Comptes partiels des rentes de la succession de feu Georges Leroyer sieur de la Mothe, Angers 1605

avec ce compte partiel, on a la certitude
1 – que Anne Leroyer dame de la Mothe est la tante de Marguerite Oudin épouse de Verdier sieur de la Bodinière, car c’est énoncé « tante » à la fin de ce long acte.
2 – cette Anne Leroyer hérite pour un huitième donc Georges Leroyer aurait eu 8 frères et soeur vivants. A moins qu’il faille décaler d’une génération en disant 2 divisé par 4 ou autrement 4 divisé par 2
3 – Marguerite Oudin hérite de un seizième, ce qui est conforme à ce qui précède puisqu’elle est de la génération suivante
4 – cette Anne Leroyer est dite dame de la Motthe et ne semble pas marié. Cette Motthe serait-elle la même que celle de Georges Leroyer. Ceci est bien possible et doit être envisagé, même s’il existe tant de lieux de ce nom que nous ne sommes pas à la veille d’aboutir.

L’acte est fort long, mais je suis certaine d’avoir appris ce qui précède et c’est déjà beaucoup, car au fil de tous ces actes on progresse, même si cela paraît peu.
A demain pour le même sujet avec aussi une avancée, même si ces avancées sont de petits pas.

cet acte est aux Archives Départementales du Maine-et-Loire, 5E1 – Voici sa retranscription (voir ci-contre propriété intellectuelle) :

Le 11 juin 1605 (devant Pierre Sailler notaire Angers) estat de l’argent que moy Pierre Goureau dict Du Party ay receu tant pour mon cousin monsieur de la Bodinière et ma cousine sa femme que pour ma cousine madame de la Motthe dicte Anne Leroyer depuis le 16 décembre 1604 jusques au 11 juin suivant, ledit argent provenant de la succession de deffunt noble homme Georges Leroyer sieur de la Motthe en son vivant secrétaire de la feu reine blanche
Du 16 dévembre 1604 : Premier ay receu de la rente du grenier à sel pour leurs parts et portions de la somme de 900 livres receuz pour 2 quartiers scavoir pour le dernier quartier 1600 et pour le premier quartier 1601, la somme de 168 livres 15 sols qui est pour madite cousine de la Motthe Anne Leroyer 112 livres 10 sols faisant la huitième partie de ladite somme de 900 livres en quoy elle est fondée et pour mondit cousin ma cousine de la Bodinière 56 livres 5 sols pour la septième partye en quoy ils sont fondés pour ce (pli
Le jeudi 13 janvier 1605 : Item receu pour leurs parts et portions de la somme de 49 livres 12 sols qui ont esté receuz d’un nommé Gourrault la somme de 9 livres 7 sols 6 deniers qui est pour madite cousine madame de la Motthe 6 livres 5 sols pour sa huitième partie de ladite somme de 49 livres 12 sols en quoy elle est fondée, et pour mon dit cousin monsieur de la Bodinière et ma cousine madame sa femme 3 livres 2 sols 6 deniers pour leur seizième partie
Du lundi 24 janvier 1605 : Item receu pour leur part et portion de 600 livres receuz de Me Gaspart Cochon la somme de 112 livres 10 sols qui est pour madite cousine madame de la Motthe 75 livres pour sa huitième partye de ladite somme de 600 livres et pour mondit cousin et ma cousine de la Bodinière 37 livres 10 sols pour leur seisième partie de ladite somme de 600 livres en quoy ils sont fondés
Item ledit jour ay receu pour leurs parts et portions de la somme de 15 livres à quoy auroit été accordé pour les frais faits contre ledit Cochon 55 sols 3 deniers qui est pour ma cousine madame de la Motthe 37 sols 6 deniers pour sa huitième partie de ladite somme de 15 livres et pour mondit cousin et cousine de la Bodinière 18 sols 9 deniers pour leur seizième partie
Du lundi 31 janvier 1605 : Item receu pour leurs parts et portions de la somme de 7 125 livres tournois receuz de messieurs de Reims scavoir 6 000 livres pour le sort principal rachapt et admortissement de 166 escuz deux tiers de rente deux à deffunt monsieur de la Motthe Leroyer et 1 125 livres pour 2 années un quartier d’arrérages de ladite rente deubz et escheuz le 11 janvier 1605 la somme de 1 336 livres 18 sols 9 deniers qui est pour madite cousine madame de la Motthe la somme de 890 livres 12 sols 6 deniers pour sa huitième partie de ladite smme de 7 125 livres tournois et pour mondit cousin et cousine de la Bodinière la somme de 445 livres 6 sols 3 deniers pour leur seizième partie
Du 16 mars 1605 : Item receu pour leurs parts et portions de la somme de 450 livres pour le second quartier de la rente du grenier à sel de l’année 1605 84 livres 7 sols 6 deniers qui est pour madite cousine madame de la Motthe 56 livres 5 sols pour sa huitième partye de ladite somme de 450 livres et pour mondit cousin monsieur de la Bodinière et sa femme 28 livres 2 sols 6 deniers pour leur seizième partie
Du 19 avril 1605 : Item receu pour leurs parts et portions de 309 livres receuz du sieur Cochon la somme de 56 livres 8 sols 6 deniers qui est pour madite cousine madame de la Motthe 37 livres 12 sols 6 deniers pour sa huitième partye de ladite somme de 309 livres et pour mondit cousin monsieur (ligne sous un pli) 16 sols 3 derniers pour leur seizième partye
Du 26 mai 1605 : Item a été receu de monsieur Cochon la somme de 240 livres faisant le reste et parfait payement de la somme de 1 149 livres que ledit Cochon debvoit à monsieur de la Motthe Leroyer qui est pour madite cousine madame de la Motthe 30 livres pour sa huitième partie de ladite somme de 240 livres et pour mondit cousin monsieur de la Bodinière et ma cousine sa femme 15 livres pour leur seizième partie
Du jeudy 2 juin 1605 : Item receu pour leurs parts et portions de la somme de 450 livre pour le troisième quartier de l’année 1601 de la rente du grenier à sel 84 livres 7 sols 6 deniers qui est pour madite cousine madame de la Motthe 26 livres 5 sols pour sa huitième partie de ladite somme de 450 livres et pour mondit cousin monsieur de la Bodinière et ma cousine madame sa femme 28 livres 2 sols 6 deniers pour leur seizième partie en quoi ils sont fondés
Du 11 juin 1605 : Item ay receu à Tours par les mains de monsieur Gourry pour leurs parts et portions de la somme de 164 livres 12 sols 2 deniers receuz pour les arrérages de 3 années 3 mois commencés le premier janvier 1602 et de dernier mars passé à cause de la ferme des aides et huitième d’aucunes paroisses de l’élection de Loche en laquelle ferme deffunt monsieur de la Motthe avoir droit par prorata de la somme d’1 130 escuz en principal, la somme de 82 livres 6 sols 9 deniers seulement attendu qu’à l’heure mesme il fut privé de ladite somme de 464 livres la somme de 16 livres 12 sols 2 deniers pour payer audit sieur Gourry le droit de sa rieste ? comme appert par sa quitance, plus pour le payement de la quitance faite audit Gourry dans laquelle il a fallu insérer toutes les dabtes de nos procures 44 sols 8 deniers, scavoir 2 pièces des 20 sols 4 deniers pièce pour le notaire et pour son clerc 2 sols, et pour le séjour qui a esté fait à Tours (2 lignes dans pli) receu pour madite cousine madame de la Motthe et pour sa huitième partie de ladite somme 54 livres 15 sols 10 deniers, et pour mon cousin monsieur de la Bodinière et ma cousine sa femme 27 livres 8 sols 4 deniers pour leur seizième partie
Somme ay receu pour madite cousine madame de la Mothe la somme de 1 320 livres 2 sols 6 deniers et pour mondit cousin et cousine sieur et dame de la Bodinière 660 livres un sol 3 deniers, sans erreur de calcul sur quoy fault déduire pour leur cotte part de 396 livres 8 sols qui ont esté employés en frais et mises pour la communauté de tous les héritiers de deffunt Georges Leroyer vivant sieur de la Motthe comme appert par les parties communaux le 11 décembre 1604 et finissant le 4 juin dernier passé la somme de 74 livres 6 sols 6 deniers pour ma cousine madame de la Motthe pour sa huitième partye en quoy elle est fondée tant en la mise que en la recepte, 49 livres 11 sols pour mondit cousin monsieur de la Bodinière et ma cousine sa femme 24 livres 15 sols 6 deniers pour leur seizième partye, plus fault déduite mes journées peines salaires et vacations depuis le 29 novembre 1604 jusqu’au 13 juin ensuivant qu’ay esté hors de ma maison pour vacquer à leurs affaires lesquels se montent 197 jours qui est 45 sols par jour pour mondit cousin monsieur de la Bodinière et leurs cohéritiers de cette ville pour aller à Paris scavoir 30 sols pour madite cousine et 15 sols pour luy la somme de 443 livres 5 sols qui est pour la part de madite cousine madame de la Motthe 295 livres 10 sols mour mondit cousin monsieur de la Bodinière 147 livres 15 sols, plus faut déduire le port de leur argent depuis Paris jusques en cette ville qui est 100 sols pour madite cousine madame de la Motthe et pour mondit cousin monsieur de la Bodinière et madite cousine sa femme 50 sols

Le 27 octobre 1605 avant midy par devant nous Pierre Sailler notaire royal héréditaire Angers et des tesmoings cy après nommés a esté présent en sa personne noble homme Joseph Verdier sieur de la Bodinière mary de honorable femme Marguerite Oudin et procureur spécial de honorable femme Anne Leroyer dame de la Motthe ledit sieur Verdier demeurant en la ville de Beauprau pays de Mauge estant de présent en ceste ville lequel a présentement eu et receu en notre présence en pièces de 16 sols et autre monnaye ayant de présent cours suivant l’édit de noble homme Pierre Goureau sieur du Pasty demeurant Angers paroisse de la Trinité la somme de 1 980 livres 13 sols 9 deniers scavoir pour ladite dame Anne Leroyer sa tante la somme de 1 320 livres 2 sols 6 deniers et pour luy et ladite Oudin sa femme la somme de 660 livres un sol 3 deniers …

Odile Halbert – Reproduction interdite sur autre endroit d’Internet Merci d’en discuter sur ce blog

    6 réponses sur “Comptes partiels des rentes de la succession de feu Georges Leroyer sieur de la Mothe, Angers 1605

    1. Bonjour,
      C’est intéressant de voir qu’une Le Royer non mariée sœur de Georges se « titrait » dame de la Mothe, puisqu’un frère de Georges sieur de la Mothe, René, se titrait aussi « sieur de la Mothe ». On finira bien par la trouver, cette « Mothe »!

        Note d’Odile :

      Bonjour monsieur
      Je viens de me réveiller, et j’ai vérifié ma lecture du lieu de résidence de Verdier en pays de Mauge, qu’il me semblait avoir mal déchiffré hier soir.
      Effectivement, je lis ce matin BEAUPRAU, sachant qu’il a écrit en 2 parties et que la seconde partie commence par l’abréviation de PR, et vous seriez sympa de le vérifier par vous même. C’est sur la vue 5 en bas à gauche.
      Par ailleurs, cette Anne Leroyer me semble célibataire, puisque tout au long de ce compte, fort long, il l’appelle madame de la Motthe sans aucune allusion à un quelconque veuvage, et à cette époque, on avait pourtant coutume de nommer les veuves comme telles en précisant bien dans leur titre « veuve de untel ». C’est avec ce raisonnement que j’en conclue qu’elle est veuve.
      Donc, si Verdier emporte l’argent pour lui remettre, c’est qu’elle demeure non loin de lui.
      Vous allez voir demain encore un lieu dans le sud de l’Anjou, et décidément toute cette famille gravite au sud de l’Anjou.
      Bien à vous
      Odile
      PS cet acte est trouvé par Stéphane que je remercie ici infiniement

    2. Rebonjour à tous
      je suis sur une Nième tentative d’arbre Leroyer de la Motthe, et sachant que le huitième pour la tante de Verdier qui hérite du seizième au titre de sa femme, on a donc 4 frères et soeurs de feu Georges Leroyer et tous les autres descendants rencontrés sont des neveux ou petits neveux, ce qui donnerait pour le moment, dans l’état des connaissances :
      N. LEROYER
      1-René LEROYER x avant le 22 novembre 1570 Isabelle TEXIER Dont postérité suivra
      2-Georges LEROYER †Paris 10 avril 1604 SP Secrétaire de la Reine Blanche puis du duc de Mercoeur (tous deux frère et soeur, famille de Lorraine-Vaudémont)
      3-N. LEROYER [qui n’a laissé que Marthe et Anne comme héritières chacune pour un huitième ]
      31-Marthe LEROYER †/1604 x /1604 René OUDIN †/1604
      311-Marie OUDIN x Jean LEBAILLIF vit à Villevêque en 1604
      312-Marguerite OUDIN x Jean VERDIER sieur de la Bodinière (C. Port donne 27 Bodinière en Maine-et-Loire) Il vit à Beaupreau en 1605 et est héritier pour 1/16ème, et est neveu d’Anne Leroyer dame de la Motthe et cousin de Jean Goureau
      32-Anne LEROYER dame de la Mothe vivante en octobre 1605 et manifestement non mariée, elle hérite de 1/8ème et est qualifiée de « tante » de Marguerite Oudin
      4-qui pourrait être le Jean vu ci dessus
      41-Marie LEROYER x /1604 Jean GOUREAU sieur de la Roche-Coutant (Tigné, 49). lls demeurent à Angers St Maurille en 1604
      5-Jean LEROYER †/1604 x Jeanne SAULNIER †/1604
      51-Radegonde LEROYER †/1604 x /1604 Françoys GUYONNEAU sieur de la Follye †/1604 Ils demeurent en 1604 à Autran près Châtellerault

        et reste à caser :

      Suzanne LEROYER † après juillet 1604 x Hervé LANGLOIS †/1604
      1-René LANGLOIS manifestement fils unique en 1604 Il est « controlleur général des traites d’Anjou » sur l’acte de 1612
      Renée LEROYER x /1604 Jean FEVRIER sieur de la Bourdonnais (sur l’acte de 1612 – La seule Bourdonnaie serait à Pouancé selon C. Port)
      Marguerite LEROYER †/1604 x /1604 Mathurin BOUGAULT †/1604
      1-Pierre BOUGAULT Il demeure à Paris en 1604 et c’est lui qui prévient d’autres cohéritiers du décès de l’oncle Georges.
      2-Renée BOUGAULT x /1604 Pierre CONRAIRIE sieur de la Haye en Chasteauneuf

    3. Bonjour, je suis loin de mes notes pour les 7 prochains jours et ne peux pas m’y référer ni y travailler. Mais de mémoire, les enfants de René Le Royer avaient des parts de 1/28e, on avait conclu que Georges avait eu 7 frères et sœurs (Jean x Jeanne Saulnier, Suzanne x Hervé Langlois, René x Isabeau Texier, Marthe x René Oudin, Marguerite x Mathurin Bougault, Marie x Jean Goureau, Marie x Jean Febvrier).
      Maintenant on a une Anne qui a un 8e de la succession, qui est la tante d’une Oudin mais Goureau qualifie Oudin de sa cousine et Anne Le Royer de sa cousine dans le texte d’aujourd’hui… Un peu mêlé je suis…

        Note d’Odile :

      Bonjour MonsieurRassuerez-vous, moi aussi je suis un peu mêlée.
      Si je relis bien tous les actes, que je viens de reclasser en ordre chono dans le fichier Leroyer et que je mettrai en ligne dans le courant de la semaine, les 1/28ème sont une mention en 1615, et ici nous sommes en 1605. On pourrait sans doute en conclure que l’un des héritiers est décédé entre 1605 et 1615 et ce, sans postérité. Il s’agit sans doute de la fameuse Anne, dame de la Mothe.
      Si on accepte cette règle mathématique, on a 8 frères et soeurs en 1605 et 7 en 1615.

      Dansl’acte ci-dessus, on peu oublier les mentions « mon cousin » et « ma cousine », car ils ne donnent pas un lien précis, mais sont plus une manière de s’exprimer pour qualifier quelqu’un issu de la même branche, sans précision de lien. D’ailleurs, il me semble bien me souvenir, que le roi de France qualifiait beaucoup de personnes de « mon cousin ».

      Par contre la tante est une indication plus précise.
      Revoici donc l’arbre à 8 frères et soeurs.

      Voici de que nous avions :

        N. LEROYER
        1-René LEROYER x avant le 22 novembre 1570 Isabelle TEXIER Dont postérité suivra
        2-Georges LEROYER †Paris 10 avril 1604 SP Secrétaire de la Reine Blanche puis du duc de Mercoeur (tous deux frère et soeur, famille de Lorraine-Vaudémont)
        3-Suzanne LEROYER † après juillet 1604 x Hervé LANGLOIS †/1604
        31-René LANGLOIS manifestement fils unique en 1604 Il est « controlleur général des traites d’Anjou » sur l’acte de 1612
        4-Renée LEROYER x /1604 Jean FEVRIER sieur de la Bourdonnais (sur l’acte de 1612 – La seule Bourdonnaie serait à Pouancé selon C. Port)
        5-Marie LEROYER x /1604 Jean GOUREAU sieur de la Roche-Coutant (Tigné, 49). lls demeurent à Angers St Maurille en 1604
        6-Marthe LEROYER †/1604 x /1604 René OUDIN †/1604
        61-Marie OUDIN x Jean LEBAILLIF vit à Villevêque en 1604
        62-Marguerite OUDIN x Jean VERDIER sieur de la Bodinière (C. Port donne 27 Bodinière en Maine-et-Loire)
        7-Marguerite LEROYER †/1604 x /1604 Mathurin BOUGAULT †/1604
        71-Pierre BOUGAULT Il demeure à Paris en 1604 et c’est lui qui prévient d’autres cohéritiers du décès de l’oncle Georges.
        72-Renée BOUGAULT x /1604 Pierre CONRAIRIE sieur de la Haye en Chasteauneuf
        8-Jean LEROYER †/1604 x Jeanne SAULNIER †/1604
        81-Radegonde LEROYER †/1604 x /1604 Françoys GUYONNEAU sieur de la Follye †/1604 Ils demeurent en 1604 à Autran près Châtellerault
        9-Anne LEROYER dame de la Mothe vivante en octobre 1605 et manifestement non mariée, elle hérite de 1/8ème et est qualifiée de « tante » de Marguerite Oudin

      Mais dans cet arbre GOUREAU ne peut pas qualifier Marguerite Oudin de « ma cousine » car elle est alors sa nièce.
      Donc l’épouse de GOUREAU n’est pas une soeur mais une nièce et nous n’avons pas le nom de son père.
      Enfin, tout ceci est encore à l’état de construction.
      Odile

    4. Bonjour à tous
      La nuit passée, j’ai une hypothèse, à savoir sur ceux de la génération de Jean Goureau ne sont pas de frères et soeurs mes des neveus et nièces dont nous ne connaissons par le prénom du père.
      Ainsi, pour Jean GOUREAU, il faut dire pour rectifier ce qui précède :

        5 – N. LEROYER
        51-Marie LEROYER x /1604 Jean GOUREAU sieur de la Roche-Coutant (Tigné, 49). lls demeurent à Angers St Maurille en 1604

      d’ailleurs, j’en veux pour preuve que compte-tenu des très nombreux déplacements qu’il effectue à travers la France (Paris, Bretagne et sans doute plus) et ce même encore en 1615, il est valide et non âgé, car à l’époque pour se déplacer à cheval, il fallait encore tenir dessus, et la vieillesse en la matière arrivait vite. Donc je le mets de la génération NEVEUX et non FRERES ET SOEURS

      Reste cependant qu’il aurait alors dû appeller Anne Leroyer dame de la Mothe ‘ »ma tante » et non ma cousine;
      Odile

    5. -Ce Jean Verdier,sieur de La Bodinière époux de Marguerite Oudin,peut il avoir un lien avec la famille Verdier de La Sorinière,dont est issue Marie-Aimée du Verdier de La Sorinière,épouse Jean-Charles Hernault,seigneur de Montiron et du Moulinet ?

    6. Bonjour à tous
      Mes décennies de recherches en déplacements hors de mon département, en photocopies (avant le numérique) m’ont coûté beaucoup de monnaie, temps, énergie, sans parler de l’énergie et compétence rare que je déploie depuis des décennies en paléographie.
      J’ai ainsi donné bénévolement et gratuitement des milliers et des milliers d’infos.
      Entre autres sur la famille de Georges Leroyer de la Mothe

      Malheureusement, je reçois dans ma BAL des menaces qui m’amènent à clore tous les commentaires sur cette famille.
      J’invite donc les MACHOS à mener désormais seuls les recherches sur cette famille, puisqu’ils ne supportent pas que j’ai tant fait pour cette famille.

      En conséquence toute discussion sur cette famille est close.
      Cordialement vôtre à tous mes fidèles lecteurs, et merci de votre compréhension

    Les commentaires sont fermés.