Nantes,
anciens quais de l'Erdre Bords
de l'Erdre
Nantes,
le pont Morand
Nantes,
Pont de l'Hôtel de Ville et Quais de l'Erdre (ancien quai, comblé)
Nantes,
Quais de l'Erdre, Pont de l'Hôtel de Ville
(ancien quai, comblé)
Nantes, quai
Duquesne (ancien quai, comblé) autres
cartes postales
Nantes,
l'Erdre autres
cartes postales
Nantes,
l'Erdre au pont de l'Hôtel de Ville autres
cartes postales
Nantes,
le pont Morand Autres
cartes postales
Nantes,
l'Erdre au pont de l'Hôtel de Ville Autres
cartes postales
Nantes,
les ponts de l'Hôtel de Ville et le Pont Sauvetout Autres
cartes postales
Nantes,
l'Erdre aux quais Duquesne et des Tanneurs Autres
cartes postales
Nantes,
l'écluse et les quais de l'Erdre Autres
cartes postales
Nantes,
les ponts de l'Hôtel de Ville et le Pont Sauvetout Autres
cartes postales
Nantes,
les ponts de l'Hôtel de Ville et le Pont Sauvetout Autres
cartes postales
Nantes,
les ponts de l'Hôtel de Ville et le Pont Sauvetout Autres
cartes postales
Nantes, le
quai d'Orléans, l'écluse Autres
cartes postales
Nantes,
l'Ecluse du canal de l'Erdre Autres
cartes postales
Nantes,
l'Erdre au Pont de l'Ecluse Autres
cartes postales
Nantes, Ponts
et Quais de l'Erdre Autres
cartes postales
Nantes, canal
St Félix et pont de la Rotonde Autres
cartes postales
- Pont
de l'Ecluse Troisième arrondissement.
Paroisses Saint-Pierre et Saint-Nicolas. De la rue de Feltre à la place
de l'Ecluse. La première pierre de l'écluse
de l'Erdre fut posée le 25 juin 1828 par Mme la Duchesse de Berry, ce
qui explique le nom de pont Madame que le pont porta un instant, avant
celui qui lui fut attribué le 27 septembre 1830. En 1886 on refit le
tablier. (Edouard PIED, Notices sur les rues de Nantes,
1906)
- Pont
de l'Hôtel-de-Ville Premier arrondissement.
Paroisses de Saint-Pierre et SaintSimilien. Du quai Duquesne à la place
du Cirque. Les pourparlers pour la construction
de ce pont furent longs, nous les voyons commencer en 1837 à propos
de celui des Petits-Murs, dont le rétablissement avait été formellement
promis, et dont nous parlerons à cet article. Mais le projet d'ouverture
de la rue qui conduisait de la place Saint-Pierre au quai Duquesne brisa
toute résistance, et la construction en fut décidée et achevée vers
1863. (Edouard PIED, Notices sur les rues de Nantes,
1906)
- Pont
Morand Premier, deuxieme et troisieme
arrondissements. Paroisses de Saint-Sirnilien et de Saint-Pierre. De
la place du Port-Communeau à la rue de Rennes. Le
pont fut appelé pont du Port-Communeau, puis pont Morand, du nom d'un
chirurgien français du XVIIIe siècle, Sauveur-François Morand, de nouveau
pont du Port-Communeau, puis enfin débaptisé pour s'appeler du nom du
Général Louis-Charles-Antoine-Alexis Morand, commandant à Nantes pendant
les Cent jours l'armée d'observation, né en 1770 à Pontarlier et mort
en 1835.
- L'ancien
pont, construit en 1755, à l'endroit occupé par l'ancienne chaussée
des moulins Coutant, était en dos d'âne et se composait de deux arches
d'un diamètre inégal, une grande au milieu et une petite vers la rive
droite. Il fut reconstruit en 1862. (Edouard PIED, Notices sur les rues de Nantes,
1906)
- Rue
du Pont-de-Sauvetout Premier et troisième
arrondissements. Paroisse de Saint-Nicolas pour les numéros impairs,
et de Saint-Similien pour les autres. De la rue de la Boucherie à la
place Bretagne. Les douves de Saint-Nicolas
furent creusées en 1591 à travers les rochers de Sauvetout pour essayer
de changer le cours de l'Erdre, mais, en raison de la dépense, on dut
renoncer à l'exécution complète de ce travail. Les vieilles douves devinrent
la rue. C'est dans ces douves qu'étaient portés, à dos de chevaux, les
bourriers et les immondices relevés dans la ville par les hocquetiers,
qu'on dénommait «des jailloux, les lanciers de la poterne ». Les eaux
des marées venaient chaque jcur baigner ces dépôts, mais le retrait
n'entraînait qu'une faible partie vers le fleuve, et le curage des fossés
ne se faisait qu'alors que l'entassement était devenu tel qu'on ne pouvait
plus en reculer l'enlèvement. Après avoir été appelée rue Cornic, rue
Castiglione, la rue fui désignée sous son dernier nom. La porte de Sauvetout
faisait partie de l'enceinte dont Pierre de Dreux avait entouré le faubourg
Saint-Nicolas. Par dehors, elle était. précédée d'un ouvrage avancé
muni, à ses angles extérieurs, de deux tours très inégales et qui défendaient
l'entrée du pont jeté comme au delà sur le fossé. Dans une de ces tours
logeait le bourreau. Elle a été démolie vers 1790. L'autre, celle de
l'est, existe encore, très bien conservée, cachée par les maisons modernes
4 et 6 de la rue du Pont-Sauvetout, et descend jusqu'au fond du fossé
au niveau du quai. Le pont, bâti en pierres en 1601, en 1723, en 1811,
fut enfin rétabli en 1837. (Edouard PIED, Notices sur les rues de Nantes,
1906)
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