Livre d’Or d’octobre 2010

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Par contre, je réponds à toute question d’intérêt général si elle relève de ma compétence et je réponds toujours à ceux que je considère comme mes amis.

Chaque premier du mois une telle feuille est à votre disposition : remerciements, commentaires autres que ceux des sujets du blog, questions intéressantes et non personnelles… Ces feuilles sont toutes accessibles dans la catégorie Livre d’Or colonne de droite de ce blog.

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20 réponses sur “Livre d’Or d’octobre 2010

  1. Bonjour

    J’ai un petit complément d’info concernant Pierre Lemesle Metayer au Grand Courgeon du Lion
    à son mariage avec Jacquine Verger il était veuf de Renée Rochepault dont il a eut 5 enfants dont 2 avec descendances
    Mariage de Pierre Lemesle et de Renée Rochepault
    le 25/06/1617 au lion
    5 enfants
    Mathurin 27/07/1618 le Lion
    Jeanne 02/09/1619 le Lion
    Renée 31/05/1621 le Lion
    Perrine 01/06/1624 le Lion
    Anne (Sosa 7103) 06/09/1627 le Lion
    Renée Rochepault est dcd au lion le 09/09/1627
    Renée et Anne ont eut des mariages nons filiatifs
    Renée avec Jacques Riveron au lion le 24/04/1640
    Anne avec Jean Pouissaye (Sosa 7102) à Bourg le 15/05/1653
    Je Descends comme vous de leur Frère Jacques Lemesle(Sosa 1688)

    Cordialement

      Note d’Odile :
      Mille fois merci, et j’ai passé grâce à vous un bon moment en ligne, sur tous ces actes, et d’autres, que j’ai soigneusement retranscrits, avec mes innévitables commentaires. Cela m’a rajeunie de 22 ans ! et depuis je dois avouer que mes Lemesle étaient un peu oubliés… de moi.
      J’ai mis à jour mon document en vous citant, mais je me permets d’attirer votre attention sur une petite nuance, par rapport à vous. Le remariage de Pierre Lemesle n’indique par qu’il est veuf. Par contre, vous avez raison, le lieu du Grand Courgeon étant précisé dans des baptêmes du premier lit, et du remariage puis des baptêmes du second lit, c’est bien le même Pierre Lemesle et le résultat est donc bien le même, seule la justification change. J’ai d’ailleurs surligné les mentions du lieu dans mes retranscriptions, puis j’ai fait une synthèse précise des dates des actes qui citaient le lieu du Grand Courgeon, afin d’appuyer la justification.
      Ceci dit, mon expertise en matière d’actes notariés de cette époque, me permet d’affirmer qu’un bailleur ne changeait pas comme cela de métayer, et qu’il y avait à la fois beaucoup de confiance et de continuité dans les baux autrefois.
  2. bonjour
    je viens de lire votre article sur André THOREAUX fils de chirurgien et la transcription du brevet de Chirurgien
    Merci pour ce document
    je souhaiterai faire une recherche sur un Maitre chirurgien du Finistère ayant vécu de 1658 à 1728
    auriez vous une idée pour retrouver les villes dans ce département où existaient en 1713 ( première mention trouvée de sa fonction de maître Chirurgien) une communauté de Maîtres Chirurgiens?
    cordialement
    Claude
    P.S.Bravo pour votre travail

      Note d’Odile :
      Il vous faut consulter l’inventaire des Archives Départementales du Finistère. Si vous habitez le Finistère, le mieux est de vous rendre aux Archives. Si vous n’habitez pas le Finistère, je vous signale que la plupart des Archives Départementales détiennent des inventaires des autres départements.
  3. Bonjour

    ci joint autres renseignements
    Pierre Lemesle dcd entre 1652 et 1659 et Jacquine Verger entre 1659 et 1667
    Jacquine Lemesle leur fille dcd au lion 26/02/1695
    Mathurine Lemesle leur fille dcd au lion 23/06/1681

    Jacques Riveron x Renée Lemesle
    Jacquine Riveron née le 07/04/1641 au lion
    Jean Riveron né le 06/05/1643 au lion
    Jacques Riveron est dcd avant 1667 (peut être à Pruillé en 1665)
    Renée Lemesle après 1667

    Jean Pouissaye Charron né le 24/08/1629 à Bourg et dcd à Feneu le 20/04/1680
    Anne Lemesle est dcd à Feneu le 15/04/1680
    ils ont eut 8 enfants au moins
    les parrains et marraines des 1er nés ne donnent pas d’indications
    par contre les derniers nés, les parrains et marraines donnent des indications sur la famille lemesle comme si ils habitaient plus près et donc se déplacaient(en général la famille proche sont p et m des 1er nés )
    René (01/03/1654 Bourg – 10/11/1655 Bourg
    André (19/02/1655 Bourg – 05/04/1662 Bourg
    Jean (28/09/1657 Bourg – Apres 1721 Marchand à Feneu
    Pierre (27/05/1659 Bourg – après 1692 Marchand
    Anne (01/08/1661 Bourg – 20/10/1661 Bourg)
    Julien (01/04/1665 Feneu – apres 1690
    Renée (29/08/1667 Feneu – 23/03/1681 Feneu)
    Marie (05/04/1671 Feneu – 26/03/1716 Pruillé) sosa 3551

    sur les mariages suivants on retrouvent des signatures Lemesle
    Jean Pouissaye x 06/10/1682 Feneu Jacquine Bernier °vers 1650 Thorigné
    Marie Pouissaye x20/06/1690 à Pruillé Jean Lépicier (° vers 1646 à Sceaux +18/01/1694 à Pruillé)
    Marie Pouissaye x21/09/1694 à Pruillé Claude Laillé (° 11/04/1670 à Feneu +26/12/1727 à Pruillé) sosa 3550

    Jacques Lemesle (ép Gallon) Signe Lemelle
    François Lemesle son fils Signe Lemesle

    Couple Pierre Lemesle et Catherine Ollivier
    Catherine Ollivier sosa 845 (°14/04/1688Montreuil sur Maine+15/12/1760 Le Lion d’Angers)
    Pierre Lemesle leur fils est né à Thorigné d’Anjou le 29/08/1713
    Leur fils Jacques sosa 422 est dcd à Brain sur longuenée le 13/04/1795
    x28/10/1755 à Brain sur Longuenée avec Perrine Etiennette Poirier(°30/01/1736 Vern +31/10/1772 Brain)
    la famille Lemesle est resté sur Brain jusqu’au début du 20ème siécle au moins

    Autres infos divers
    Antoine Lemesle et Renée Babin sont d’Andigné
    Mathurin °09/04/1638 à Andigné
    le couple François Lemesle et Marie Fromy n’est autre que le couple Jean Lemesle et Marie Fromy
    François leur fils est né au lion 20/01/1715

    au niveau du couple Lemesle / Rochepault / Verger, je n’ai pas d’autres renseignements qui apporteraient de l’eau au moulin
    Cordialement
    Stéphane

      Note d’Odile :
      Merci, j’ai eu du courage ce matin, et j’ai tout repointé, avec mes remarques habituelles.
      J’ai une hypothèse un peu différente de la vôtre en ce qui concerne l’absence de parentèle Lemesle dans les 6 premiers baptêmes Poissais, car je ne crois pas que 17 km aient été un obstable plus grand que 13 km, car autrefois on faisait souvent 25 km à pied pour un oui ou un non. Je suppose que le mariage n’avait été du goût des parents. Cela arrive ! Et les frères et soeurs auront attendu la disparition des parents pour renouer…
  4. Bonjour

    effectivement, c’est une autre hypothèse,
    Si je ne me trompe il aurait pu s’opposer à ce mariage?? alors pourquoi rompre avec son gendre après le mariage.
    Suite à une dote non versée, c’est le gendre qui aurait rompu avec le beaupère (Cela ne concernait donc pas les Riveron)
    J’ai du mal à croire que Pierre Lemesle Metayer a accepté le mariage de sa fille avec une personne qu’il ne connaissait probablement pas. En général les filles épousent quelqu’un du coin
    La famille Lemesle / Rochepault n’a pas de famille proche sur cette commune(à moins qu’il soit parent avec les Lemesle de Bourg)

    Pour la famille Riveron, ils se sont bien rapprochés
    Renée Lemesle est dcd à Feneu le 03/06/1689
    Sa fille jacquine s’est mariée à la membrolle avec François Séard le 14/11/1672 non filiatif
    Pierre et Jacques Riveron sont nés également au lion
    le 18/10/1646 et le 14/02/1649

      Note d’Odile :
      Même majeur, le futur et la future, devaient demander l’avis des parents. Cela porte le nom de SOMMATIONS RESPECTUEUSES. Si les parents n’étaient pas d’accord, ils pouvaient passer outre une fois majeur (25 ans), mais cela signifiait qu’ils se passaient de dot.
      J’ai déjà mis de tels refus sur mon blog. Ils sont rares mais réels, et le plus souvent la dot et les pourparlers financiers étaient à l’origine du conflit. Si on considère que Pierre Lemesle avait plusieurs enfants à marier et qu’il était métayer, même si le métayer est un exploitant aisé, cette aisance est toute relative, et ne permet pas des dots mirobolantes.
      Pratiquement, au décès des parents, ces exclus provisoirement de dot, étaient héritiers comme les autres, et même plus que les autres puisque les autres devaient rapporter leur dot dans le calcul de chaque part, alors qu’eux rapportaient ZERO. On peut même supposer que lors des partages, les autres frères et soeurs ont ainsi rencontré leur soeur et beau-frère mal aimés, et ne les ont pas jugés si mal.
      Vous avez vu que j’ai mis qu’il faudrait trouver à quel titre Plassais est un oncle en 1659, car pour ce qui est de Jacques Verger, qui me concerne, j’avance doucettement.
      Je pense que nous ne trouveront pas la succession de Pierre Lemesle et Jacquine Verger, car j’ai pris les actes notariés qui concerne les Lemesle, qui ne commencent en fait qu’en 1688 avec la curatelle de Jacques Marion, qui avait pour mère une Verger, donc n’est pas à proprement parler votre parent.
      J’ai par ailleurs aperçu une curiosité qui vous concerne. En effet, il semblerait qu’il y est deux Renée Rochepault mariées la même année 1617 au Lion ! Cela compliquera les choses compte tenu de la brièveté des actes de mariage.
      J’ai vu comme vous l’existence de Lemesle à Bourg, mais le patronyme est présent dans de nombreuses paroisses et pour le relier, il faut des preuves… Je dirais que le métier devra impérativement être celui de métayer, car un bailleur ne cédait aucun bail à autre que compétent et connu comme compétent, ce qui laisse d’ailleurs supposer que le bailleur du Grand Courgeon connaissait soit les Rochepault soit les Lemesle, et souvent pour un couple de jeune mariés, l’un de pères était co-preneur du bail, en quelque sorte cela était une forme de caution pour le bailleur.
  5. concernant la famille Verger

    Jacques Verger et Mathurine Thibault
    Jeanne Verger °24/02/1615 Andigné
    Sébastien Verger °25/01/1618 Andigné
    Renée Verger °26/11/1620 au Lion
    Michelle Verger °25/10/1625 à Andigné
    Jacques Verger °27/09/1628 à Andigné
    Plusieurs famille

    Michel Verger(dcd le 01/06/1648 au lion) x 20/09/1632 au lion Jeanne Rochepault(explique sa présence à un baptème Lemesle) – on eut 7 enfants sur le lion
    Renée Verger dcd au lion le 04/12/1679 79ans dite veuve de Jean Berthelot sans doute sans descendance présent les lemesle et les plassais
    Jeanne Verger dcd le 29/05/1691 au lion dite veuve de Jean Fourmy
    Renée Verger(sans doute née en 1620 fille du couple Verger / Thibault) dcd au lion le 07/02/1705 veuve de Jean Plassais dcd au lion le 14/04/1665

    ne s’agirait il pas d’un double mariage Verger
    le premier avec x x dcd avant 1615
    et le 2ème avec mathurine Thibault

    je viens de retrouver le mariage de Jean Plassais et de Renée Verger, je descend de ce couple et quand je l’avait relevé je n’avait pas pris la page, il se trouve donc page 80 du registre 1586-1664 du Lion il est filiatif
    je ne vous ai pas mentionné le mariage de Jeanne Verger et de Mathurin Berthelot le 13/02/1627 à SMB car elle n’a que 11 ans à l’époque il s’agit sans doute du mariage de Renée Verger et de Jean Berthelot, il est dit que Renée ou Jeanne est la fille de N Verger et de N Thibaut du Lion

    Plassais / Verger
    Jacques °Andigné 27/02/1648
    Jean °Lion 09/09/1649
    Pierre °Lion 31/03/1652
    Louise °Lion 11/07/1654
    René °Lion 19/11/1656
    Charlotte °Lion 24/08/1660

    Verger / Rochepault
    Jean et Mathurine °Lion 20/06/1633
    Jacquine °Lion 27/08/1634
    Sébastien °Lion 24/02/1637
    Jacques °Lion 09/08/1640
    René °Lion 30/09/1641

    Mathurine Thibault dcd au lion le 31/10/1639
    Jacques Verger dcd au Lion le 24/08/1645
    ils sont de la métairie du Tremblay du Lion


      Je viens de mettre le résultat de mes relectures et recoupements divers dans le fichier LEMESLE.pdf
      Il s’avère qu’on pourrait non seulement mettre Jacquine Verger issue d’un 1er lit de Jacques Verger, mais d’autres encore, et même sans doute Perrine Verger épouse d’Etienne Verdon, qui a l’air d’avoir épousé un notable.
      Cela fait bien des descendants de Jacques Verger.
      Et, je vous ai même ajouté les impôts payés en 1644, que j’avais relevé autrefois, et qui sont disponibles sur ma page du Lion-d’Angers. Ils sont tous métayers, et à ce titre les plus taxés sur le rôle de la taille.
      Il y également un Me Sébastien Verger qui m’intrigue… à suivre
  6. Cela vous intéresse?
    Décès de MORIDE Edouard Victorien : 22 juin 1897 à Paris, 7e arrondissement (voir Archives de Paris, 7e arr., 23/06/1897,V4E 8645

      Note d’Odile :
      Merci. C’est sympa, car j’ai tant travaillé autrefois cette famille, et surtout ce grand chimiste.
  7. Bonsoir

    suite à la lecture de votre index sur la Taille du lion, j’ai été relativement étonné, Si j’avais dut nommer mes ancêtres les plus aisés sur cette commune en 1644 j’aurai cité Pierre Marion Tanneur(20) Claude Grollier Pintier(12), Jacques Gallon Chappelier (10) ou encore Pierre Tucault Chirurgien(meme pas cité) et certainement pas les veuves Boivin (116)Ménard(92), les Thibault Maurice(113) et Mathurin (100)
    Est il possible que des personnes habitants Andigné s’acquittent de leurs impot sur le lion Famille Chimier ?

      Note d’Odile :
      Je pense qu’il faut que je fasse une page sur cet impôt sur mon blog, expliquant son mécanisme Par contre je peux déjà vous préciser qu’il ne se paie que par les résidants sur la paroisse concernée par le rôle.

    Suite de renseignements
    Jacques Marion dcd à M/M 09/11/1665
    Mathurine Verger dcd à M/M 23/12/1680
    Jacques Marion fils dcd à M/M le 18/12/1677 x vers 1665 à Jeanne Thibault (04/05/1638m/m – 28/11/1676 à m/m)
    Leurs fils Jacques qui serat sous la tutelle de Jacques Lemesle est né à m/m le 11/07/1675
    Pierre Marion(fils Marion/Verger)sosa3314 est dcd à M/M le 08/10/1676 x Louise Bouvet Sosa 3315 (17/10/1644M/M – 25/05/1698Marans)
    Etienne Fourmy né à Gené 29/01/1646
    Pierre Poisses P110 haut à droite
    Joseph Marion (°16/07/1645 à M/M
    Jacquine Marion (°16/07/1645 à M/M – +25/10/1714 à M/M)
    Jeanne Marion (°10/09/1649 à M/M – +07/11/1676 à M/M)
    Renée Marion (°10/09/1654 à M/M – +15/05/1697 à Lion)
    Jeanne Lemesle Veuve Levesque dcd au lion 27/07/1680
    Mathurine Lemesle épouse Ménard dcd au lion le 23/06/1681

    Je descends de Mathurine, Jacquine et Renée Verger

    Pour la famille Gallon
    Jeanne Gallon (°28/04/1648 au lion +06/02/1710 au lion)
    Marie Gallon (°—- +07/07/1700au lion)
    Anne Gallon (°10/10/1644 au lion +apres 1701)x Pierre Dubois au Lion le 09/04/1663
    Jacques Gallon dcd au Lion 20/08/1661
    il est peut être né au lion le 06/04/1610
    Jeanne Loyseau est fille de x Loyseau et de x Coquereau
    il arrive que le patronyme de la mère de l’enfant soit remplacé par celui de la grand mère maternelle

    à titre indicatif voir la naissance de Louise Thibault le 17/03/1610 la marraine est Mathurine ThIbault de la Tremblay sachant qu’entre 1610 et 1615 pas de naissance Verger sur le lion n’y sur andigné et que sur ces 2 communes il n’y a pas de lacunes pour cette periode, Jacques Verger à peut être repris la métaierie de ces beau parents vers 1614

  8. je crois que je vais monter une petite généalogie sur cette famille Moride. J’ai enfin compris pourquoi Edouard Victorien Moride était témoin lors du mariage de mes arrière grands parents…Quand je serai bien avancée je vous l’envoie si vous le désirez

      Note d’Odile :
      Voyez tous mes travaux sur les MORIDE.
  9. Mr HALBERT, Your Denyau caught my attention since my early relative from France was a Denyau.Pierre was born 1575 Aigerfueille de Montbert and his son Jean went to New France 1653. Unfortunate your list is of diferent family but just to see otherlike yours was exciting. You make it clear you can not correspond to the many notices your work generated but a note of recognition is acceptible I hope. my note say that earlier generations used Deniaulx. Ihope that is correct. Have continued good luck on your projects Bonne Chance.Ernest USA

      Note from Odile :
      Best thanks for congratulations.

  10. Bonsoir
    Au sujet des Regnault de la Coulonche

    le 3/6/1692
    …. Marin Renault fils de Léonard et de Marie Mézange de la paroisse de la Coulonche et Madeleine Lequeu fille d’Aubin et de Margritte Lecoq de la paroisse de Méheudin ….
    Méheudin près d’Ecouché
    AD 61 Méheudin vue 29 (il n’y a qu’un registre de BMS).
    Cordialement,
    JP B

      Note d’Odile :
      Merci beaucoup.

  11. Bonjour,
    Je viens de découvrir votre site en l’abordant par l’angle de recherche de notre revue associative « Les cahiers du baugeois », devenue « Revue d’histoire angevine »: histoire du Baugeois et plus génaralement de l’Anjou.
    Je me rends compte que nous poursuivons le même but avec une optique assez semblable: partir des documents bruts et diffuser tout ce que nous pouvons trouver, sachant qu’il n’y a pas de « grande » histoire qui s’opposerait à une « petite » histoire. Cet objectif conistant à mettre à disposition du plus grand nombre est essentiel pour notre association.

    Détail important, nous existons depuis plus de 20 ans et publions une revue trimestrielle, qui est vendue à prix coutant dans les maisons de la presse, librairie Richer sur Angers et par abonnement. Votre site est l’exemple du support que nous souhaitons adopter à terme pour la revue.

    Question de principe: plusieurs de vos articles auraient tout à fait leur place dans notre revue, car concernant l’Anjou et partant de documents originaux. en particulier les lettres du Grenadier Jean Guillot sont à divers points de vue d’un très grand intérêt. Serait-il possible de publier avec votre signature et vos références cette étude? de même pour d’autres réalisées à partir d’actes notariés? Bien sûr toute parution s’accompagnerait de l’envoi d’un exemplaire à votre intention.

    Petit commentaire sur les difficultés rencontrées avec certains interlocuteurs exigeants et excessifs: nous connaissons la même chose. Y compris des personens qui veulent tout de suite en librairie un numéro paru il y a un moment. En fait ils nous prennet pour Hachette…. alors que nous somems associatifs et que nous tirons à 200 exemplaires…..

    Cordialement,

    Marc BERARDI

    Merci pour votre réponse

      Note d’Odile :
      Merci de vôtre intérêt, rare de la part d’une association, car le plupart d’entre elles se contentent de prendre mes données, sans vergogne, et au mépris du respect des droits d’auteur, car un site et un blog sont une publication au même titre que le papier.
      Effectivement, la diffusion de l’histoire locale pose un problème, dont j’ai cruellement souffert tout au long de mon existence, habitant la banlieue de Nantes, et ne pouvant fréquenter la librairie Richer à volonté. Je me souviens de mon achat de l’ouvrage de Célestin Port, il y a une trentaine d’années, et même pour lui, j’avais dû prendre un jour de congé et me rendre chez Richer.
      En évitant ce piège local, j’ai diffusé beaucoup plus largement l’histoire locale, et je suis lue dans beaucoup de pays, qui autrement n’auraient jamais pu y accéder, et ce de façon dynamique.
      Mon blog reçoit quotidiennement 2 300 visites, dont il faut éliminer un bon tiers pour les moteurs, et un autre tiers pour ceux qui sont tombés dessus par recherches sur les moteurs, mais n’avaient aucune envie de poursuite.
      Reste un bon tiers, soit environ 7 à 800 visiteurs quotidiennement fidèles, ce qui justifie pleinement le choix que j’ai fait de faire connaître à tous, même si je dois inlassablement répéter que mon site et mon blog relèvent du droit de propriété intellectuelle et si je suis pillée quotidiennement au mépris de ce droit.
      Reste néanmoins que j’ai bien compris votre message, et que vous méritez amplement une réponse plus directe, car les lettres de Jean Guillot sont en effet dignes d’intérêt, et j’y songe souvent, pour tout un tas de raisons, allant de l’éducation d’autrefois, hélas disparue en 2010, jusqu’à la spéculation sur les grains etc…
      Je vous contacte directement, et encore merci de m’avoir contactée
      Odile Halbert
      PS : le lien vers votre page Internet pose un problème, merci de le vérifier.
  12. Madame,
    Lu avec intéret l’article sur René Furet.
    Etant de Cherré et étudiant cette paroisse il me semble que la vigne ne soit sur cette paroisse. En effet, en lisant les confronts de la vigne, je n’ai jamais trouvé, pour cette période, les propriétaires des parcelles voisinantes et les lieux me sont inconnus. Le dernier confront dit : abouctant d’un bout au chemyn tenant de la Varenne à Angers.

    Par ailleurs, je rends hommage à votre remarquable travail.

      Note d’Odile :
      Merci pour votre vigileance. J’étais pressée de partir prendre le train ce matin pour Angers, et j’ai baclé mon ouvrage, c’était Charcé !
  13. Madame,

    Nous sommes des élèves de terminale Bac Pro au lcyée Edmond Michelet à Etriche dans le Maine et Loire. Dans le cadre de notre formation, nous devons effectuer un projet en partenariat avec l’association « rando des trois rivières » dont le siège se situe à Juverdail. L’action qu’ils nous ont confiée consiste à répertorier les personnes qui empruntaient les chemins pédestres pour effectuer leur profession. C’est pour cette raison que nous vous contactons. Nous vous demandons votre aide si cela ne vous dérange pas. Votre aide nous serait précieuse pour finaliser notre actions . Je vous prie Madame d’agréer nos sincères salutations.

    Les élèves de terminal Bac Pro

      Note d’Odile :
      Je ne connais que le 16ème et le 17ème siècle.
      J’ai effectivement quelques actes concernant Juvardeil pour cette période seulement.
      Par contre votre question est fermée et très curieuse, et pour tout vous dire je ne l’ai pas comprise pour les raisons suivants.
      1 – jusqu’à l’arrivée du chemin de fer et de l’automobile, la majeure partie des marchandises circulaient par voie d’eau, et les trois rivières la Sarthe, la Mayenne et le Loire étaient très fréquentées. Le long des rivières existaient des chemins de halage.
      2 – le nom de l’association « rando des trois rivières » est à ce titre anachronique, car elle recouvre une activité de loisirs qui n’existait pas autrefois sur terre, dans une région où tant circulait sur l’eau ! http://rando3rivieres.free.fr/accueil/index.html
      2 – jusqu’à cette même arrivée du chemin de fer et de l’automobile, l’immense majorité de la France de déplaçait à pieds, et quelques marchands et notables et petits nobles à cheval, et la haute noblesse en voiture à cheval. Une grande partie des chemins suivaient les rivières, même ceux des pélerins, très nombreux autrefois, surtout pour monsieur saint Méen que vous trouverez sur mon blog.
      3 – peu de marchandises circulaient au loin, à l’exception des toiles partant pour l’Espagne etc… et des poëles et autres chaudrons et produits de la forge (voir ma route du clou sur mon site http://www.odile-halbert.com/Paroisse/normand/emigre.htm) arrivant en Anjou, et bien sûr les bêtes vendues sur les foires. Le sel, quelques épices etc… Les objets quotidients de la cuisine ou de la culture de la terre, étaient fabriqués sur place par le maréchal taillandier avant l’industrialisation.
      4 – les colporteurs et petits merciers circulaient la hote sur le dos, c’est aussi sur mon blog
      5 – il existait peu de métiers d’artisans dans des paroisses comme Juvardeil et environs, et j’ai mis sur mon site des rôles d’imposition qui donnent les métiers, ce que vous pourrez aller lire
      6 – pour le but pédagogique de votre travail, je vous suggère d’aller faire une recherche aux Archives Départementales du Maine et Loire rue de Frémur à Angers, et d’y consulter, en usuel, l’ouvrage suivant « Atlas Historique Français (2 volumes, sous la direction de François Michel) » qui contient des cartes reconstitués pour l’explication, et aussi du texte.
      7 – enfin vous retrouverez le tracé des anciens chemins sur le cadastre Napoléonien en ligne sur le site des Archives Départementales du Maine et Loire
      8 – et beaucoup d’actes que je retranscris inlassablement sur mon blog, vous donnent avec les bornages, des noms de chemins.
      Odile
      Autrefois on marchait toujours beaucoup, et à mon avis jusqu’à 25 km par jour à pieds, mais pas pour les loisirs, pour le travail, et aussi pour aller aux fêtes de famille.
  14. 25 km est en effet l’estimation moyenne d’un déplacement journalier. Il s’agit d’ailleurs souvent de la distance approximative entre deux villes d’une relative importance (pour les nuitées).

      Note d’Odile :
      Oui, merci. Et à cheval, pour ceux qui pouvaient se déplacer ainsi et pour les messageries ancêtres des postes en Anjou, c’était 40 km par jour.
      J’ai oublié de cité aux jeunes plusieurs sources intéressantes :
      Robert FAVREAU Atlas historique de l’Anjou, Paris, I.G.N., 1973
      François LEBRUN et ses ouvrages sur l’Anjou
      et enfin le Geoportail, qui permet de cliquer sur les cartes IGN et aussi sur les cartes de CASSINI.
      et j’ajoute à l’attention des élèves de terminale que toutes les biliothèques sont en ligne et qu’ils trouveront donc à localiser les ouvrages soit aux Archives Départementales soit à la Médiathèque d’Angers.
  15. Bonjour Madame,
    Vu et lu hier aux AD un mariage de René Pancelot a Cherré en 1676. Série 5 E 352 en début de liasse . Egalement un document de 1675 ou il habite à la Fagerie.

    Ces documents peuvent vous intéresser pour l’étude de cette famille.

    Je lis avec délice vos transcriptions tous les matin.

      Note d’Odile :
      Merci. C’est probablement un collatéral, et je prends note de votre référence, mais je suis sans ascenceur pour plusieurs semaine, nichée en haut de ma tour, avec les faucons crécerelles, et les Archives du Maine et Loire sont bien loin à perte de vue de ma banlieue nantaise sans ascenceur. Le travail avance, et j’aurai d’ici quelques semaines retrouvé ma mobilité. Le blog continue, car il me reste l’informatique.
  16. Madame,

    Nous avons bien reçu votre réponse du 23 novembre 2010 courant et nous vous en remerçions.
    Toutefois, il y a eu une incompréhension concernant notre projet professionnel, en effet le président de l’associations « rando des trois rivières », nous a demandé de rechercher les métiers d’autrefois dans le but de perfectionnement la culture général des personnes utilisant ses chemins.
    Or, les renseignements que vous avez envoyés concernes davantages les loisirs, c’est pourquoi nous aimerions obtenir plus d’informations sur des métiers ancien et traditionelle du Maine et Loire qui aller de village en village.
    Nous vous remercions encore une fois de votre aide en espérant une réponse de votre part .

    Merci, les terminales bac pro

      Note d’Odile :
      Je comprends de moins en moins ce que vous voulez, car je vous ai parlé de loisirs pour la période actuelle, mais certainement pas pour la période qui couvre mon blog, à savoir le 16ème et le 17ème siècles.
      Je vous ai PEDAGOGIMENT suggéré des ouvrages en médiathèque, à aller consulter, car Internet n’est pas la méthode de recherche à tout faire, et je tremble à l’idée que vous considériez les recherches uniquement via internet. J’en suis même très triste.
      Parmi les ouvrages disponibles dans ma modeste médiathèque de Saint Sébastien sur Loire, donc a priori, dans toutes les autres médiathèque, il y a de multiples ouvrages sur les vieux métiers, que je vous suggère aussi de consulter
      Sur mon blog, il vous était facile dans les fenêtres de recherche, de trouver une page sur les colporteurs, qui eux, étaient sur les chemins.
      Si on vous a demandé un travail, cela n’est pas pour le faire faire par d’autres, mais pour faire vous même des recherches en médiathèque
      Si les membres de l’association des trois rivières ont envie de se cultiver, mon blog tout entier est à leur disposition, et ce n’est pas en passant par vous qu’ils se cultiveront, car je pense que vous être trop jeune pour avoir bien saisi l’énorme différence qui existe entre les chemins d’antant (ma période du 16eme siècle) et ceux d’aujourd’huy, et je pense que les adultes, et les retraités, ont tout autant de compétence pour naviguer sur Internet que vous. Je ne comprends d’aillerus pas pourquoi ils sont passés par vous pour me poser la question.
      Donc, voyez avec votre professeur, le but pédagogique du travail qui vous a été confié, et que dans un but pédagogique vous devez faire des recherches vous même en médiathèque ou aux archives.
  17. Egalement suivre l’archive il habite à La Fagerie.en 1875 lire acte

    Bonne retraite cela permet de prendre du recul !

  18. Bonjour Madame,

    J’ai l’acte de testament (8 pages)de Margueritte Pancelot veuve de Jehan Hunault du 21/01/1633.

    Si vous voulez le consulter donnez moi une adresse électronique pour que je puisse vous transmettre ce document qui vous intéresse je pense.

    Bonne journée.

  19. Bonjour,
    Je travaille en ce moment sur votre document relatif à la famille Jarnigan ancêtre de ma famille par Mathurine Jarnigan épouse de Pierre Coupprie.
    Et là ou vous semblez être comme un poisson dans l’eau, moi j’ai beaucoup de mal à m’y retrouver.
    dans l’entête vous notez que Nicolas Jarnigan et Michelle Belliart sont mariés avant 1579. Vous devez avoir un indice que je n’ai pas compris, pour donner cette date.
    En effet , j’ai repris les actes de baptême de Basse Goulaine et comme vous, je trouve seulement le 25 mars 1584, le baptême de leur premier enfant Fleurie Jarnigan. Peut être apparaissent -ils comme parrain et marraine dans un acte de 1579, j’ai cherché mais je ne trouve pas.
    Peut- être un acte notarié mais vous avez le privilège d’être près des archives dep. non accessibles par le web.
    Je voudrais aussi vous signaler que Pierre Jarnigan, fils de Nicolas et Michelle Belliart a été baptisé le 24 mars 1592 à Basse Goulaine et non pas en 1593 comme indiqué dans le document
    « Du vingt quatre iesme jour de mars l’an mil cinq cens quatre vingt douze fut baptisé Pierre fils Nicollas Jarnigan et Michelle Belliart sa feme furent compères Martin Chesneau mary de Françoize Priou et Sébastien Sauvage non marié fut commère Jacquette Chesneau non maryée par moy » Signé : Mr Aubert prêtre – document page 327 / 364 Basse Goulaine.
    Bonne journée Cordialement
    Daniel Bélivier

      Note d’Odile :
      Merci de me signaler cette erreur. J’ai effectivement écrit en ligne qu’ils se sont mariés avant 1584 dans mon paragraphe qui donne le détail du couple, et c’est le titre qui est erronné.
      J’ai de la famille chez moi durant quelques jours encore, et n’ai pas de temps libre pour mettre à jour le documente Jarnigan compte tenu de vos remarques. Merci de patienter donc une semaine.
      Odile
  20. Bonjour,
    merci de votre réponse, mais rien ne presse, depuis 400 ans ont passé et on n’est plus à un mois près.
    Voici des questions que je me pose après étude de cette famille Jarnigan, j’avoue que je bloque devant autant de redondances.
    Dans votre document, Je ne comprends pas comment vous trouvez que Michelle Belliart peut être la grand mère de Catherine Jarnigan, fille de Julien et Mathurine Coupperie car elle n’a pas eu d’enfant prénommé Julien (je n’en ai pas trouvé)
    Selon moi, elle pourrait être une tante de Catherine, si son mari Nicolas Jarnigan est le frère de Jullien Jarnigan, mais je n’ai rien trouvé à ce sujet.
    J’en étais donc resté au fait que Jan Jarnigan (° 4/06/1589) avait épousé Catherine Jarnigan (°2/09/1612) malgré les 23 ans d’écart cela restait possible pour donner ensuite naissance à Mathurine Jarnigan le 24/06/1634
    Mais comme vous l’indiquez justement, il existe 2 Catherine Jarnigan ayant pour parents Jullien Jarnigan et Mathurine Coupperie ( mais est-ce un couple ou 2 couples différents):
    Catherine Jarnigan (1°) °le 2/09/1612 (pg 52/267) et Catherine Jarnigan (2°) °le 15/02/1624 (pg 110/267) et les deux pourraient avoir épousé Jan Jarnigan
    Le bonus étant que dans l’acte de baptême de Catherine (2°) que je n’ai d’ailleurs pas réussi à déchiffrer complètement la marraine est aussi Catherine Jarnigan épouse de Jan Jarnigan : difficile de croire qu’il s’agit de Catherine (1°) qui n’a alors que 12 ans.
    «Le quinziesme jour de febvrier mil six centz vingt quatre a esté baptizée par moy missire Pierre Gestis vicaire de Basse Goulaine Catherine Jarnigan fille de Jullien Jarnigan ???? (dit couppery ?)… et de Mathurinne Couppery ses père et mère et a esté parain Jullien Chataigner mary de Janne Leroy et a esté marainne Catherine Jarnigan femme de Jan Jarnigan faict par moy »

    pour résumer voici la filiation telle que je l’avais construite au départ mais je n’en suis plus si sûr au vu de ce qui précède :
    D’un côté Nicolas Jarnigan et Michelle Belliart qui donnent naissance à Fleurie°1584, Yvonne°1587, Jan °1589 et Pierre °1592 Jarnigan
    De l’autre côté Jullien Jarnigan et Mathurine Coupprie qui donnent naissance à Catherine°1612, Nicolas°1616 (parrain jan Jarnigan marié avec Catherine Jarnigan marraine Mathurine Couppery), Vincent °1617, Julien °1621, Catherine°1624 Jarnigan
    Pour continuer Jan Jarnigan °1589 épouse Catherine Jarnigan °1612 et donnent naissance à Mathurine °1634 et Pierre °1638
    voilà l’état de mes recherches, si ça peut vous éclairer… je dois dire que je suis de plus en plus dans le brouillard
    Cordialement
    Daniel Bélivier

    Bonsoir,
    Pour info
    J’ai oublié de vous parler de l’acte de décès de Jan Jarnigan né en 1589 – pg 70/91 registre des sépultures 1629-1668. Ce pourrait être le mari de Catherine Jarnigan qui était veuve en 1671 quand elle est décédée :
    “Le vingt huitiesme jour de novembre mil six cent soixante et un a esté inhumé, dans l’église de St Brice de Basse Goullaine, le corps de Jan Jarnigan fils Nicolas par moy soussigné. Signé : Branger vicaire ”
    bonne soirée
    D Bélivier

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