froment, et l’on apportée à la maison de leur bailleur, car elle fait partie de leurs charges aux termes de leur bail.

Cette fête catholique fait tellement partie de notre patrimoine que nos grandes surfaces étalent des palettes entières de couronnes diverses dès le 26 décembre, tout juste si ce n’est pas avant Noël !
De son côté, le ministère de la culture l’a itraite au titre du patrimoine historique.
Et l’église catholique naturellement, sous un angle plus religieux.
Or donc, lisant un registre en ligne, je tombe sur une Epiphaine :


« Le vingt et huictiesme jour dudit moys de may l’an mil six cents unze fut baptizé Jacques Roguier fils de Olivier Roguier et de Renée Lermitte sa femme parrain Jehan Lermitte fils de deffunt Jehan Lermitte marraine Epiphaine Guillou par moy »

EPIPHA1NE (sainte), Epiphania, religieuse honorée à Pavie, était une princesse qui quitta la cour et le monde pour s’ensevelir dans le cloître. — 6 octobre.

EPIPHANE (saint), Epiphanius, évêque et martyr en Afrique, souffrit avec saint Donat et quatorze autres. — 7 avril.

EPIPHANE (saint), archevêque de Salamine en Chypre et docteur de l’Eglise, né vers l’an 310, dans la Palestine , s’appliqua dès sa jeunesse à l’étude de l’Ecriture sainte, et, afin de mieux pénétrer le sens des oracles sacrés, il apprit l’hébreu, l’égyptien, le syriaque, le grec et le latin. Les fréquentes visites qu’il faisait aux solitaires lui inspirèrent la résolution d’embrasser la vie anachorétique, et il se retira dans les déserts de l’Egypte. Étant revenu en Palestine, vers l’an 332, il bâtit près du lieu de sa naissance, un monastère dont il eut le gouvernement. Il se livrait à des austérités grandes, qu’on crut devoir lui représenter qu’il les portait trop loin ; mais il répondit : Dieu ne nous donnera le royaume des cieux qu’à condition que nous travaillerons à le mériter, et tout ce que nous pouvons faire n’a point de proportion avec la couronne de gloire qui nous est promise. Aux macérations corporelles il joignait la prière et l’étude, lisant tous les bons livres qui se publiaient, et profitant de ses voyages pour étendre ses connaissances. Quoiqu’il fût déjà très versé dans les voies de la perfection, il se mit, en 333, sous la conduite de saint Hilarion et passa vingt-trois ans dans son monastère. L’amitié de ces deux saints fut toujours si étroite que, ni la longueur du temps, ni la distance des lieux ne purent la refroidir. Durant la cruelle persécution que les ariens firent souffrir aux catholiques sous le règne de Constance, saint Epiphane sortit souvent de sa cellule pour voler au secours de la foi : il se sépara même de la communion d’Eutychius, évêque d’Eleutéropolis, qui, par des vues de politique, plutôt que par conviction, s’était attaché au parti que favorisait la cour. Il s’appliqua aussi à signaler les erreurs qu’il avait découvertes dans les écrits d’Origène. On venait le consulter de toutes parts, et on ne le quittait jamais sans avoir reçu les plus sages avis. Il était l’oracle de la Palestine et des pays voisins : sa réputation pénétra jusque dans l’île de Chypre, et l’Eglise de Salamine l’élut pour évêque vers l’an 367; mais il est probable que saint Hilarion, qui, après diverses pérégrinations, avait passé dans cette lie, contribua à l’élévation de son ancien disciple et ami. Saint Epiphane ne renonça pas au gouvernement de ses religieux qu’il visitait de temps en temps; il continua aussi de porter l’habit monastique et ne changea rien à son genre de vie : seulement ses abstinences étaient moins rigoureuses, lorsqu’il se trouvait dans le cas d’exercer l’hospitalité. Sa charité était sans bornes ; il distribuait aux pauvres tout ce dont il pouvait disposer, et plusieurs personnes riches, entre autres, sainte Olympiade de Constantinople, le faisaient le dispensateur de leurs aumônes. Les hérétiques eux-mêmes vénéraient sa sainteté ; aussi ne fut-il point enveloppé dans la persécution que les ariens suscitèrent aux catholiques en 371, et il fut presque le seul évêque orthodoxe qu’ils laissèrent tranquille dans cette partie de l’empire. ll fit, en 376, le voyage d’Antioche, dans la vue de ramener à la fui Vital, évêque de cette ville, qui était tombé dans l’hérésie d’Apollinaire ; mais ses efforts n’eurent aucun succès. Les dissensions qui troublaient l’Eglise d’Antioche, ayant obligé saint Paulin, évêque de cette même ville d’Antioche, à se rendre à Home en 382, saint Epiphane l’accompagna, et pendant leur séjour dans cette ville, ils logèrent chez sainte Paule.
Trois ans après, il eut la consolation de recevoir, à son tour, sainte Paule, qui allait se fixer en Palestine, et qui passa dix jours chez lui, à Salamine. S’étant trouvé à Jérusalem en 394, il y prêcha contre rorigénisme, en présence de Jean, patriarche de cette ville qu’il soupçonnait de pencher vers cette hérésie, et qui fut très mécontent de son discours. Le saint se rendit à Bethléem pour visiter sainte Paule et saint Jérôme : il persuada au saint docteur de se séparer de la communion de Jean jusqu’à ce qu’il eût donné des preuves de sou orthodoxie ; il conféra aussi la prêtrise à Paulinien, frère de saint Jérôme. Le patriarche se plaignit hautement de cette ordination, et soutint qu’elle était un attentat contre ses droits. Saint Epiphane, pour se justifier, lui écrivit qu’il avait pu ordonner un moine qui, en qualité d’étranger, n’était pas censé de la province de Jérusalem ; n’avait eu en vue que l’utilité de l’Eglise, et qu’il n’avait nullement pensé à porter atteinte à sa juridiction. « Nous n’avons point désapprouvé, ajoute-t-il, de semblables ordinations qui ont été faites dans la province dont nous sommes métropolitain. » L’affaire s’apaisa ; Paulinien suivit saint Epiphane à Salamine et lui demeura soumis comme étant de son clergé. il tint en 401 à Salamine, un concile de tous les évêques de Chypre, dans lequel on condamna les erreurs d’Origène, et il se rendit ensuite à Constantinople pour engager saint Jean Chrysostome, patriarche de cette ville, à souscrire à cette condamnation, ce qu’il ne put obtenir. Pendant qu’il était à Constantinople, il accusa d’origénisme quatre abbés de Nitrie, qu’on appelait les quatre grands frères, à cause de leur haute stature, et que Théophile, patriarche, d’Alexandrie, avait chassés de leurs monastères sous prétexte qu’ils étaient partisans des erreurs d’Origène. Saint Epiphane, trompé par Théophile, qui s’acharnait à leur poursuite, moins par amour de la vérité que par animosité contre saint Jean Chrysostome, qui, après s’être assuré de la pureté de leur foi, les avait admis aux saints mystères, les traita comme des hérétiques et refusa même de communiquer avec le saint patriarche qui s’était déclaré leur protecteur. Les quatre grands frères, en ayant été informés, allèrent trouver l’archevêque de Salamine, et Ammone, l’un d’eux, prenant la parole pour tous, lui dit : Mon père, nous désirons savoir si vous avez vu nos disciples et nos écrits. — Non, jamais. — Comment donc nous avez-vous jugés hérétiques sans connaître nos sentiments ? — C’est qu’on ne l’a certifié. — Nous avons agi autrement à votre égard, car nous avons souvent rencontré vos disciples et beaucoup lu vos ouvrages, entre autres l’Anchorat, et comme plusieurs le taxaient d’hérésie, nous en avons pris la défense. Vous ne deviez donc pas nous condamner sans nous entendre, ni parler aussi mal de ceux qui ne disent de vous que du bien. Le saint leur témoigna son regret de les avoir mal jugés et les apaisa par ses manières affables. Il prêcha ensuite à Constantinople sans avoir demandé la permession au patriarche, et il y ordonna un diacre : ces deux faits, ainsi que celui de l’ordination de Paulinien à Bethléem, prouvent qu’il n’avait pas des idées très nettes sur la juridiction ecclésiastique : peut-être croyait-il pouvoir se permettre, dans le diocèse d’un autre évêque, ce qu’il n’eût pas trouvé mauvais qu’on fit dans le sien ; d’ailleurs l’Eglise ne s’était point encore expliquée alors sur ce sujet d’une manière aussi explicite qu’elle l’a fait depuis.
Le pape Urbain II examinant cette conduite de saint Epiphane, l’excuse à cause de sa bonne foi et de ses bonnes intentions. Le saint archevêque quitta Constantinople et s’embarqua pour retourner dans son diocèse, mais il ne put regagner Salamine, et il mourut en route, l’an 403, âgé de quatre-vingt-treize ans dont il avait passé trente-six dans l’épiscopat. Ses disciples bâtirent en Chypre une église en son honneur et placèrent son image parmi celles des saints. Dieu hennira son tombeau par un grand nombre de miracles.
Les écrits du saint docteur sont 1° le Panarium, qui contient l’histoire de vingt hérésies qui avaient précédé la naissance de Jetas-Christ, et de quatre-vingts autres qui s’étaient élevées depuis la promulgation de l’Évangile; 2° l’Anehorat, qui contient des preuves abrégées des principaux articles de la foi catholique ; 3° le Traité des poids et mesures des Juifs, destiné à faciliter aux fidèles l’intelligence de la Bible ; 4° le Physiologue, ou recueil dés propriétés des animains avec des réflexions mystiques et morales qui sont seules de saint Epiphane, le reste de l’ouvrage étant une compilation ; 5° le Traité des pierres précieuses, où il explique les qualités des douze pierres qui étaient sur le rational du grand prêtre des Juifs ; 6° deux lettres adressées l’une à Jean, patriarche de Jérusalem et l’autre à saint Jérôme; 7° un Commentaire sur le Cantique des cantiques, découvert dans le siècle dernier. Le style de saint Epiphane manque d’élégance et d’élévation : il est souvent dur, inculte et décousu ; mais si sa diction est négligée, sa doctrine est pure. Les défauts qu’on lui reproche comme écrivain n’empêchent pas qu’on ne l’ait toujours regardé comme un des principaux docteurs de l’Eglise, dont on admire surtout la vaste érudition. — 12 mai.

EPIPHANE (saint), évêque de Pavie, était né en 447, et il n’avait que vingt ans lorsqu’il fut élevé à l’épiscopat. C’est un des premiers exemples de la dispense d’âge accordée par l’Eglise, et il la justifia en devenant l’un des plus recommandables évêques de son temps. Il jouissait de la plus haute considération auprès des empereurs Sévère, Anthelme et Olybrius, ainsi qu’auprès d’Odoacre qui mit fin à l’empire romain, et de Théodoric, roi d’Italie, son successeur. Cette considération, il la devait à son mérite, à son éminente sainteté et à ses miracles. Il désarma, par son éloquence et par sa charité, la fureur des barbares qui fondirent sur les débris de l’empire romain, obtint d’eux la liberté d’une multitude innombrable de captifs et fit décharger les peuples d’une partie des impôts dont on les écrasait; ses aumônes étaient immenses et son zèle infatigable. Il fut envoyé en ambassade vers l’empereur A nthelme et ensuite vers Evaric, roi des Goths, afin d’engager ces deux princes à faire la paix, et il réussit dans sa négociation. Odoacre ayant ruiné Pavie, saint Epiphane releva les églises, et la plupart des maisons furent reconstruites à ses frais. Il sut inspirer des sentiments d’humanité à Théodoric, au fort même de ses victoires. Il fit un long voyage en Bourgogne pour racheter les captifs détenus par le roi Gondebaud, et à son retour il mourut à Pavie en 497, à l’âge de cinquante ans et après trente années d’épiscopat. En 962, son corps fut transféré à Hildesheim en basse Saxe. Saint Ennode, qui fut son successeur après saint Maxime, a retracé les principaux traits de sa vie dans un beau panégyrique qu’il composa en son honneur. — 21 janvier.

EPIPHANE (sainte), Epiphona, martyre à Lentini, mourut aprèsavoir eu les mamelles coupées par ordre da président Tertylle, sous l’empereur Dioclétien. — 12 juillet

Et demain, dans la foulée, je vous fais Tiphaine.

Odile Halbert – Reproduction interdite sur autre endroit d’Internet Merci de laisser un commentaire sur ce blog. Tout commentaire de cet article sur autre blog ou forum va à l’encontre du projet européen d’éthique des blogueurs, disponible sur le site du Parlement européen.

saint Mesme aliàs saint Maxime

Nous avons vu la semaine précédente que le père du marié était Mesmé Lefebvre.
Comme j’ai au sud de Chinon un ancêtre Mesme Beranger, j’ai été voir ce joli prénom, et là, stupéfaite, j’ai découvert que c’était un saint Maxime !
Voici sa biographie extraite de l’encyclopédie Migne :

saint Mesme, aliàs saint Maxime, Maximus, solitaire, et abbé de Chinon, sortait d’une famille noble de l’Aquitaine, et était frère de saint Maixent et de saint Jouin, qui furent l’un et l’autre évêques de Poitiers.
Il fut élevé dans le monastère de saint Martin de Tours, et il était encore jeune lorsqu’il perdit son saint maître. Ayant été élevé au sacerdoce, il se retira dans le monastère de l’Ile-Barbe, près de Lyon, dont il devint abbé. Mais, les embarras que lui causait le gouvernement de sa communauté, qui manquait souvent du nécessaire, à cause des incursions des barbares, le déterminèrent à se démettre de sa dignité, malgré les instances de saint Eucher, évêque de Lyon.
S’étant mis en route pour retourner en Touraine, il pensa périr en passant la Saône, et sa conservation fut regardée comme un miracle. Revenu dans sa patrie, il fut obligé de prendre le gouvernement d’un monastère qu’il avait fondé à Chinon, où il mourut dans un âge fort avancé, vers le milieu du 5e siècle.Sa sainteté fut attestée par des miracles avant et après sa mort.

Une partie de ses reliques se garde à Bar-le-Duc, où il est connu sous le nom de saint Maxe.
Fête le 20 août.

Si j’ai bien retenu, ce saint avait 2 frères saints. Heureuse leur mère qui porta 3 saints !

Attention, il a existé d’autres saint Maxime, mais pour saint Mesme, il n’y a que ce saint, qui dérive aussi de Maximus.

L’extraordinaire variété des prénoms en 1901 à Nantes Sud Loire

Voir tous les articles sur Nantes Sud Loire Saint Jacques

Certes, nous connaissons en 2020 une infinie variété de prénom, mais en 1901, on observe déjà beaucoup de variété à Nantes. Vous allez pouvoir comparer les prénoms de vos arrière grands parents avec ceux qui suivent.

Sur les 4 243 personnes recensées à Nantes Sud Loire en 1901 on compte, par ordre d’importance du prénom (et je vous mets ensuite l’ordre alphabétique traditionnel – colonne 2 le nombre d’occurence, colonne 3 le rang d’importance) :

Les 330 prénoms par importance décroissante

Marie 693 1
Pierre 160 2
Jeanne 148 3
Louis 145 4
Josephine 127 5
François 117 6
Joseph 116 7
Henri 113 8
Jean 108 9
Louise 99 10
Auguste 88 11
Anne 70 12
Jules 69 13
Eugène 61 14
Charles 58 15
Augustine 54 16
Eugénie 52 17
Georges 44 18
Françoise 43 19
Paul 43 20
Henriette 38 21
Marguerite 38 22
Léon 35 23
René 34 24
Julien 33 25
Alexandre 32 26
Jean Baptiste 30 27
Jean Marie 30 28
Edouard 29 29
Emile 28 30
Léontine 28 31
Victorine 28 32
Francis 26 33
Rose 25 34
Julie 22 35
Mathurin 22 36
Alphonse 21 37
Germaine 21 38
Adolphe 20 39
Madeleine 20 40
Pauline 20 41
Yvonne 20 42
Félix 19 43
Gustave 19 44
Marcel 19 45
Victor 19 46
Adèle 18 47
Alfred 18 48
Alexis 17 49
Maurice 17 50
Valentine 17 51
Baptiste 16 52
Mélanie 16 53
Renée 16 54
Victoire 16 55
Berthe 15 56
Gabrielle 15 57
Marcelle 15 58
Philomène 15 59
Amélie 14 60
Angélique 14 61
Anna 14 62
Eulalie 14 63
Léon Marie 14 64
Lucie 14 65
Céline 13 66
Ernestine 13 67
Yves 13 68
Emilie 12 69
Gabriel 12 70
Julienne 12 71
Mathilde 12 72
André 11 73
Armand 11 74
Ernest 11 75
Helène 11 76
Adélaïde 10 77
Angèle 10 78
Clémentine 10 79
Etienne 10 80
Marthe 10 81
Charlotte 9 82
Edmond 9 83
Ferdinand 9 84
Léonie 9 85
Aimée 8 86
Alexandrine 8 87
Constance 8 88
Constant 8 89
Emma 8 90
Hippolyte 8 91
Jacques 8 92
Juliette 8 93
Lucien 8 94
Reine 8 95
Thérèse 8 96
Adrien 7 97
Albert 7 98
Antoine 7 99
Célestine 7 100
Clémence 7 101
Elisabeth 7 102
Fernand 7 103
Geneviève 7 104
Lucienne 7 105
Michel 7 106
Raoul 7 107
Adrienne 6 108
Blanche 6 109
Fernande 6 110
Gaston 6 111
Georgette 6 112
Perrine 6 113
Rosalie 6 114
Antoinette 5 115
Armandine 5 116
Caroline 5 117
Christophe 5 118
Clarisse 5 119
Clément 5 120
Donatien 5 121
Emilienne 5 122
Frédéric 5 123
Léa 5 124
Marie Louise 5 125
Théophile 5 126
Vincent 5 127
Virginie 5 128
Albertine 4 129
Alphonsine 4 130
Arthur 4 131
Benjamin 4 132
Camille 4 133
Claire 4 134
Claude 4 135
Delphine 4 136
Désirée 4 137
Elise 4 138
Estelle 4 139
Esther 4 140
Florence 4 141
Guillaume 4 142
Hortense 4 143
Isidore 4 144
Laurent 4 145
Marcelline 4 146
Maria 4 147
Modeste 4 148
Prosper 4 149
Sébastien 4 150
Théodore 4 151
Adeline 3 152
Aglaé 3 153
Alain 3 154
Alice 3 155
Anastasie 3 156
Andrée 3 157
Arsène 3 158
Cécile 3 159
Céleste 3 160
Clair 3 161
Elisa 3 162
Félicité 3 163
Florentine 3 164
Henry 3 165
Irma 3 166
Joachim 3 167
Laure 3 168
Léonide 3 169
Léopold 3 170
Mathurine 3 171
Nathalie 3 172
Noémie 3 173
Olivier 3 174
Prudent 3 175
Raymond 3 176
Rogatien 3 177
Séraphine 3 178
Sidonie 3 179
Sophie 3 180
Suzanne 3 181
Achille 2 182
Adolphine 2 183
Agathe 2 184
Agnès 2 185
Aimé 2 186
Ambroise 2 187
Amédé 2 188
Ameline 2 189
Anaïs 2 190
Aristide 2 191
Armande 2 192
Augustin 2 193
Aveline 2 194
Azéline 2 195
Barthélémy 2 196
Carmen 2 197
Casimir 2 198
Catherine 2 199
Célestin 2 200
Claudine 2 201
Clotilde 2 202
Denis 2 203
Désiré 2 204
Donatienne 2 205
Edith 2 206
Eléonore 2 207
Elie 2 208
Emmanuel 2 209
Eveline 2 210
Fanny 2 211
Flavie 2 212
Gilbert 2 213
Grégoire 2 214
Havin Irlandais 2 215
Hermine 2 216
Honorine 2 217
Isaïe 2 218
Josèphe 2 219
Langé 2 220
Marianne 2 221
Marine 2 222
Marius 2 223
Martial 2 224
Michelle 2 225
Nicolas 2 226
Noël 2 227
Paule 2 228
Philippe 2 229
Prudence 2 230
Raphaël 2 231
Robert 2 232
Similienne 2 233
Zélie 2 234
Zoé 2 235
Alcide 1 236
Alcine 1 237
Alix 1 238
Anatole 1 239
Ancèle 1 240
Angéline 1 241
Anne Célestine 1 242
Anne Marie 1 243
Anne Marie 1 244
Annette 1 245
Antonin 1 246
Appoline 1 247
Aurélie 1 248
Aveline 1 249
Barreau 1 250
Benoni 1 251
Bernabé 1 252
Berthilère 1 253
Cabiron 1 254
Clara 1 255
Cléta 1 256
Clodomer 1 257
Conception 1 258
Courado espagn. 1 259
Damien 1 260
Daniel 1 261
Edmée 1 262
Eglantine 1 263
Eliane 1 264
Eloïse 1 265
Emilien 1 266
Euphrasie 1 267
Euphrasine 1 268
Eve 1 269
Fulgent 1 270
Gaston 1 271
Georgine 1 272
Gilles 1 273
Glepvre? 1 274
Héloïse 1 275
Honoré 1 276
Huberte 1 277
Hugues 1 278
Isabelle 1 279
Janine 1 280
Jean François 1 281
Jean Louis 1 282
Jean Pierre 1 283
Jeanneteau 1 284
Jérome 1 285
Justine 1 286
Laurence 1 287
Léonard 1 288
Léonce 1 289
Luc 1 290
Ludovic 1 291
Marc 1 292
Marcellin 1 293
Marie Ange 1 294
Marie Antoinette 1 295
Mariette 1 296
Martine 1 297
Mathias 1 298
Maximin 1 299
Melaine 1 300
Meraele 1 301
Mercédès 1 302
Monique 1 303
Noelly 1 304
Odette 1 305
Olympe 1 306
Patrice 1 307
Pélagie 1 308
Perrin 1 309
Pétronille 1 310
Rachelle 1 311
Radegonde 1 312
Raymonde 1 313
Roger 1 314
Romain 1 315
Rosa Irlandaise 1 316
Salmune 1 317
Sosthène 1 318
Stanislas 1 319
Stéphanie 1 320
Sylvain 1 321
Sylvie 1 322
Thomas 1 323
Tourrain 1 324
Toussant 1 325
Valentin 1 326
Victorien 1 327
Vincente 1 328
Yvon 1 329
Zénaïde 1 330

les 330 prénoms par ordre alphabétique

Achille 2 1
Adélaïde 10 2
Adèle 18 3
Adeline 3 4
Adolphe 20 5
Adolphine 2 6
Adrien 7 7
Adrienne 6 8
Agathe 2 9
Aglaé 3 10
Agnès 2 11
Aimé 2 12
Aimée 8 13
Alain 3 14
Albert 7 15
Albertine 4 16
Alcide 1 17
Alcine 1 18
Alexandre 32 19
Alexandrine 8 20
Alexis 17 21
Alfred 18 22
Alice 3 23
Alix 1 24
Alphonse 21 25
Alphonsine 4 26
Ambroise 2 27
Amédé 2 28
Amélie 14 29
Ameline 2 30
Anaïs 2 31
Anastasie 3 32
Anatole 1 33
Ancèle 1 34
André 11 35
Andrée 3 36
Angèle 10 37
Angéline 1 38
Angélique 14 39
Anna 14 40
Anne 70 41
Anne Célestine 1 42
Anne Marie 1 43
Anne Marie 1 44
Annette 1 45
Antoine 7 46
Antoinette 5 47
Antonin 1 48
Appoline 1 49
Aristide 2 50
Armand 11 51
Armande 2 52
Armandine 5 53
Arsène 3 54
Arthur 4 55
Auguste 88 56
Augustin 2 57
Augustine 54 58
Aurélie 1 59
Aveline 1 60
Aveline 2 61
Azéline 2 62
Baptiste 16 63
Barreau 1 64
Barthélémy 2 65
Benjamin 4 66
Benoni 1 67
Bernabé 1 68
Berthe 15 69
Berthilère 1 70
Blanche 6 71
Cabiron 1 72
Camille 4 73
Carmen 2 74
Caroline 5 75
Casimir 2 76
Catherine 2 77
Cécile 3 78
Céleste 3 79
Célestin 2 80
Célestine 7 81
Céline 13 82
Charles 58 83
Charlotte 9 84
Christophe 5 85
Clair 3 86
Claire 4 87
Clara 1 88
Clarisse 5 89
Claude 4 90
Claudine 2 91
Clémence 7 92
Clément 5 93
Clémentine 10 94
Cléta 1 95
Clodomer 1 96
Clotilde 2 97
Conception 1 98
Constance 8 99
Constant 8 100
Courado espagn. 1 101
Damien 1 102
Daniel 1 103
Delphine 4 104
Denis 2 105
Désiré 2 106
Désirée 4 107
Donatien 5 108
Donatienne 2 109
Edith 2 110
Edmée 1 111
Edmond 9 112
Edouard 29 113
Eglantine 1 114
Eléonore 2 115
Eliane 1 116
Elie 2 117
Elisa 3 118
Elisabeth 7 119
Elise 4 120
Eloïse 1 121
Emile 28 122
Emilie 12 123
Emilien 1 124
Emilienne 5 125
Emma 8 126
Emmanuel 2 127
Ernest 11 128
Ernestine 13 129
Estelle 4 130
Esther 4 131
Etienne 10 132
Eugène 61 133
Eugénie 52 134
Eulalie 14 135
Euphrasie 1 136
Euphrasine 1 137
Eve 1 138
Eveline 2 139
Fanny 2 140
Félicité 3 141
Félix 19 142
Ferdinand 9 143
Fernand 7 144
Fernande 6 145
Flavie 2 146
Florence 4 147
Florentine 3 148
Francis 26 149
François 117 150
Françoise 43 151
Frédéric 5 152
Fulgent 1 153
Gabriel 12 154
Gabrielle 15 155
Gaston 6 156
Gaston 1 157
Geneviève 7 158
Georges 44 159
Georgette 6 160
Georgine 1 161
Germaine 21 162
Gilbert 2 163
Gilles 1 164
Glepvre? 1 165
Grégoire 2 166
Guillaume 4 167
Gustave 19 168
Havin Irlandais 2 169
Helène 11 170
Héloïse 1 171
Henri 113 172
Henriette 38 173
Henry 3 174
Hermine 2 175
Hippolyte 8 176
Honoré 1 177
Honorine 2 178
Hortense 4 179
Huberte 1 180
Hugues 1 181
Irma 3 182
Isabelle 1 183
Isaïe 2 184
Isidore 4 185
Jacques 8 186
Janine 1 187
Jean 108 188
Jean Baptiste 30 189
Jean François 1 190
Jean Louis 1 191
Jean Marie 30 192
Jean Pierre 1 193
Jeanne 148 194
Jeanneteau 1 195
Jérome 1 196
Joachim 3 197
Joseph 116 198
Josèphe 2 199
Josephine 127 200
Jules 69 201
Julie 22 202
Julien 33 203
Julienne 12 204
Juliette 8 205
Justine 1 206
Langé 2 207
Laure 3 208
Laurence 1 209
Laurent 4 210
Léa 5 211
Léon 35 212
Léonard 1 213
Léonce 1 214
Léonide 3 215
Léonie 9 216
Léon Marie 14 217
Léontine 28 218
Léopold 3 219
Louis 145 220
Louise 99 221
Luc 1 222
Lucie 14 223
Lucien 8 224
Lucienne 7 225
Ludovic 1 226
Madeleine 20 227
Marc 1 228
Marcel 19 229
Marcelle 15 230
Marcellin 1 231
Marcelline 4 232
Marguerite 38 233
Maria 4 234
Marianne 2 235
Marie 693 236
Marie Ange 1 237
Marie Antoinette 1 238
Marie Louise 5 239
Mariette 1 240
Marine 2 241
Marius 2 242
Marthe 10 243
Martial 2 244
Martine 1 245
Mathias 1 246
Mathilde 12 247
Mathurin 22 248
Mathurine 3 249
Maurice 17 250
Maximin 1 251
Melaine 1 252
Mélanie 16 253
Meraele 1 254
Mercédès 1 255
Michel 7 256
Michelle 2 257
Modeste 4 258
Monique 1 259
Nathalie 3 260
Nicolas 2 261
Noël 2 262
Noelly 1 263
Noémie 3 264
Odette 1 265
Olivier 3 266
Olympe 1 267
Patrice 1 268
Paul 43 269
Paule 2 270
Pauline 20 271
Pélagie 1 272
Perrin 1 273
Perrine 6 274
Pétronille 1 275
Philippe 2 276
Philomène 15 277
Pierre 160 278
Prosper 4 279
Prudence 2 280
Prudent 3 281
Rachelle 1 282
Radegonde 1 283
Raoul 7 284
Raphaël 2 285
Raymond 3 286
Raymonde 1 287
Reine 8 288
René 34 289
Renée 16 290
Robert 2 291
Rogatien 3 292
Roger 1 293
Romain 1 294
Rosa Irlandaise 1 295
Rosalie 6 296
Rose 25 297
Salmune 1 298
Sébastien 4 299
Séraphine 3 300
Sidonie 3 301
Similienne 2 302
Sophie 3 303
Sosthène 1 304
Stanislas 1 305
Stéphanie 1 306
Suzanne 3 307
Sylvain 1 308
Sylvie 1 309
Théodore 4 310
Théophile 5 311
Thérèse 8 312
Thomas 1 313
Tourrain 1 314
Toussant 1 315
Valentin 1 316
Valentine 17 317
Victoire 16 318
Victor 19 319
Victorien 1 320
Victorine 28 321
Vincent 5 322
Vincente 1 323
Virginie 5 324
Yves 13 325
Yvon 1 326
Yvonne 20 327
Zélie 2 328
Zénaïde 1 329
Zoé 2 330

 

Hénoch, aliàs Enoch

Hier, la transaction sur la pension de Michel Garande, mentionnait Enoc Buret. Ce curieux prénom n’est pas celui d’un saint. J’ai voulu en savoir plus :

Ascension dHénoch vue Raffaello Sanzio (XVe)
Ascension d'Hénoch vue Raffaello Sanzio (XVe)

Hénoch est un patriarche antédiluvien, fils de Caïn et père de Mathusalem.
Selon la Genèse, v. 24, il disparut mystérieusement « enlevé par Dieu » comme le prophète Elie, et le Serviteur de Yahvé du second Isaïe. Il devint une grande figure de l’apocalyptique juive.

le livre d’Hénoch, une des grandes apocalypses juives. Il donne un ensemble d’exhortations et de prophéties, concernant la fin des temps. Cité dans le Nouveau Testament (Jude, 14) il a eu une grande influence sur la pensée chrétienne. Il a été écrit en hébreu et en araméen (des fragments dans les deux langues ont été retrouvés à Qumrian). On peut dater les diverses sevtions qui le composent d’une période s’étendant de 170 à 60 av. J.-C. (Dict. Encyclopédique Larousse, 1983

    En savoir plus sur Internet

Mais je dois reconnaître que c’est probablement la première fois que je rencontrais ce prénom dans mes recherches.