Soit il faisait très froid
Soit les 3 messes de minuit avaient fatigué les neurones du prêtre
En tout cas cette petite Françoise a au moins un parrain et une marraine, mais c’est tout !
MODES de VIE aux 16, 17e siècles par Odile HALBERT
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Bonjour,
Une erreur peut-être pas mais une absence d’information plus probablement. La présence des parents n’était pas indispensable au baptême et les parrain et marraine ne connaissaient sans doute pas l’identité des parents. Le curé a laissé une ligne vide pour compléter lorsqu’il aurait les infos qu’il n’a sans doute jamais reçues…
… ou, par exemple, le parrain et la marraine sont aussi les parents naturels mais ne la reconnaissent pas légalement ?
Cdt,
Luc
bonjour Luc
ici on est congelé et j’hiberne
mes neurones gelés ne m’avaient pas permis d’entrevoir cette hypothèse, tout à fait sympa, et je vous en remercie vivement
Odile
Bonjour Pierre
C’est vrai, la mère ne pouvait pas se déplacer puisque l’enfant était baptisé le jour même, au plus tard sous 3 jours, ensuite il fallait s’adresser à l’évêque pour obtenir la dispense indispensable.
Le père aussi n’était pas indispensable
et vous avez parfaitement raison, près de Pouancé, un mien collatéral prêtre, fut même condamné par l’évêché pour faute grave : son registre, prérempli, mais surtout pas complété après coup, est rempli d’espaces préremplis et vides.
Odile