Vente de moulins de Louvaines à Guillaume Bautru par son beau-frère Louis de Harouys, 1618

Les 2 beaux-frères font en fait un échange, et Guillaume Bautru récupère ainsi une partie de Louvaines, dont il est seigneur.
Cet acte présente la particularité de concerner pratiquement un couple de droit breton : Harouys et Bautru, face à un Angevin, et ils traitent en Anjou, mais à aucun moment il n’est fait allusion au droit Breton puisque le bien est situé en Anjou, et que les obligations échangées ont été constituées à Angers.
Les Harouys, père et fils, ici c’est le fils, ont toujours gérés partie de leurs biens en Anjou, où ils se rendaient fréquemment, au moins pour affaires, et probablement joignant la vie de famille.

Ce blog va s’arrêter car il est utilisé ensuite pour demander à nouveau les liasses d’archives aux AD et en prendre photo, et j’estime que cette manipulation est totalement inutile et fatigue inutilement les documents, d’autant que c’est ensuite pour aller en discuter ailleurs que sur mon blog, et j’estime que mes retranscriptions relèvent de la propriété intellectuelle, tout autant que le fait d’avoir cherché puis débusqué l’acte.

L’acte qui suit est extrait des Archives Départementales du Maine-et-Loire, série 5E8 – Voici la retranscription de l’acte : Le 1er juin 1618 par devant nous René Serezin notaire royal à Angers feurent présents et personnellement establis Louys de Harouys escuyer sieur de la Rivière conseiller du roy président au présidial de Nantes y demeurant et damoiselle Simone Bautru son espouse de luy deument et suffisament par devant nous autorisée quant à ce,
lesquels ont recogneu et confessé avoir ce jourd’huy vendu quité ceddé délaissé et transporté et par ces présentes vendent quitent cèdent délaissent et transportent perpétuellement par héritage
à messire Guillaume Bautru sieur de Louvaines conseiller du roy en ses conseils privés demeurant en ceste ville à ce présent stipulant et acceptant et lequel a achapté et achapte pour luy ses hoirs et ayant cause
le lieu et métairie de la Petite Vau ainsi qu’elle se poursuit et comporte avecques les moulins à eau de Louvaines sur la rivière de Sazée paroisse de Louvaines
ainsi que lesdites choses se poursuivent et comportent leurs appartenances et dépendances et que ledit sieur acquéreur les a cy devant baillées en partage à ladite damoiselle des successions des défunts sieur et damoiselle de Chérelles ses père et mère
à tenir de ladite seigneurie de Louvaines à foy et hommage simple à 12 deniers de service ou debvoir annuel suivant lesdits partages,
transportant etc la présente vendition faite pour le prix et somme de 4 000 livres tournois pour paiement de laquelle somme et de la somme de 13 000 livres tournois que ledit sieur acquéreur doibt à ladite damoiselle sa sœur par lesdits partages passés par devant nous le 25 mai dernier, faisant les deux sommes ensemble la somme de 17 000 livres ledit sieur acquéreur quite cèdde délaisse et transporte et par ces présentes cèdde qitte délaisse et transporte et proment garantir fournir et faire valoir la somme de 1 687 livres 10 sols de rente qu’il a dit et assuré luy estre deue par damoiselle Françoise Eveillard veufve de defunt monsieur Me Pierre de La Guette vivant conseiller du roy président en son parlement de Bretagne, et monsieur Me Henry de La Guette son fils, raporteur du premier conseiller du roy en son grand conseil, pour la somme de 27 000 livres tournois par contrat passé par devant Deille notaire soubz ceste cour le 12 février 1617 en conséquence du concordat mentionné avecques les arrérages depuis le 19 février
pour de ladite rente s’en faire par lesdits sieur et damoiselle de la Rivière payer et continuer desdits sieur et damoiselle de La Guette tout ainsi que ledit sieur de Louvaines eust fait ou peu faire auparavant ces présentes, et à ceste fin il les a mis et subrogé met et subroge en son lieu place droits noms raisons et actions et leur a présentement baillé les copies qu’il avoit dudit contrat et grosse de la ratiffication faite par ladite Eveillard,
et d’autant que ladite somme de 27 000 livres sort principal de la constitution de ladite rente et arrérages d’icelle excèdent de la somme de 10 463 livres ladite somme de 17 000 livres tz lesdits sieur et damoiselle de la Rivière ont présentement solvé payé et baillé contant audit sieur de Louvaines ladite somme de 1 463 livres laquelle somme ils ont eue prise et receue en présence et à vue de nous en espèces de pièces de 16 sols et autre monnaie au poids et prix de l’ordonnance dont ils s’est tenu contant et en a quité et quite lesdits sieur de damoiselle de la Rivière qui ont consenti que sur la minute dudit partage ils soit fait mention du présent transport
ce qui a esté respectivement stipulé et accepté par les parties, à laquelle vendition cession et ce que dessus tenir etc aulx dommages etc obligent respectivement etc mesme lesdits sieur et damoiselle de la Rivière eulx et chacun d’eulx seul et pour le tout sans division de personne ne de biens, renonçant aulx bénéfices de division discussion d’ordre et priorité et postériorité foy jugement condemnation
fait et passé audit Angers maison dudit sieur Bautru en présence de Me Sébastien Rousseau contrôleur au grenier et mesurage du sel d’Angers, et Nicolas Jacob praticien demeurant Angers tesmoins

Cette vue est la propriété des Archives Départementales du Maine-et-Loire. Cliquez pour agrandir.

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7 réponses sur “Vente de moulins de Louvaines à Guillaume Bautru par son beau-frère Louis de Harouys, 1618

  1. bonjour, merci de laisser aux responsables des archives la responsabilité de s’occuper eux-mêmes de la gestion et de la conservation des documents. Ces documents nous appartiennent à tous et vous n’avez pas à vous immiscer dans le travail de qui que ce soit. Vous reprochez suffisamment aux autres de s’approprier votre travail, alors laissez les archivistes faire le leur. Vous semblez affirmer ici que les conservateurs des documents des archives sont incapables de veiller à ce qui est bon et pas bon pour le taux de consultation des documents. Je suppose que si un document est réellement en danger, ils sont assez conscients de leurs responsabilités pour en limiter ou même interdire la consultation et pour les numériser au plus tôt. Cette numérisation, aussi, accroît les chances de les voir publiés. Le document en tant qu’objet n’a que peu de valeur, ce qui compte en est la diffusion et le partage au plus grand nombre. C’est ce que vous faites d’ailleurs ici.
    Mais il n’est pas normal de prétendre vouloir mettre une espèce de copyright déguisé sur ce qui appartient à tous. La propriété intellectuelle ne s’oppose qu’à vos commentaires, conclusions et à tous vos travaux personnels. Quand aux documents ils sont consultables par tous, sans avoir besoin de votre autorisation.
    C’est ce que votre réaction et menaces d’arrêter votre blog m’inspirent comme commentaire. Merci de votre attention.

    Note d’Odile
    Bonjour monsieur
    Je ne comprends pas pourquoi les archives m’interdisent de communiquer les photos, et pourquoi les autres se le permettent ensuite.
    Vos propos sur la propriété intellectuelle reflètent seulement les échanges entre voleurs de cette propriété intellectuelle entre eux.
    Car, aux termes de la loi sur la propriété intellectuelle, non seulement mes retranscriptions relèvent de la propriété intellectuelle, mais mes trouvailles elles-mêmes, c’est-à-dire, le fait d’avoir été aux Archives d’Angers, et trouvé l’acte.
    La recherche de l’acte et sa retranscription, dans l’état des notaires de l’époque que je travaille, relèvent de la mise en oeuvre de connaissances paléographiques qui relèvent de la propriété intellectuelle.
    Le fait de copier mes retranscriptions et les mettre ailleurs sur Internet relève du vol de propriété intellectuelle, et pas seulement mes commentaires.
    Vous avez Monsieur, vous et vos semblables, la chance innouïe d’avoir l’existence d’une Odile Halbert, qui porte gratuitement à votre connaissance des actes que vous ne seriez pas en mesure de déceler et de lire, et la seule manière que vous avez de la remercier, est regrettable.
    Ce que je dis dans mes propos sur la propriété intellectuelle, c’est que mon nom doit figurer comme auteur sur chaque retranscription, avec un lien vers mon blog, et non le pillage de mon blog.
    Car, monsieur, si vous fréquentez mon blog, c’est bien pour le piller, et c’est bien pour cela que je dis que je dois arrêter, car je ne suis pas respectée.
    Même Bruxelles dit : aller discuter d’un blog sur un autre c’est un vol.
    Alors vous semblez prôner des pratiques que j’ai l’honneur moral de réprouver, en particulier quand elles s’appliquent contre moi.
    Odile
    PS J’ai bien compris dans votre intervention, que vous prétendez obtenir les photos de mes retranscriptions et que vous avez des petites mains à Angers pour ce bas office.
    J’en prends note et je demande aux Archives de trancher, et elles vont me faire cesser ce blog et mes recherches, c’est ce que vous avez voulu ? êtes vous satisfait ?
    parmi vos petites mains d’Angers, il y en a même eu une cette semaine pour me dire que je ne devrais pas mettre de référence ! sous-entendu, elle prétendait m’interdire mes droits d’auteur, pour mieux ensuite justifier le vol de mes travaux.

  2. Mme Halbert, ma chère cousine par les Vetault et bien d’autres (je précise çà pour vous faire enrager un peu !), vous vous méprenez. Vous ne savez pas où je vis, c’est à 10 000 km et dix heures d’avion Où vis-je donc ? à la REUNION. Alors il faudrait que j’aie le bras vraiment long pour laisser trainer mes petites mains dans des archives où je n’ai jamais mis les pieds.
    Reprenez vous, je n’ai jamais reproduis une seule ligne de vos travaux. Je fais partie des gens qui lisent simplement certaines de vos « traductions » et vos commentaires, c’est tout.
    Vos livrets généalogiques sont aussi très intéressants et je me régale à lire les commentaires et textes transcrit, davantage que de lire des listes de noms qui n’ont qu’un intérêt relatif
    Pourquoi vous sentez vous volée lorsque vous retrouvez vos travaux ailleurs ? Pourquoi souffrez vous d’un manque de reconnaissance de votre travail ?
    Je vous donnais mon avis, c’est tout.Cà ne remet pas en doute la qualité de votre travail Vous vous sentez toujours attaquée, vous utilisez le rouge comme les professeurs qui veulent bien corriger leurs mauvais élèves.

    Je trouvais dommage que vous vous sentiez ainsi tellement pillée, uniquement parce que des gens reproduisent ailleurs vos textes sans citer leur source. J’ai voulu vous dire simplement au sujet de la partie de votre travail qui est une simple diffusion publique élargie de documents que vous ne pouvez pas prétendre interdire à la consultation directe par qui le voudrait, et que si il doit y avoir interdiction par souci de conservation, c’est aux archivistes de le décider.

    Rien de plus.

    Vous devriez être plutôt fière de voir vos travaux pillés, même sans que vous soyez citée, car vous devez sans doute travailler pour la joie de la découverte et du partage et non pour gagner votre vie. Si c’est votre but, même pillées vos découvertes sont utiles à des gens, c’est le principal, ne croyez vous pas ?

    Personnellement, j’ai eu parfois des écrits « pillés » sans citation, mais je ne vais pas leur faire un procès pour autant.

    Quelqu’un me disait à votre sujet : » Mme Halbert devrait bien ses rendre compte qu’en mettant sur le Net ses travaux, elle serait pillée ».
    Pourquoi cette candeur, Odile ?

    Si ce n’est pas une question d’argent mais de reconnaissance, ne vous en faites pas plein de lecteurs vous expriment leur plaisir à vous lire. C’est la seule chose qui compte.
    Effacez tout ce rouge et mettez vous au rose, Odile !
    Avec respect, mais fermeté, je vous dit : au boulot Odile ! Concentrez vous, ne vous dispersez pas dans des combats stériles. faites ce que vous aimez et laissez les gens vous piller. Sinon, fermez ce blog, mais pour diffuser votre travail (c’est quand même le but premier, non ?) ce sera bien plus difficile et limité. les livres coutent cher et çà demande tellement plus de travail et de temps.

    Bonjour
    Vous confondez l’existence dormante d’un document d’archives dans des km de rayonnages, avec le travail énorme pour le débusquer puis retranscrire, à l’aide de connaissances qui sont un apport intellectuel. Je vous signale au passage que les Associations généalogiques font payer les tables de BMS alors qu’elles ne font là aucun travail de recherche, mais uniquement un travail de mise en forme, et rarement un travail de paléographie. Je vous signale que les bases sur lesquelles je suis pillée non seulement gagnent de l’argent, mais en gagnent tans qu’elles sont cotées en bourse. Je prends acte que cela ne vous ennuie pas moralement de voler la gratuité bénévole pour aller enrichir des tiers !
    Sachez monsieur, que pour me rendre à Angers, je dois d’abord atteindre la gare de Nantes, véritable parcours du combatant avec 3 transports en commun avant 7 h du matin, ou 2 d’entre eux et une longue marche. Arrivée à Angers, j’ai aussi un petit parcours. Je suis physiquement diminuée, et le soir, aucun siège sur les quais de gare, d’ailleurs y en aurait-il qu’on ne me laisserait pas m’assoir, puisque les personnes âgées sont devenues transparentes dans les transports en commun en France !
    Aux Archives, nous sommes contingentés à 10 documents par jour, et il m’est arrivé plusieurs fois de devoir terminer à 16 h devant le refus d’en délivrer un 11ème.
    Par ailleurs, je maintiens que l’éthique, autant que les projets de loi, précisent qu’un blog est une publication, et qu’en discuter ailleurs est un vol. Et, au passage, je vous signale que vous dîtes lire mon blog, mais que vous n’y intervenez qu’avec du venin !
    Les oreilles me sonnent ! et je suis tellement sonnée que le blog est fermé !
    N’est-ce pas bien là ce que dit Hadopi, à savoir qu’à force de voler les voleurs tuent la création !

  3. Désolé de vous avoir blessée, mais c’était loin d’être mon intention, car vous savez bien, on a dû déjà vous le dire, que vous manifestez sur ce blog un caractère un peu beaucoup (passionnément) entier. Le fait de ne pas connaître du tout les gens à qui on écrit ou qu’on lit, induit beaucoup de parano dans les rapports. Méfions nous de çà. Je suis un peu comme vous, je m’emporte facilement et je prête aux autres inconnus des intentions qu’ils n’ont pas.

      Note d’Odile :
      Merci d’avoir bien voulu me traiter de parano.
      Vous avez très sincèrement un sens très développé des remerciements.
  4. Petite anecdote personnelle :
    Il y a quelques années, j’ai eu la douloureuse expérience d’un vol avec effraction dans ma voiture laissée dans un parking ,une vitre a été fracturée et mon sac à main, laissé sur le siège avant , volé. Je vais donc porter plainte à la gendarmerie ,l’agent reçoit ma plainte et lève les yeux au ciel « Comment vous avez laissé votre sac en vue ! dernière chose à faire :mettez le dans votre coffre…vous avez évidemment tenté les voleurs… ; »
    Quelque part ,j’étais donc responsable d’avoir été volée. ..
    Etant profession libérale ,j’ai une salle d’attente :ne rien laisser ,surtout pas de magazines récents .Le savon des toilettes ,même les punaises des affiches disparaissent! Et je ne suis pas dans une « banlieue »
    On ne peut s’empêcher d’en rire.. (jaune..)
    Conseil amical :cryptez votre blog avec mot de passe etc.…Bonne journée.

      Note d’Odile :
      Merci.
      J’ai de mon côté vécu ce que je souhaite à personne, le vol de mon logement un samedi à 15 h par les doubles vitrages brisés à la machine circulaire, au 7e étage. J’ai moi aussi appris dans les 24 h qui ont suivi que je n’étais pas victime, mais coupable, et je ne peux même pas relater ici tout ce que j’ai entendu, en particulier des assureurs.
      Et le combat qui a suivi fut vain car les vieilleries ne sont pas remboursées même avec photo, car on vous accuse immédiatement de les avoir vendu la veille.
      C’était il y a 12 ans. Depuis j’ai perdu mes épaules et ma nuque, rongées par trop depuis 40 ans par l’arthrose, maladie absolumeent non orpheline, et totalement réduite à l’état médical de la préhistoire elle-même.
      Parfois, devant les difficultés à me mouvoir, qui diminuent de jour en jour, je songe que le choc que j’ai subi lors du cambriolage, m’a aidé à me détacher de tous les biens de ce monde, pour aller vers l’autre monde.
      Mais lorsque des indélicats viennent me titiller sur le bénévolat pur, et sur la chance qu’ils ont de m’avoir, en prétendant ne pas avoir à me respecter, alors là, trop c’est trop.
  5. pourquoi les musées ne sont ils plus cambriolés ? parce que leurs oeuvres sont trop connues pour être vendues.
    Par la transcription totale de ces documents sur son blog avec un accès libre et gratuit, Odile Halbert les protège,
    et du vol (prouve que le document original est propriété publique),
    et des manipulations répétées (vieux papiers de 400 ans ! et plus)

      Note d’Odile :
      Merci. Cependant, il me semble entendre encore parler de vols de tableaux célèbres, et par ailleurs ce qui me met hors de moi, c’est, entre autres, qu’à Angers certains redemandent les documents que j’ai retranscris pour en prendre photo, donc, au contraire, je provoque des manipulations répétées, et je suis bien d’accord avec vous, elles sont totalement néfastes. Le problème tient au fait que je n’ai pas le droit de transmettre à quiconque les photos que je prends.
      Soyez certains que j’ai pris plusieurs rendez-vous en haut lieu pour débattre, et soyez encore plus certain que la solution qui va mettre imposée est la fermeture totale du blog, puisqu’il attire les mouches…
      Enfin, soyez encore plus certain que notre époque ne laissera rien 4 siècles plus tard car nous fabriquon l’éphémère !
  6. je ne vous ai pas traitée de parano, j’ai dit que les forum entre gens qui ne se connaissent pas conduisent les gens à s’emporter facilement et à prêter à l’interlocuteur des intentions qu’il n’a pas.
    Je vous ai dit que je suis aussi comme çà : ne vous inquiétez pas, si vous êtes parano, j’en suis un autre.
    Vous ne voyez que du venin dans mes mots, c’est désolant et çà confirme bien ce que je disais : quand on se sent attaqué on n’a plus d’yeux ni d’oreilles pour voir et entendre les bonnes qualités des autres.

    Je vous l’ai dit : nous sommes tous des humains avec nos limites mais vous ne voyez plus dans mes mots ce qu’ils disent vraiment dans la nuance. Pour cela je n’interviendrai plus car je vois qu’ une discussion apaisée n’est plus possible. Vous m’avez assimilé à tout ce qui est moche pour vous sur le Net, à un voleur, à un pilleur, vous parlez de mon venin. Il faut bien trouver un ennemi sur qui déverser son ressentiment. C’est tombé sur moi, alors je disparais, vous devrez trouver un autre exutoire.

      Note d’Odile :
      ?
      PS : je laisse mes lecteurs juges
  7. Je comprends votre frustation et votre colère de voir votre travail de recherche et de transcription utilisé par d’autres sans qu’ils ne vous en donnent le crédit.
    La fermeture de votre blog sera pour les amateurs d’histoire et de généalogie la perte d’une source instructive et fiable qui n’a pas son égal sur Internet. Par votre blog, vous révélez et mettez à la disposition d’un vaste public des documents qui, sans lui, demeureraient inconnus à une vaste majorité de gens dont je suis qui ne peuvent se rendre à Angers pour les consulter et qui n’ont pas la compétence pour les lire.
    Bonne journée !

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