Nomination d’un nouveau chapelain à la chapelle de la Vallée au Pouriel, Saint Aubin Fosse Louvain 1673

Bien que ce bénéfice ecclésiastique soit de nos jour situé en Mayenne, il avait été fondé par Michel Lepouriel, dont les héritiers en 1673 sont Normands.
La fondation est manifestement plus ancienne, et on ignore à ce stade la date de la fondation, et souvent les fondations sont assez anciennes et peuvent remonter au 15ème siècle voire plus tôt.
Pour nommer le bénéficiaire, il y avait une règle de succession, à savoir que ce sont comme dans le partage noble, les garçons de la branche aînée, qui sont habilités à présenter un chapelain.
Comme ici, ce sont des Pottier, il faut en conclure que ces Pottier sont les représentants en ligne aînée du fondateur, donc ce Lepouriel avait sans doute une soeur mariée à un Pottier, à moins que l’alliance Pottier soit une génération suivante.
Certes, le notaire en 1673 nomme ces héritiers de la branche aînée des patrons fondateurs, mais uniquement par représentation de ce fondateur ayant le droit de présenter comme expliqué ci-dessus.

Saint-Aubin-Fosselouvain serait de nos jours en la commune de Gorron au nord de la Mayenne.

collection particulière reproduction interdite
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Cet acte est aux Archives Départementales de l’Orne, 4E153/5 Epinay-le-Comte – Voici sa retranscription (voir ci-contre propriété intellectuelle) :

Du 9 mai 1673, à Domfront, par devant nous François Guesdon (s) et Michel Quentin, tabellions royaux en la vicomté de Domfront, fut présent maistre Henri Pottier (s), clerc tonsuré du diocèse du Mans, de présent estant dans cette ville de Domfront, titulaire et possesseur paisible duement institué de la la chapelle ou capellanie de la Vallée au Pourriel, située en la paroisse de Saint-Aubin Fosse Louvain, province du Maine, sur la nomination et présentation qui lui en avait été faite par Nicolas Pottier et Jean Pottier son neveu et cohéritier, sieurs de la Fougeraye, patrons fondateurs et présentateurs de ladite chapelle ou capellanie de la vallée au Pouriels, du 14 octobre 1669, sur la collation de monsieur Le Meusnier, vicaire général de monseigneur l’illustrissime et révérendissime Phillebert Emmanuel de Beaumanoir de Lavardin, ci-devant évêque du Mans, du 20 octobre 1669, lequel Henri Pottier a de sa pure et franche volonté, par ces présentes remis purement et simplement la dite Chapelle ou Capellanye de la vallée aux Pourriaux, en toutes circonstances et dépendances entre les mains, plaine et libre disposition desdits sieurs de la Fougeraie pour y desnommer dès à présent et y faire pourvoir telle personne qu’ils jugeront bien être, comme patrons fondateurs et présentateurs d’icelle chapelle, lesquels sieurs patrons, ledit sieur Pottier a requis et instamment prié de vouloir agréer et recevoir la présente démission en faveur de Me Robert Pottier (s) son frère, aussi clerc et tonsuré du diocèse du Mans et lui accorder toutes lettres de nomination et présentation nécessaire pour être admis en son lieu et place en la possession de ladite chapelle de la vallée au Pourriais, ce que lesdits sieurs de la Fougerais patrons et présentateurs de la dite chapelle présents et stipulés par Me Charles Pottier (s), sieur du Mesnil, conseiller assesseur au bailliage et vicomté de Domfront, fils unique et présomptif héritier dudit sieur de la Fougerais présent en personne, faveur de la parentèle et amitié qu’ils portent auxdits Henri et Robert Pottier ont consenti et agréé et par ces présentes accepté la démission et remise faite par ledit Henri Pottier de la chapelle de la vallée Pourriais, et en son lieu et place ont de même voix et commun consentement nommé et présenté, nomment et présentent à Monseigneur l’illustrissime et révérendissime évêque du Mans, et pour son absence au premier de Messieurs ses grands vicaires, la personne de Me Robert Pottier, fils du légitime mariage de Me Guillaume Potier, sieur de La Denaye, conseiller assesseur et élu en la vicomté de Domfront et damoiselle Hélène de Marseille, son épouse, clerc tonsuré dudit diocèse du Mans, aspirant au sacerdoce comme personne idoine et capable pour être institué chapelain titulaire de la chapelle, capellanie ou prestimonie de la vallée aux Pourriels, située en la paroisse de Saint-Aubin Fosse Louvain, fondée et dotée par défunt Me Michel Le Pourriel prêtre, de laquelle chapellanie la collation appartient à Mondit seigneur l’évêque du Mans, lesquels sieurs nominateurs et présentateurs supplient humblement et avec révérence vouloir admettre et instituer ledit Me Robert Potier et lui octroyer toutes provisions nécessaires pour tenir et posséder la dite chappelanie, en percevoir les fruits et revenus d’icelle vacante par la remise et démission dudit Henri Pottier, titulaire d’icelle, suivant qu’il est porté par le présent acte, et ne pourra faire aucune résignation de la dite chapelle que par l’avis et consentement de ses sieurs patrons et nominateurs auxquels ledit Henri Potier a restitué tous les titres dont il était saisi concernant la chapelle, si bien qu’il en demeure quitte et déchargé et de toute réparations, respetitions des fruits et autres actions et poursuites quelconques, sans aucune réservation, fait passé et consenti audit Domfront, le jour et an que dessus, présents Me Simon Le Roy prêtre (s) et Pierre Forger (s) de Domfront tesmoins
Le 15 juillet au même an, ont comparu devant nous Nicolas et Jean Pottier, oncle et neveu, sieurs de la Fougerais, lesquels ont agréé la stipulation faite par Me Charles Pottier, sieur du Mesnil et supplient monseigneur le révérendissime évêque du Mans d’avoir agréable la nomination de la personne de Robert Pottier, leur cousin à la chapelle de la Vallée aux Pourriels, située en la paroisse de Saint-Aubin et de lui donner toute collation nécessaire fait en présence de Me Simon Le Roy (s) et Pierre Forget (s) de Domfront

collection particulière, reproduction interdite
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Si vous regardez attentivement cette carte postale, vous voyez que l’auteur, dans les débuts du 20ème siècle, l’a située en Normandie.

Odile Halbert – Reproduction interdite sur autre endroit d’Internet Merci d’en discuter sur ce blog

13 réponses sur “Nomination d’un nouveau chapelain à la chapelle de la Vallée au Pouriel, Saint Aubin Fosse Louvain 1673

  1. La commune de Saint-Aubin Fosse Louvain appartient au canton de Gorron, mais sauf erreur de ma part, elle n’a pas été absorbée par Gorron. Mais surtout, je tenais à signaler que cette paroisse tire son nom de Saint-Aubin, évêque d’Angers au VIe siècle, cela démontre que l’influence d’Angers sur le Passais manceau ou mayennais ne date pas d’hier. Bref la route du clou a des antécédents anciens…

  2. Note d’Odile :
  3. Bonjour Alain
    Parfois la France a fait tout de travers.
    Car en 1900, l’abbé Angot dans son excellent dictionnaire de la Mayenne, donne bien Saint Aubin Fosse Louvain, commune de Gorron.
    Et regardant sur Internet je découvre ahurie qu’il y aurait 243 habitants, autrement dit un petit village seulement selon les normes européennes !
    et merci pour la route du clou etc… car j’ai encore d’autres actes normands de mon côté trouvés à Angers, en particulier je viens de voir qu’il en venait de Mortain (Manche)
    Bon vote
    Bon dimanche
    Odile

  4. Bonjour Odile
    A partir de cet acte notarié, peut-on évaluer le rang social de cette famille Pottier? Vous écrivez que les règles qui régissaient les chapelennies suivaient celles du partage noble, toutefois les familles Pottier et Le Pourriel ne sont a priori pas nobles.
    J’imagine toutefois qu’être patron fondateur et présentateur d’une chappelenie vous plaçait forcément au 17e siècle très au dessus du niveau social des journaliers ou fermiers. S’adresser à l’évêque du Mans n’était pas donné à tout le monde?

      Note d’Odile :

    La fondation d’une chapellenie était en fait basée sur un bien immeuble, souvent une terre mais pouvait aussi une maison bourgeoise.
    Donc, ce n’était pas à la portée de tout le monde, vous avez raison de la souligner.
    En fait, si la famille ensuite se réservait la jouissance par nomination comme je l’ai expliqué, c’était qu’elle rapportait au chapelain un revenu, et à ce titre vous avez sans doute remarqué que j’ai classé cet acte dans la catégorie que je nomme BENEFICES ECCLESIASTQUES
    Pratiquement le fondateur Lepouriel a doté ses futurs petits neveux d’un revenu !
    Bon dimanche
    Cordialement
    Odile

  5. Chère Odile
    Voici un nouveau rebondissement : un aimable correspondant m’a signalé que L’Abbé Angot dans son dictionnaire de la Mayenne cite la chapelle de la Vallée au Pourriel, et donne la date de fondation (1484) par Me Michel Le Pourriel, prêtre, curé de Lesbois
    Lignoux, vill., c ne de Lesbois. — Cass. — Deux fermes, avec maison de maître. — Ancienne terre seigneuriale à laquelle était attaché le droit de présenter à la chapelle de la Vallée-Pouriel. En sont sieurs : Michel Le Pouriel, curé de Lesbois, fondateur de cette chapelle, 1484. — Les enfants mineurs de Léon Coupel, 1595. — Guillaume C., 1669. — Abraham C., 1682. — Olivier de Mellay, demeurant à la Marchandais, 1709. — Jacques de Mellay, de la paroisse de Saint-Aubin, 1774.
    Ce que je peux ajouter 1/ c’est que Guillaume Coupel (1669) sieur du Boulay est l’époux d’une petite-fille de Léon Coupel, sieur de la Bellangeraie, et Abraham Coupel (1682) sieur de la Fouquère est fils de Guillaume.
    2/ Nicolas Potier, sieur de la Fougerais et son neveu Jean Potier, aussi sieur de la Fougerais (1673) sont respectivement petit-fils et arrière petit-fils de Léon Coupel, sieur de la Bellangeraie
    3/ Olivier de Meslay (1709) sieur de la Marchandais est arrière arrière petit-fils de Léon Coupel, sieur de la Bellangeraie
    4/ Pour Jacques de Meslay, en 1774, je sèche, mais c’est peut-être un descendant d’Olivier
    Mais j’ai l’impression que les règles de dévolution des fondations de chapellenie ne sont pas exactement les mêmes dans le Maine et en Anjou
    bien amicalement
    Alain

      note d’Odile :

    Bonjour Alain
    et un grand merci pour les Pouriel, Potier, Coupel et autres.
    Le dictionnaire de l’abbé Angot est des plus fiables, et il y a lieu de considérer ce qu’il écrit comme vérifié par lui.
    Pour les coutumes de transmission des Chapelenies, je ne sais si la coutume du Maine différait de celle de l’Anjou, je vais tenter de chercher
    Odile

  6. Abbé Angot, Dictionnaire historique de la Mayenne, 1900

    Coupel, famille de la vicomte de Domfront, où elle remplit, dès le commencement du XVIIème siècle, au moins, des charges de magistrats et dont les membres se qualifient écuyers. Armes : d’argent au chevron de gueules, accompagné de 2 molettes de sable en chef et d’une rose de gueules en pointe. Les Coupel de Bellée (Vaucé) vinrent s’établir à Nuillé sur Vivoin, où Siméon Brice Coupel, épousa, vers 1718, après sommation à lui faire de satisfaire à sa promesse, Jeanne Mouteau. Anne Louise Coupel, morte supérieure de la Visitation du Mans, 1792, était issue de leur mariage aussi bien que Gervais Coupel du Lude, qui, du chef de Cunégonde Amillant, sa femme, fut seigneur des Monteaux et des Touches de Loigné. Siméon Brice Daniel, son fils, accusé d’émigration, eut ses biens séquestrés en l’an IV

    Odile
    PS Je poursuis ma moisson dans cet ouvrage, au cas où cela vous serait utile

  7. Selon le même auteur, l’abbé Angot, même ouvrage, article MARCHANDAIE, tome 2, il s’agit de la Marchandaie en la commune de Lesbois. Y demeurait Olivier de Meslay, sieur de Lignon, 1709.

    L’abbé Angot, toujours très précis, ne donne pas Olivier de Meslay sieur de la Marchandaie comme propriétaire du lieu. Comme vous savez sans doute déjà, le titre de « sieur » ne signifie pas toujours « propriétaire », tant s’en faut !

    Odile

  8. Chère Odile
    Merci beaucoup pour ces précieuses précisions. J’ai deux petites questions subsidiaires. 1/ L’article Marchandaie fait-il aussi référence à des Coupel ?
    2/ Parmi les premiers cités à avoir le droit de présenter à la chapelle de la Vallée-Pouriel, figurent les enfants mineurs de Léon Coupel, 1595.
    Ma question est la suivante: si il ne s’agit que de filles héritières de Léon Coupel, doivent être âgées de moins de 21 ans, pour être considérées mineures ?
    Merci d’avance, à bientôt
    Alain
    PS: par ailleurs j’ai trouvé pour Jacques de Meslay (1774), il est neveu d’Olivier et descendant à la cinquième génération de Léon Coupel, sieur de la Bellangeraie

      Note d’Odile :

    Bonjour Alain
    1/ L’article MARCHANDAIE : je n’avais pas tout recopié, je recommence :

    Marchandaie, commune de Lesbois – Ruisseau affluent de clui de la Belangerie, longueur 600 m – René Drouet, avocat fiscal, puis sénéchal d’Ambrières, en était sieur à la fin du XVIIème siècle. – Y demeurait Olivier de Mellay, seigneur de Lignon, 1709

    2/l’âge de la majorité était 25 ans pour avoir droit de gérer seul ses biens, mais il y avait des dispenses par justice

    3/l’Anjou (je ne sais pas si le Maine était dans le même cas) avait une coutume très particulière concernant l’héritage noble. En effet les filles pouvaient être héritières nobles, pas quant un frère puiné existait, car dans ce cas le frère puiné passait avant sa soeur aîné et devenait héritier principal, mais lorsqu’il n’y avait que des filles.

    Je pense, au vue de ce qui précède que dans la succession du droit de présentation à la chapellenie, les filles peuvent transmettre.

    Bonne journée
    Odile

  9. Bonjour,
    Par le biais des minutiers de tabellionnage, je fais des recherches sur les Couppel et familles apparentées du secteur de St-Aubin / L’Epinay-le-Comte, et votre discussion m’intéresse beaucoup.
    En fait, j’ai du mal à retracer la descendance de ce Léon Couppel Sr de la Bellangeraie.
    Je lui connais une fille : Jeanne Couppel, mariée avant 1620 à Abraham de Philippe Sr des Aulnais.
    Il me semble aussi–mais sans aucune preuve–qu’Anne Couppel, mariée avant 1603 à Alexandre Pottier Sr de la Chalousière, et Françoise Couppel, mariée avant 1611 à Jacques Mahiet Sr de la Saussaie pourraient être ses filles ?
    Lui connaissez-vous d’autres enfants ? Existe-t-il des sources (abbé Angot…) ?
    Enfin, s’agirait-il du même individu que Léon Couppel Sr de la Servenière, marié à Françoise Chauvin ?
    Mes infos sont consultables sur Geneanet.
    Merci de vos éclaircissements.
    Bonne journée,
    Nicolas

    1. Avez vous des informations sur ce Léon Couppel Sr de la Serveniere ? Une vielle histoire familiale parle d’une ferme à Saint Aubain Fausse Louvain du nom de la Serveniere dans laquelle mes ancêtres auraient vécus et qui a donné par la suite une partie de mon nom de famille… Je cherche à en savoir plus ! Par avance merci. Jonathan

  10. Bonjour
    A ma connaissance, Léon Coupel, sieur de la Bellangeraie n’a qu’une descendance féminine. On sait qu’il a perdu deux fils, tués dans le pillage de sa maison, lors des affrontements entre catholiques et réformés. En plus de Jeanne Coupel, il a bien deux autres filles, comme vous le supputez justement Anne Coupel mariée avant 1603, avec Alexandre Potier, sieur de La Chalousière et Françoise Coupel.

    Olivier de Philippe, prêtre, sieur de la Bellangeraie et Nicolas Potier, sieur de la Fougerais sont à plusieurs reprises déclarés héritiers de leur tante maternelle Françoise Coupel.

    Selon moi, Léon (alias Lion) Coupel, sieur de la Bellangerais et Léon Coupel , sieur de la Servinière sont distincts, mais le prénom est suffisamment rare dans cette famille, à cette époque, pour penser qu’ils ont un proche lien de parenté : père et fils ou oncle et neveu ? Cela reste à déterminer.

    Avez vous la preuve que Léon Coupel, sieur de la Servenière est marié à Françoise Chauvin ?

    Bien à vous
    Alain

  11. Note d’Odile :
  12. Bonjour Alain
    Merci de votre réponse, et j’espère que ces Coupel s’enrichiront encore de données.

    J’ai relevé au passage dans votre réponse :

    Léon (alias Lion) Coupel, sieur de la Bellangerais

    et je vous prie de croire que vous réjouissez tous les Angevins, car ils ont LE LION D’ANGERS qui leur est cher, et ce Lion fut aussi Léon, etc…

    en latin cela donnait autrefois, selon le Dictionnaire historique du Maine et Loire de Célestin Port, 1986 :

    villa legio
    vicus leonis
    leion
    legio
    legium
    leonium
    leon
    le leon d’angers
    burgus leonii

    etc…

    Odile
    PS ce commentaire d’Odile est publié de sa nouvelle machine sous (hélas) Windows 10. J’avance dans ma prise en main, à grands coups de suppressions d’inutilitaires, et d’ajouts de mes vieux utilitaires
    et je découvre par ailleurs office 2016 que j’ai dû acheter faute de compatibilié de mon office 2003
    encore là des tas voire des milliers de choses totalement inutiles
    hélas
    nous sommes contraints d’acheter le plus pour faire le moins
    quelle époque !!!

  13. Comme toujours, chère Odile, merci pour ce précieux ajout sur les variations du prénom Léon !

      Note d’Odile :

    vous aviez vu juste et j’ai souhaité vos renforcer dans votre aliàs
    cela me distrait un moment de la prise en main de la nouvelle machine et surtout de tout les inutilitaires qu’on nous impose, et contre lesquels je fulmine.
    Ainsi, le terme même de MOBILE m’attriste, car il suppose qu’on soit mobile. etc…
    Bon WE
    Odile
    ICI interdiction totale de sortir une voiture car course à pied du niveau de championnats, et barrières partout

  14. Un grand merci, Odile et Alain, pour vos réponses éclairantes.
    A ce stade, je penche aussi pour deux « Léon Couppel » parents mais distincts.
    Je n’ai pas retrouvé de document original sur le couple Léon Couppel / Françoise Chauvin, et me base jusqu’à présent, pour ce couple, uniquement sur des généalogies modernes, donc sujettes à caution !
    Ces branches « cadettes » des Couppel, assez méconnues, sont en tout cas intéressantes à étudier même si, faute de documents, elles sont nettement plus difficiles à retracer que les branches nobles de cette famille très présente dans le Domfrontais.

  15. Bonjour Odile
    Je reviens sur cet acte pour vous demander une précision.
    Nicolas et Jean Pottier, oncle et neveu, sieurs de la Fougeraie sont patrons présentateurs de la chapelle de la Vallée aux Pourriels en 1673, cela veut dire qu’ils descendent en ligne directe du plus proche héritier de Michel Le Pourriel, prêtre, curé de Lesbois licencié es lois, sieur de Lignou et de la Fougeraie, fondateur de la chapelle de la vallée aux Pourriels en 1484.
    Ma question est la suivante : Henri °1652 et Robert °1659 Pottier, frères, fils de Guillaume Pottier, écuyer sieur de la Denais et d’Hélène de Marseille qui sont successivement désignés comme titulaire de la chapelle de la Vallée aux Pourriels doivent-ils eux aussi être des descendants en ligne directe d’un proche parent de Me Michel Le Pourriel ou peuvent-ils être seulement des parents de Nicolas et Jean Pottier ?
    Bonne soirée, amicalement, Alain

  16. mon message n’a rien à voir avec les précédents mais dans mes recherches généalogiques j’ai trouvé un ancêtre qui fut professeur émérite de philosophie à l’Université de Paris, licencié en théologie à la Faculté de Paris. Je le retrouve parrain de nombreux enfants de la famille notamment en 1724 à St Aubin Fosse Louvain .
    Mes ancêtres habitaient La Courtinière à ST AUBIN FOSSE LOUVAIN (Mayenne)

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