La blouse était obligatoire, de couleur bleu pale. Nul besoin d’aller jusqu’à l’uniforme pour nous rendre toutes pareillement vêtues, car la blouse le faisait très bien. Vous l’avez en ligne sur mon blog en 1953. J’avais écrit cette page sur le Lycée Guist’hau sous le titre « très démocratisé », et je confirme ici, la blouse était très démocratique elle aussi et le lycée très démocrate.
J’ai 3 petites photos aussi et je vous les mets ici à titre de preuve de la blouse démocratique, aussi démocratique que l’uniforme.
Je suis à gauche, puis Monique Deligné, et …
Je suis à gauche, Claude Godfrin, Danièle Giraud, et …
Je suis à droite
Avez-vous souvenir d’une professeure de dessin du nom de Jeanne PERRON ? Je ne sais pas pendant quelle période elle a enseigné à Guist’hau…
Quant à la blouse, je l’ai connue encore plus récemment. Jusque dans les années 1968-1970 (?), au pensionnat de l’Ange Gardien à Pornic. Mais ce n’était pas une tenue uniforme. Chacune avait sa blouse (on disait aussi sarrau), pour ma soeur et moi elle avait été achetée sur le marché, et était en matière synthétique. C’était moderne, et vite lavé, vite séché.
Bonjour
Je me souviens de Charles Perron, car une de mes tantes fut une de ses élèves et j’ai des tableaux d’elle qui sont du même style que ce peintre. Il venait même l’été au Croisic, et je vois très bien l’endroit où il habitait alors. Cela remonte à mon enfance avant 1958.
Odile