Livre d’or de février 2009

Voyez celle de janvier

Désormais je ne réponds plus aux innombrables emails de questions personnelles, suivis immédiatement d’emails d’insultes car je n’en fais pas assez à leur goût. Afin de me protéger des innombrables indélicats qui m’utilisent, désormais tout échange sera public, sur mon blog, et bien visible par tous.

Chaque premier du mois une telle feuille sera à votre disposition : remerciements, commentaires autres que ceux des sujets du blog, questions intéressantes et non personnelles… Ces feuilles seront toutes accessibles dans la catégorie Livre d’Or

Cette page n’est pas destinée à mes habitués, mais uniquement destinée à remplacer mon email vis à vis de prétendus internautes de tous poils, armés de questions plus ou moins bienveillantes, afin que leurs interventions soient publiques, ce qui limitera leurs insultes en retour.

Voyez celle de janvier
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20 réponses sur “Livre d’or de février 2009

  1. Bonjour
    J’ai remarqué dans un de vos fichiers (ascendance de Jacques Mounier) une Isabeau de Coetgoureden, fille de Philippe de Coetgoureden et Isabeau de Robien.
    J’ai un peu de mal à établir cette même filiation.
    Pourriez vous nous en dire plus.
    Merci beaucoup d’avance.
    Thierry
    Réponse d’Odile : Pour l’ascendance de la Motte, après les registres paroissiaux que j’avais retranscrits longuement et mis sur mon site, il faut aller voir la Réformation, Manuscrit, Bibliothèque Municipale de Rennes. Je n’ai pas personnellement pu consulter cette source, qui est probablement disponible en ligne depuis car la ville de Rennes a fait beaucoup en ligne.
    Voir aussi Bulletin CGO n° 57, p. 285
    Par ailleurs, pouvez-vous m’indiquer à quel titre vous vous intéressez à Isabeau de Coetgoureden ? Si vous en descendez, pensez à me signaler au moins 2 ou 3 générations descendantes, ou jusqu’au couple que nous auriez en commun avec moi. Merci

  2. Bonjour
    Merci de cette information, je ne suis cependant pas certain que les documents relatifs à la Réformation de 1668 précisent l’ascendance d’Isabeau de Coetgoureden.
    En ce qui me concerne j’en descends, notre couple d’ascendance commun, à vous et à moi, étant François de la Motte X Olive Posnic.
    Bien à vous

    Thierry
    Réponse d’Odile : Vous me donnez envie de vérifier. Est-ce que le premier qui y est parvenu peut informer l’autre ? d’avance Merci.

  3. Bonjour

    J’ai trouvé dans vos fichiers des ancêtres communs. Je descends du couple Augustin PELLERIN et Henriette BREBION. Malheureusement pour moi votre ascendance concerne les familles BREBION/BONTEMPS et non PELLERIN… Ce serait trop facile.

    J’ai dit malheureusement car Je suis bloqué sur le mariage des parents de Augustin PELLERIN : Clément PELLERIN et Jeanne RIVIERE.
    J’ai recherché grace à une fourchette de dates très courte (une année) dans les paroisses à 15 km autour de la Regrippière sans résultat.

    Ma question (si vous avez l’occasion de vous y penchez) est la suivante : Pensez-vous que je peux débloquer la situation dans les archives notariales (je n’y ai jamais mis le nez…). D’autre part j’ai vu qu’il y avait un prieuré fontevristes à la Regrippière : est ce que nos ancêtres pouvaient y célébrer une union ?

    Cordialement

    François
    Réponse d’Odile : Bonjour et merci de l’intérêt que vous portez à mes travaux. Voici les réonses à vos question.
    1-La recherche sur une année est bien trop courte, et j’ai parfois trouvé des parents mariés plus de 20 ans avant la naissance d’un enfant. Par contre, je vous conseille vivement de faire toutes les naissances du couple Pellerin x Brebion, et ceci est possible en ligne, et même avec tables, car il est probable que l’une des naissances vous donne un témoin qui donnera une piste, tel qu’un oncle, etc… plus facile à remonter par la suite, etc… Et vous devriez aussi chercher le décès d’Augustin Pellerin, qui vous donnera peut-être plus explicitement son lieu de naissance. Enfin je vous suggère de vérifier le mariage Pellerin x Brebtion dans les deux sources, à savoir l’état civil, et le registre clandestin du Loroux-Bottereau, le tout étant en ligne, car il est fort probable que l’un des actes donne plus d’info que l’autre.
    2-Les sources notariales sont pauvres en Loire-Atlantique pour ces régions, mais il existe cependant un inventaire en ligne. Le problème est que vous irez chercher une aiguille dans une meule de foin, ne sachant pas où chercher.
    3-Le prieuré de la Regrippière ne peut détenir aucun acte de mariage car aucun moine n’a jamais eu le droit de marier et de tenir un registre d’état-civil. Cette fonction était exclusivement détenue par les curés de paroisses, qui pouvaient certes parfois bénir une union dans une chapelle, seigneuriale, prieurale, ou autre chapelle, mais toujours dans le strict cadre de son activité paroissiale, et ceci était scrupuleusement noté dans le registre paroissial.
    4-Cherchez donc si les parents PELLERIN ne seraient pas venu décéder chez leur fils, cette recherche est possible rapidement avec les tables décennales en ligne, d’ailleurs, pour les retrouver, cherchez donc tous les alentours les décès
    5-Vous m’avez annoncé que nous avions des ascendants BREBION en commun, et vous avez pu profiter de mes travaux généreusement mis en ligne. Pourriez-vous, en retour, me préciser au moins une génération descendante, et m’autoriser à compléter mon fichier avec cette donnée, en précisant si vous souhaitez être ou non cité

  4. Merci pour votre réponse rapide et complète

    juste pour vous dire que je vous réponds ce soir car là je suis au boulot.

    Ma branche PELLERIN n’a rien à voir avec la votre mais c’est gentil de me guider un peu

  5. Bonjour Madame,

    Excusez-moi, on s’éloigne du Haut Anjou pour descendre au sud d’Angers.
    J’ai récupéré un acte de baptème du du 23 avril 1659 de la commune de Beaufort ( vue 369) d’une certaine Marie Phélippeau, dont j’aimerais que vous me donniez la restranscription fiable, car la mienne ne l’est assurément pas… Il semble qu’il soit question d’un baptème « dans la maison » par « Perrine Allain ……(?) » et plus haut il semble être question « d’exorcisme ». Mon imagination me joue t’elle des tours?
    Par ailleurs, et là ça se complique, cette Marie Phelippeau est dite fille de François Phelippeau et de Marie Besnard. J’ai trouvé l’acte de marriage de Marie Besnard et de François ….(peu lisible), le 12 mars 1658 à Beaufort (vue 125) au bas duquel de nombreuses et fort belles signatures Phelippeau. D’où ma conclusion hâtive: c’est le bon acte.
    Ma surprise a été grande en consultant le répertoire, puis en vérifiant dans les registres, que Marie Besnard était mariée à François Pelé et que François Phelippeau s’était marié deux jours plus tard (14 mars 1658) avec une certaine Michelle Micaut. D’où la tentation de faire là encore une conclusion encore plus hâtive et totalement anachronique. Cette Marie Besnard se serait trompé de François: Croyant aller dans le lit de son François de mari, elle se serait retrouvé dans celui de François Phelippeau, qui apparemment ne l’aurait pas fichue dehors…Totalement idiot, je sais, bien que l’adultère existât à cette époque, mais il était sévèrement réprimé (surtout pour le femme…) et puis ça ne me semble pas coller avec le « rang » assez distingué que semblait tenir la famille Phelippeau à Beaufort.
    A moins que , 1ère hypothèse (la plus probable): le curé s’est trompé en remplissant ses registres, surement un peu « à la bourre » ou bien tout simplement un peu « bourré » après avoir légèrement abusé du vin d’Anjou « le vin qui rend fou », il aurait interverti les noms deux époux, mariés à 2 jours d’intervalle et présentant les même initiales (F. P). Ce qui explique tous les signatuers Phélippeau au bas du premier acte
    A moins, 2ème hypothèse (fort peu probable, même totaleemnt tirée par les cheveux), que M. Micault et F. Pelé soient concomitamment décédés rapidement après leur mariage , et que leurs veuf et veuve respectifs se soient rapprochés ensuite…pour donner naissance à Marie 9 mois plus tard.
    P.S: en 1664 (8 ans après, énorme pour l’époque il me semble), Françpis Phélippeau et Marie Besnard donnent naissance à une autre fille.

    Reste l’acte de baptème de Marie Phélippeau…

    Madame Odile Halbert, j’ai besoin de vos lumières (ça rime presque).
    Si vous avez le temps, merci. Si vous n’avez pas le temps, merci quand même, pour vos travaux passionnants.

    Jean12
    Réponse d’Odile : Je vous réponds pour le baptême dans un article dédié au baptême, car cela mérité explications pour tous.
    Par contre le mariage est bien le vôtre avec une énorme erreur de lecture dans ce que vous appelez le répertoire, et j’ai bien l’impression que vous fiant à ce répertoire erronné, joint à votre lecture déficitaire, vous avez beaucoup gambergé, c’est le moins qu’on puisse dire. Savez-vous Josselin, très amicalement, que c’est précisément la raison pour laquelle je fais des retranscriptions exhaustives des registes ainsi mes retranscriptions en cours du Louroux Béconnais.
    Voici la retranscription de votre acte, sur lequel cependant j’ai des doutes de lecture suivies de ? car je ne suis pas une familière de Beaufort, et ma théorie veut que l’on ne peut retranscrire correctement qu’une paroisse à laquelle on est très habitué. Donc voici, avec les réserves que je viens d’émettre :

    Le dimanche troisiesme jour de mars mil six cens cinquante huit en vertu de la dispance de deux bancs et permission d’espouzer obtenue de monseigneur le révérendissime evesque d’Angers en datte du (blanc) jour de février dernier obtenue de (en fait un mot latin) monsieur le prieur, ont esté espousez en l’église de Beaufort François Phelipeau fils de deffunt (raturé, incertitude) René Phelipeau et Françoise Seurdeur ? ses père et mère avecq Marie Besnard fille de deffunt René Besnard et Marie Vincelot ses père et mère après avoir eu ung bancq en ladite église duditjour lesquelles ont esté faites par Me René Cherbonneau prêtre habitué en ceste église en présence et du consentement de Jean (ou Jacques ?) Phelipeau René Phelipeau frères dudit François, Pierre Noel père utrin (on lit vitricq) de ladite Besnard (son beau-père par remariage de sa mère) Nicollas Vincelot et autres soussignés – Signé : J. Phelippeau, Noel, Saugain, Marie Besnard, Phelipeau, Phelipeau, Cherbonneau, Vincelot
    Je vous ai mis en italique un commentaire pour le beau-père qui avait un joli qualificatif.
    Il s’agit d’une famille notable, car il est rare à cette époque que les épouses signent aussi bien que votre Marie Besnard. Selon mes connaissances en Haut-Anjou, il ne s’agit pas de familles travaillant manuellement, et je les estime au moins au rang de notaire ou fermiers aisés.
    Par ailleurs, certains patronymes sont souvent écrits en abrégé, ainsi les Chevalier, les Phelipeau etc… d’où l’erreur qui s’en est suivie. Désolée, mais le vin d’Anjou n’y est pour rien, la paléographie par contre pour beaucoup.

  6. Me revoilà pour vous déranger encore un peu…

    1/ Je vais vous expliquer pourquoi j’ai fixé ma recherche sur une année :
    Clément PELLERIN (père d’Augustin) est né vers 1733, marié le 20/01/1756 à la Chaussaire avec Jeanne ROBAT (décédée le 15/10/1759 à Vallet-la Regrippière) dont 4 enfants
    Clément PELLERIN s’est remarié ensuite avec Jeanne RIVIERE dont 9 enfants et le 1er enfant de cette union est née le 28/11/1760.
    Clément PELLERIN et Jeanne RIVIERE ont donc dû se marier entre 10/1759 et 11/1760.
    J’ai évidemment cherché en premier sur la Chaussaire, sans résultat, puisque les habitants de la Regrippière se dirigeaient vraisemblablement plus vers cette paroisse que vers Vallet.
    Je vais suivre vos conseils et chercher dans la famille si des cousins, oncles et tantes ne sont pas cités.

    2/ un contrat de mariage aurait été formidable mais peu probable

    3/ Dommage c’était une de mes pistes

    4/ j’ai les décès des parents PELLERIN : Clément (tué par l’armée de Mayence d’un coup de pistolet à la tête) le 18/10/1793 Vallet (la Regrippière) et Jeanne RIVIERE le 23/10/1805 Vallet (la Regrippière) mais les actes ne m’ont pas donné d’autres pistes

    5/ Je vous cite (in document « Famille BREBION ») « c- Henriette BREBION °Le Loroux-Bottereau 22.1.1774 x Loroux-Bottereau 17.2.1802 Augustin PELLERIN »
    Henriette décédée le 16/09/1804 à Saint Julien de Concelles
    Dont Henriette PELLERIN née le 13/07/1803 à Saint Julien de Concelles, mariée le 17/02/1824 au Loroux Bottereau avec Joachim CLENET, décédée le 29/04/1880 à la Chapelle Heulin.
    Dont Benjamin CLENET né le 31/07/1832 à la Chapelle Heulin, marié le 28/01/1856 Le Pallet avec Marie CLENET, décédé le 26/02/1893 à la Chapelle Heulin.
    Dont Emma CLENET né le 18/04/1859 Le Pallet, mariée le 05/11/1882 la Chapelle Heulin avec Pierre FLEURANCE (mon arrière arrière grand père), décédée le 28/10/1897 à Tillières

    Bien cordialement

    François

  7. Madame,

    Je suis un des très nombreux descendants de Louis Delioux de Savignac, maître éventailliste qui épousa le 19/1/1736 Jeanne Cécile Clerfeuille.

    C’est, je pense sur leur acte de mariage qu’a été retrouvé la filiation de Louis : Pierre Guillaume Delioux de Savignac et Marie Anne Denion (ou Deniou).
    Tout semble indiquer qu’il s’agit de Marie Anne Denyau que je trouve sur votre site.
    Le couple avait un autre fils « Jacques François » également maître éventailliste.

    Nous devons donc être des cousins un peu éloignés.

    En parcourant votre site je me suis régalé en lisant les perles relevées sur les régistres paroissiaux et amusé en y trouvant également des photos de Gondin.

    Mon arrière grand père Théodore Bahon s’est marié vers 1869 à Louverné et nous y avons d’aures attaches familiales qui ont moins de 100 ans.

    Votre site est exeptionnel et reconnu comme tel par tous ceux qui le visitent.

    Avec mes respectueux hommages.

    Loïc

  8. Bonjour Odile, et tout ceux qui lis ce site formidable. Je viens de consulter, encore une fois, les informations sur la Normandie sur votre site, ayant aussi un interet dans ma genealogie. J’ai lu le morceau sur l’heritage et le faite que les filles n’heritent pas si il y a des freres. Je voulez dire que j’ai rencontrer ca deja, mais hors de la France, bizarrement, dans les Isles Anglo-Normands. Ce n’est pas repeter autrement en Grand Bretagne, donc je pense que c’est l’infuence Normand.

  9. Bonjour Odile

    Continuant mes recherches dans le haut-Anjou, j’ai consulté votre site sur Senonnes et j’ai retrouvé un couple que j’ai dans mon ascendance dont je cherche toujours leur mariage? avant 1710. Charles CHICOT et Simone GOULLIER, lui décédé le 07-02-1731 à Chelun et son épouse décédée le 27-05-1729 à Chelun, aussi François BERNARD et Françoise BRUNEL étaient parrain et marraine au baptème de leur fille Simone le 10-01-1714 à Eancé.

    Merci pour toutes vos recherches
    Bien cordialement
    Réponse d’Odile : Selon ce que j’ai trouvé, le couple Chicot x Goullier est exploitant direct de la métairie de Tamerot à Eancé, et je pense que vous y verrez plus clair bientôt quand l’Ille et Vilaine sera en ligne. Voici ce que j’ai relevé :
    Le 30.12.1713, dvt Nres de la châtellenie d’Éancé, h.h. François Besnard Sr de la Feschallière dt à sa maison de la Maucroisière à Senonnes, prisée des bestiaux de la métairie de Tamerot à Éancé en exécution du bail fait par Chauvin Nre de la Baronnie de Pouancé le 18.12.1710, à Charles Chicot & Simone Goullier sa femme (AD44-B13127 Seigneurie d’Éancé )

  10. Bonjour,

    J’ai été très interessé par le message d’Eric Désert et sa référence au couple François Bernard et Françoise Brunel d’Eancé.

    J’ai dans mes ancêtres le couple Jean Brunel et Anne Besnard (Bernard ?) mariés le 4 septembre 1691 également à Eancé.

    François et Anne Besnard sont frères et soeurs. Je ne connais pas le lien entre Jean et Françoise Brunel.

    En redescendant on trouve les grands parents de ma grand mère maternelle, le couple Olivier Claude Auguste Delioux de Savignac et Aline Eliza Brunel mariés à Brest Lanbezellec le 11 avril 1846.

    Dans les ascendants d’ Olivier Claude Auguste Delioux de Savignac on trouve le couple Pierre Guillaume Delioux de Savignac et Marie Anne Denyau.

    J’avais remarqué la proximité entre Eancé et Pouancé mais sans plus.

    Bien cordialement.

    Loïc

    Réponse d’Odile :
    Outre l’acte qui était sur mon site, qui est bail par le couple Besnard à Chicot, voici encore des actes notariés qui attestent la géographie éclatée sur les 4 départements, de cette famille Besnard de la Maucroisière (Sennones), possédant à Eancé (le bail ci-dessus) et vivant à Soudan puis à Saint-Jean-de-Béré :

    AD49-5E40/35 – 21.6.1739 Dvt Anthoine Menard Nre royal à Pouancé, François Besnard sieur de la Maucroisière demeurant à Soudan en Bretagne baille à ½ pour 9 ans à René Nicolas et Françoise Chevalier sa femme la métairie de la Couchonnaie à Soudan

    AD49-5E40/35 – 21.6.1739 Dvt Anthoine Menard Nre royal à Pouancé, François Besnard sieur de la Maucroisière marchand demeurant au bourg de Soudan baille à 1/ pour 9 ans à Jacques Peltier et Rene Chevalier son épouse la métairie de la Besnardière à Soudan

    AD44-B10818/2 baronnie de Châteaubriant, 18.5.1761 copie Inventaire au décès de n.h. François Besnard sieur de la Maucroisière à Saint-Jean-de-Béré, en présence de Jeanne Guibourd sa veuve, de Christophe Guibourd avocat à Craon, Joseph Besnard, frère le gendre de ladite Delle Besnard veuve, et Delle Jeanne Freulet épouse de n.h. François Pitrault sieur Delaunay

  11. Je fais des recherches sur l’histoire de Rochefort. A ce titre je vous signale que votre article sur René Boucault, « vivant chatelain de Cour-de-Pierre » n’est pas exact en ce qui concerne la forteresse « repaire menaçant lors des guerres de religion ». L’enceinte seigneuriale de Cour-de-Pierre se trouvait au coeur du bourg de Rochefort (localisation acceptée par le supplément au Dictionnaire Historique du Maine et Loire). Elle incluait un logis seigneurial qui, au 17ème siècle, était le domicile du « fermier » gérant des biens de la chastelnye de Cour-de-Pierre appartenant aux abbesses du Ronceray. Le « repaire menaçant » était le château fort du baron de Rochefort, duc de la Trémoille par ailleurs. Il est situé à 400 mètres du bourg de Rochefort.

    Réponse d’Odile
    Merci de me signaler cette erreur. J’avais bien écrit que René Boucault, châtelain de la Cour-de-Pierre, vivait en la maison seigneuriale au bourg de Rochefort, mais je n’avais pas saisi qu’il vivait à quelques centaines de mètres d’un repaire huguenot.
    Revoyant donc au vue de votre intervention la vie de mon ancêtre, j’ai ajouté qu’il avait manifestement connu les transformations de cette maison, données au 16e siècle par la fiche du préinventaire des M.H., et que par ailleurs il avait certainement connu des dégâts sur des récoltes dus à ces combats, car mon expérience du Craonnais montre que de tels troubles étaient accompagnés assez souvent de récoltes saccagées par les troupes (les unes ou les autres), et les difficultés qui s’ensuivaient pour les fermiers, dont le montant la ferme était fixe, et non indexé sur les pertes de guerre.
    Votre intervention m’a donc permis de mieux appréhender sur ce point mon ancêtre René Boucault. Qui sait, je trouverai peut-être un de ces jours une transaction pour pertes de guerre concernant mon René Boucault, dans ce cas, elle sera mise sur mon blog, soyez en certain.
    Voir ma famille Boucault, châtelain de la Cour-de-Pierre au 16e siècle
    Voir ma page sur Rochefort-sur-Loire
    Voir le site de Mr Michel Nouaille-Degorce sur Rochefort
    Si j’ai bien compris vous avez été maire de Rochefort-sur-Loire, et j’ai laissé
    Encore merci, bien cordialement

  12. Madame,

    Je vous remercie beaucoup pour votre très intéressante généalogie des GAULT de Stenay (55), puis d’Altkirch (68) qui sont mes aieux.
    En effet mon arrière-arrière grand père avait épousé en 1850 à Altkirch Marie Antoinette Chagué , fille de Marie Barbe Virginie GAULT ( épouse d’Antoine Chagué)
    Le père de Marie Barbe Virginie n’est autre que le Jacques Jean Baptiste GAULT de Stenay (Meuse) (1766 Stenay-1830 Altkirch).
    J’apprends aussi avec bonheur que, trois générations avant, Claude GAULT du Theil (Bretagne) fut le premier à s’établir dans la Meuse.
    Simplement je voulais ajouter une précision à la généalogie des Gault de Stenay, qui vous a été transmise, dites vous, par Blandine Maillan en 2004 :(à la page 47)
    à savoir Jacques Jean Baptiste GAULT, pharmacien à Altkirch, et son épouse Marie MOLL ont eu, selon votre publication, huit enfants de 1797 à 1812…
    Or il y en a eu au moins une neuvième : mon ancêtre « Marie Barbe Virginie GAULT, née à Colmar le 3 Mai 1796 » (qui était donc l’aînée) et qui a épousé le 21 Mars 1825 à Dornach (banlieue de Mulhouse), François Antoine CHAGUé (Soultz 6/06/1766- Altkirch 4/03/1842), juge de paix du canton de Mulhouse.
    Si vous souhaitez plus de précisions (ou Mme Maillan), vous pouvez communiquer avec moi à ce sujet.
    En vous remerciant encore pour votre passionnant travail.
    Bruno FLOQUET

    Réponse d’Odile
    Soyez infiniement remercié d’avoir la gentillesse de prendre contact avec moi. J’ai passé des années à travailler les Gault d’Armaillé (Anjou), à travers les notaires et les chartriers ! Ces travaux ont été tellement pillés et mis sur des bases de données sans me citer que j’étais désespérée !
    Je m’empresse d’ajouter Marie Barbe Gault votre ancêtre en vous citant.
    Par ailleurs, je vais vous mettre sur ce blog la retranscription intégrale des plus anciens actes notariés concernant vos ancêtres, car de mémoire, ils sont passionnants. Vous allez pouvoir découvrir leus modes de vie, car c’est ce qui me passionne !
    Voir mon étude de la famille GAULT d’Armaillé (Anjou) qui fait ceux du Theil (Bretagne) dont ceux de la Meuse
    Voir ma page sur Armaillé
    Bien cordialement

  13. Chère Madame,

    Merci infiniment pour votre travail admirable et votre générosité. Grâce à vous, j’ai peut-être pû éclairer le mystère des origines et des migrations de la famille de ma grand-mère BEAUFORT, alliée aux FAUCILLON à Charensat 63, entre 1580 et 1650, au delà de toute espérance. De plus, je peux également aider mes compatriotes auvergnats, à qui je transmets l’adresse de votre site, à élucider celui des JALLOT de notre pays, alliés de la famille DE ROCHEDRAGON ca 1520. Bien entendu, je ne manquerai pas de vous citer lors de toute référence à vos travaux. Je n’ai qu’une crainte cependant: Que la grossièreté et la sottise de certains ne vous conduise un jour, par exaspération, à priver les visiteurs honnêtes de l’accès à ce trésor d’informations. Si vous le souhaitez, je tiens bien évidemment le résultat de mes propres travaux à votre disposition. Recevez l’expression de toute ma considération et mes sincères encouragements. Pierre

    Réponse d’Odile
    Bonjour Pierre et merci de nous signaler l’existence d’un lien auvergnat, qui excite bien entendu toute notre curiosité (la mienne et celle de mes lecteurs), d’autant que j’ai déjà rencontré votre province dans mes recherches, et je ne suis donc pas surprise.
    Je serais infiniement heureuse de vous voir préparer un article de ce blog, nous montrant les liens que vous avez rencontrés. Soyez en par avance remercié, au nom de tous mes lecteurs.
    Pa ailleurs, si vous voulez que mon site continue à vivre car vous l’en jugez digne, la seule façon de me remercier est de faire des liens vers lui, incitant les autres à le visiter.
    Enfin, lorsque vous aurez précisé votre piste, je peux tenter de trouver dans les actes notariés d’éventuelles traces de liens auvergnats.
    Bien cordialement

  14. Chère Odile,je viens de trouver un acte en 1692 à St jean des marais :le père de la marraine est « réputé mort » ,disparu serait employé maintenant.Hors les questions religieuses( supposé mort sans sacrements),je me demande quelles étaient les consequences au niveau de l’heritage ,il faut vingt ans maintenant je crois pour régler une succession.Cordialement .EMK

    Réponse d’Odile
    Il s’agit de l’absence, dont la réglementation a peu changé et il vous suffit d’ouvrir votre code civil actuel à ce chapître, car autrefois c’était quasiement la même chose. Je connais particulièrement le problème pour avoir plusieurs cas longuement étudiés.
    La règle des 10 années n’a pas changée. Passé ce temps, on est « réputé mort », et les notaires peuvent alors en tenir compte dans les successions etc… Autrefois l’absence était fréquente, depuis les colporteurs, les travailleurs saisonniers, et enfin tous ceux qui sont partis en Nouvelle France… etc…
    D’ailleurs, de nos jours, il existe toujours des cas difficiles si on ne retrouve pas le corps… Songez à tous les faits divers etc… ne serait qu’un crash d’avion sans qu’on puisse identifier les corps ou les retrouver…
    Le terme « disparu » n’existe par en droit, c’est le terme « absent », puis au bout de 10 années d’absence, « réputé mort »

  15. Il s’appelait François Fouquet (frère d’une ancêtre)était marchand,savait signer ,époux de Françoise de Domaigné, j’ai eu un peu de mal à le suivre car il ya des actes le concernant dans deux paroisses : le Louroux et St Jean des Marais ,dans cette dernière il ya des copies d’acte donc peu ou pas de signatures mais je continue..Merci de votre réponse.
    d’Odile : alors, il sera décédé quelque part sans que cela revienne en sa paroisse natale. Les marchands se déplaçaient parfois très loin, et 250 km n’est pas rare…

  16. Bonjour,

    je termine une étude sur plusieurs familles qui descendent des Gault du Theil et qui, au XIXe siècle, exploitèrent de façon plus ou moins ridicule les généalogies publiées à cette époque dont celle de Bellanger. Ce n’est pas tant la généalogie Gault qui m’intéresse mais surtout l’analyse que l’on peut faire de familles qui tiennent absolument à démontrer leur rattachement à des lignages prestigieux. Néanmoins certaines pistes suivies à l’époque étaient bonnes puisque je retrouve dans le fonds d’archives que j’exploite une correspondance avec un certain Floquet principal au collège de WissembourG ceci dans les années 1870. Je pense qu’il s’agit d’un ancêtre direct de monsieur Bruno Floquet et ce dernier serait certainement intéressé d’avoir communication de ces documents. Comment puis-je avoir ses coordonnées pour les les lui transmettre.
    Merci d’avance et félicitations pour votre travail
    Yves Breton
    Note d’Odile :
    j’ai beaucoup travaillé les GAULT du Teil autrefois, et le livre de Bellanger, qui contenait beaucoup d’erreurs que j’ai démontrées avec des Preuves, sans avoir la chance que vous avez d’accéder à un fonds privé qui leur soit dédié.
    Heureuse d’apprendre que vous avez accès à un fonds privé et que les descendants des Gault du Theil vous en ont confié l’accès. Je suppose que les personnes qui vous ouvert ce fonds doutaient fortement de mes travaux, sinon elles auraient pris contact avec moi directement ! Je regrette qu’un aussi important travail que celui que j’ai réalisé sur les GAULT, durant tant d’années aux Archives Départementales du Maine-et-Loire, pour trouver toutes les preuves, m’échappe ainsi, car je méritais, par l’ampleur de mon travail, qu’on m’avertisse autrement de l’existence de ce fonds.

    Je prends donc, Monsieur, le fait que les descendants m’aient court-cicuitée, comme un camouflet. Ceci dit, cela n’est pas la première fois que mes travaux, sérieux, tentent d’être remis en cause par des descendants, et la rigueur de mes travaux, m’a même valu à ce titre des menaces… dans d’autres cas d’études que j’ai en ligne…
    Je constate cependant dans vos lignes ci-dessus, que vous avez aussi observé des interprétations curieuses des généalogies ce que j’avais décelé et analysé avec les preuves trouvées à Angers laborieusement !
    J’ose espérer que vos travaux une fois publiés me parviendront, car je le méritais, tout comme j’estime mériter le respect de mes travaux.

    Je n’ai contact avec aucun descendant. Pour contacter quelqu’un via le WEB, je pense que les réseaux du WEB, et même plus simplement l’annuaire téléphonique, sont un bon moyen.

  17. Bonjour,

    Attention, soyons bien clair. Le fonds qui a été mis à ma disposition est pour l’essentiel constitué de notes de recherches et de relevés d’actes effectués par des descendants des Gault. ce ne sont donc pas des papiers Gault mais des papiers qui s’y rapportent. A part un petit carnet qui a été, je pense, la propriété d’un Gault, ce ne sont que les études émanant d’un membre de la famille XXX, devenue XXX sieur de la XXX puis XXX-XXX. Cette personne décédée en 1882 prenait pour argent comptant tout ce qui avait été dit sur les Gault en particulier leur rattachement à ceux de Touraine en particulier aux deux fameux évêques de Marseille et à ceux de la Galmandière (pour ces derniers c’est assez probable). Il ne s’agit pas d’un fonds Gault mais d’un fonds XXX-XXX, constitué pour une bonne part de notes généalogiques, exactes pour certaines et fausses pour d’autres puisque reprises des publications comme celle de Bellanger. Je traite donc dans mon étude de l’histoire de cette quête des ancêtres illustres à une époque où il est de bon ton de prouver une ascendance illustre. Le dernier XXX-XXX du nom qui m’a donc confié ces documents est comme ses aïeux du XIXe siècle : persuadé des fables qui se transmettent de génération en génération sur les Gault du Theil. Je rectifie donc le tir en citant vos travaux comme étant le fruit de vérifications rigoureuses et non le résultat d’arrangements comme cela était le cas au XIXe siècle. Malheureusement pour les XXX-XXX, je vais briser un certain nombre de mythes et de traditions familiales, appuyé en cela par le caractère scientifique de vos recherches. Voilà qui sera plus précis
    Bien à Vous
    Yves Breton

    Note d’Odile : aux lecteurs habituels de ce blog ! j’ai moi, Odile, remplacé volontairement par des XXX les noms de famille cités ci-dessus par M. Breton, et je m’en explique dans ce qui suit à son adresse :

    Bonjour Monsieur
    Je confirme ce que je vous ai écrit ci-dessus :
    Mes travaux sur les GAULT datent de l’année 2000 et sont en ligne sur mon site depuis
    Une publication sur Internet relève des droits de propriété intellectuelle, exactement au même titre que le papier.
    la référence exacte est
    http://www.odile-halbert.com/Famille/Gault.htm
    et la date est l’année 2000
    Cette page, comme d’autres sur mon site, détruisait à l’époque des généalogies publiées, mais j’ai pour règle d’éthique de ne jamais publier le nom des descendants et à ce titre je respecte pour ma part la règle d’une vie privée de 100 ans.
    Mon site donne souvent des mises au point qui détruisent des généalogies publiées, mais je le fais discrètement, car les descendants doivent généralement accepter à leur rythme et courage parfois, cette vérité, qui détruit le plus souvent une légende dorée. C’est la raison pour laquelle j’ai pour règle éthique de ne jamais parlé ni cité les descendants, par égard pour eux, et je suis totalement opposée aux bases de données qui atteignent la vie privée, au moins sur ce point délicat.
    Je regrette encore une fois que vous ayiez agi en audit de mes travaux, qui sont bien connus parmi les généalogistes, sans me faire part de la moindre recherche, et que vous osiez publier papier en disant, comme vous venez de le répéter à 2 reprises ci-dessus que vous rectifiez une généalogie, car vous ne rectifiez rien, monsieur, mais, moi, Odile Halbert, j’ai rectifié en l’an 2000 par une publication en bonne et due forme, au titre de la propriété intellectuelle.
    Certes, mes travaux sur les GAULT ont été volé il y a quelques années par l’une des descendantes qui a tout mis sur Geneanet, et je maintiens que c’est un vol, car trouver autant de preuves dans les notaires et les chartriers à Angers, implique des années de recherches, de voyages à Angers, et de retranscriptions paléographique, le tout relevant de la propriété intellectuelle.
    J’ai donc dû ôter de votre commentaire tout nom, car je ne souhaite pas que ce blog nuise à quelque descendant ! Je maintiens que c’est un respect pour eux ! et qu’à contrario, bon nombre d’entre eux devraient un peu plus me respecter et respecter mes travaux !

    Mon site et mon blog ne sont pas des forums de rencontre de descendants, car je respecte encore une fois la vie privée, chose que d’autres ne respectent pas. A ce titre, j’ai été choquée que vous m’ayez demandé à plusieurs reprises déjà, des coordonnées de descendants, chose que je ne fais jamais, car je les respecte.
    Je suis, Monsieur, autre chose qu’une base de données, mais une chercheuse, et à ce titre j’entends être respectée.
    Mes travaux sur les GAULT sont plus que connus et diffusés depuis 9 ans, et à ce titre, je trouve que l’audit qu’on vous a confié ne me respecte pas de la manière dont il a été conduit, c’est à dire sans moi, et juste pour me demander l’adresse d’un descendant !

  18. Si cette étude a déjà été réalisée très sérieusement par Mme Halbert pourqoi une autre ?Il existe des négationnistes (condamnable),des créationnistes ,bref des personnes niant les réalités scientifiques, que peut-on faire ?Apres cet audit ,encore un autre ?;je me méfierai de ces personnes avançant dans la vie la tête tournée vers l’arrière .Nous sommes dans le domaine du mythe..
    Note d’Odile :
    Je pense que le fonds comporte des descendants et qu’une descendance complètera mon travail.
    Je suis seulement amère sur le fait qu’on n’ait pas jugé à propos de m’intégrer dans cette étude de remise en cause de la généalogie faite au 19e siècle par un membre de cette famille, car la quantité phénoménale d’énergie que j’ai mise en oeuvre pour trouver les preuves que j’ai avancées, ainsi que leur exploitation, le méritaient.

  19. Bonjour, Vos commentaires me laissent pantois. Je me permets de vous repréciser que mon étude n’est en aucune manière une généalogie Gault mais une analyse des comportements d’individus qui souhaitent établir une ascendance « brillante » en utilisant des travaux de complaisance issus de cabinets de généalogistes complaisants ou des travaux antérieurs sans base sérieuse. Quant au fait que la personne qui m’a confié ses papiers de famille m’ait contacté et non vous, que voulez-vous que j’y fasse ? Je n’y suis pour rien. je l’ai retrouvée parce que je travaillais sur ses ancêtres directs (les XXXXX-XXXXX) et non sur les Gault. De quel audit parlez-vous ? On ne m’a chargé d’aucune tâche ! Vous devriez au contraire être contente car ce que j’ai retrouvé dans ces papiers illustrent parfaitement ce que vous dites dans votre travail Gault. Je ne modifie en rien que ce soit vos travaux : je les cite comme étant le travail le plus sûr !
    Si je saisis bien l’esprit de votre courroux, le fait que vous ayez travaillé sur les Gault il y plusieurs années vous donnerait une sorte de primauté et un droit de regard sur tout ce qui peut être dorénavant publié et qui aurait un lien avec cette famille ?? Est-ce bien cela ?
    Dans ces conditions on ne peut plus rien écrire. Par exemple, vous parlez dans vos pages web de la famille Saget de la Jonchère (en St-Aubin de Pouancé) sur laquelle j’ai publié deux études en 1985 et 1987, si j’adoptais votre attitude, je vous reprocherais alors de vous y intéresser et de ne pas passer par moi qui ai découvert l’essentiel sur cette famille. Au contraire, si jamais on découvrait du neuf, j’en serai très heureux, c’est cela la démarche scientifique. A propos, la photo de la chapelle Saint-Marc que je vous avais communiquée et que vous pensiez détruite depuis longtemps et publiée sur vos pages web, ne porte pas la mention de sa provenance….
    Cordialement
    Yves BRETON

    Note d’odile :
    Merci de me préciser le propos de votre étude, qui viendra renforcer un phénomène bien connu en généalogie sur une multitude de cas déjà élucidés.
    L’existence de généalogies arrangées est bien connue, et pour avoir connu Bernard Mayaud, j’ai été très top alertée. Puis, au fil des années, ayant moi-même rencontré un très grand nombre d’exemples à travers des preuves que je retrouvais et que je mettais sur mon site, je connais, comme la majorité des généalogistes ce fléau du 19e siècle, qui n’a pas disparu de nos jours, et à ce titre, j’ai précisé avoir reçu des menaces… C’est pourquoi mon site restera vierge de tout nom de descendant, à jamais.

    Outre la légende des Gault, j’ai aussi une page décrivant ce fléau. Et il existe de nombreux ouvrages.

    Mon amertume tient au fait que vous m’ayez seulement demander de participer en vous communiquant une adresse et que vous disiez que « vous rectifiez le tir » (je vous cite)
    Certainement, mieux vaut en rester là, car je pense que vous ne vous être pas rendu compte de l’aspect vexatoire de votre demande.

    Pour ce qui est des Saget, il s’agit de mon étude de leur chartrier, que vous n’avez pas étudié, et qui est un fonds public.

    Pour la chapelle disparue, je ne connais qu’une chapelle saint-Mars, et je vais immédiatement retirer la photo, en vous priant de bien vouloir m’excuser de cette omission.

  20. Vous pouvez laisser la photo bien au contraire mais précisez simplement la source
    Bien à vous

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